Mais qui est "Gordon Gekko", l'internaute pro-loi Travail "outé" par Denis Robert ?
Denis Robert a-t-il "outé" la mauvaise personne ? Comme @si vous le racontait ici, "bluffé par la violence des détracteurs de la grève", le journaliste d'investigation avait choisi de livrer les noms et CV détaillés de quatre d'entre eux, particulièrement actifs sur Twitter et qu'il juge "nauséabonds". Problème : l'une des personnes mises en cause dément, et aucun élément ne permet de se faire une conviction décisive. De la difficulté d'enquêter sur l'identité réelle d'un Twittos.
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Derniers commentaires
et le vide appelle l'insulte, le crachat tout brut.
D'ou peut être le nombre de propos insultants,
Dans cette émission on y parle technique pure. Les intervenants ne parlent pas de ce qui les fait agir du sens de leur démarche, ou si peu, que j'ai eu envie de les laisser entre eux.
Nicole Pavlowsky
Je n'arrive pas à comprendre comment, même en étant aveuglé par un militantisme plus que zélé, un journaliste d'inverstigation ne se soit pas rendu compte qu'il s'agissait d'un compte parodique. On frise la folie.
Au-delà du fait que c'est de la délation pure et simple, et que cela rappelle à quel point on trouve du côté politique de Denis Robert des gens pour qui l'humanisme est nettement subordonné à une rééducation stricte en cas de victoire, je ne comprends pas comment on peut défendre l'attitude du soit disant journaliste alors qu'il se plante aussi magistralement.
Rapportez des propos à la justice en cas de délit flagrant, porter plainte... c'est un chose.
Livrer des types à la vindicte populaire : ça sent mauvais.
Pourquoi ? Il aurait été engagé par ses réponses ou non-réponses.
Je ne connais pas bien twitter. C'est quoi le problème de poser des questions à qqun via la messagerie privée de twitter ?
Roxane s'est quand même bien faite avoir. Si seulement elle avait refusé les conditions "sous le balcon dans l'ombre" de son interlocuteur...