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Mais où est passé le tact à l'hôpital ?

Bouleversante découverte du Figaro : la vague des incivilités ordinaires s'étend aux hôpitaux.

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Hier, Sarkozy a visité, en compagnie de Roselyne Bachelot, le nouvel hôpital de Perpignan.
De son discours tenu devant le personnel soignant, Yann Barthès dans son Petit Journal de ce soir a extrait deux phrases : "Le passé c'est le passé" et "Mourir, c'est pas facile".
Qui pourrait affirmer le contraire sans se couvrir de ridicule ?
La rhétorique présidentielle, ou comment annihiler toute vélléité contestataire. Trop fort.
Des médecins cochonesques il semblerait !!
Choking !!
Je ne suis pas du genre à dénoncer mais, hormis l'agressivité, j'ai remarqué des comportements pas très reluisants
parmi le personnel médical.

Prenez les médecins. Je ne sais pas vous mais moi, à chaque fois que je vais en voir un, il me tripote.
Ça commence toujours par un "déshabillez-vous, s'il vous plait". Bon, je suis plutôt du genre obéissante, j'obtempère.
Mais à chaque fois, ils en profitent pour me tripatouiller.
Après le palpage du cou et des oreilles, c'est les seins. Là, ils me font le coup de "dîtes aaaahhhh…".
Je dis aaaaaaaaahhh et là, ils font pouet-pouet. Alors qu'à l'origine, il faut demander "dîtes camion".

Ensuite, pour me récompenser, j'imagine, ils donnent une glace au chocolat, mais il n'y a plus la glace, y a juste
le batonnet. Pas super sympa, la blague.

Et encore ça c'est rien à côté des gens dans les hôpitaux. C'est des voleurs. À chaque fois, ils m'ont chourré
un jour un morceau de kyste, un jour une veine, etc., etc.
J'irais plus, c'est pas sécurisé.
Et oui, voilà bien le genre d'article qui fait que les gens retardent le plus possible le moment de se faire soigner. C'est toujours autant d'économisé pour la Sécu.

C'est comme pour tout le reste, on ne parle que de ce qui va de travers, pas de ce qui va bien.

De toute façon, Le Figaro, étant un journal de droite, a tout intérêt à fustiger les services publics pour donner raison à ses casseurs qui se trouvent être de droite, eux aussi.
Voilà une belle vision de gauche du problème! Pour trancher avec une vison de droite de la part du figaro?
Je ne crois pas que le manque de personnel pousse les personnels soignats a etre injurieux ou moqueurs...
Evidemment sur le temps consacré au patient, je peux quand meme rejoindre l'analyse meme si ca n'explique pas forcement tout. Par un membre de ma famille tres proche evoluant dans ce miieu, je sais que certains personnels ne font pas necessairement preuve de consideration envers leur patient par simple manque d'envie ou de motivation.
"Je ne crois pas que le manque de personnel pousse les personnels soignats a etre injurieux ou moqueurs... "
Tout à fait. Je pense quant à moi, en phase avec mon côté anarcho-autonome probablement, que ça les pousserait même à être davantage ouverts et disponibles envers les patients.
Encore quelques réductions d'effectifs, et je crois que le massage jusque-là optionnel deviendra systématique !
quand on ne veut (peut) pas comprendre...
Il suffit de savoir (pouvoir) constater...
Nous touchons là à la sensibilité.
Sur un article attaquant uniquement le partie pris du Figaro, et tentant d'expliquer l'augmentation des plaintes auprès du médiateur par l'unique diminution de moyen, vous retenez le fait que c'est possible (que le manque de moyen soit l'origine de la dégradation des relations), et logiquement une part de la vérité.

Mais il est proprement révoltant (et je pèse mes lingettes) de voir le chef d'un site de critique des médias (j'ai l'droit "médias", depuis 1990?) donner un avis aussi peu nuancé sur un problème aussi polymorphe que les relations et la communication personnelsoignant/malades en hopital. Votre commentaire 17h51 hier ajoute des confirmation sur les raisons privées et particulières d'une partie du personnel, et des [s]clients[/s] patients de ne pas se comporter correctement. Ce sont ces hypothèses, confirmations, et contrebalancements qui manquent dans la chronique portant sur l'article du Figaro. Cet article n'est -du coup- qu'une attaque, qui -du coup, aussi- revêt toutes les apparences de la querelle clivée et stérile.

Et ça, c'est inacceptable si l'on délègue la vertue de la critique à une entreprise comme @si. Car l'impartialité est la différence entre la besogne et le talent. Je rêve éveillé (requérir dirait un certain maître?) d'un site talentueux. Et si la chronique quotidienne doit aussi laisser transpirer les hauts et bas de l'auteur, je punaiz ces bas (qui vont filer, crotte), en cachant les miens (de bas).
Entierement d'accord :)
Mais je m'attends a ce qu'un certain Daniel S. dise que c'est une rubrique rose donc que ses propos sont volontairement subjectifs ;)
Alors pourquoi faire la critique d'un journal bleu... lui aussi a priori volontairement subjectif ou comme on dit en language journalistique "qui suit une ligne éditoriale".
Comme bien souvent la vérité se situe quelque part au milieu mais en aucun cas le manque de personnel ne justifiera que ces derniers puissent trouver le temps de tenir des propos injurieux ou moqueurs vis a vis de leurs patients. Pour le temps passé avec eux, la directivité imposée par le manque de temps, ... je ne suis pas buté et admets (comme dans mon 1er post a priori pas compris par fan de canard - pour certains, tout est blanc ou tout noir) que le manque d'effectif peut en etre une des causes.
Mais personne ici, que j'ai lu en tout cas sur ce forum, ne justifie que le personnel des hôpitaux tienne des propos moqueurs ou injurieux vis-à-vis de leurs patients. Ni moi ni DS.
On parle des causes possibles et même probables, les explications de ce qui arrive.
D'où mon post ironique en réponse au vôtre ci-dessus.
Mais aussi, donc que les propos de DS, même s'ils sont subjectifs - mais nous sommes dans le cadre d'une chronique - n'en sont pas pour autant inexacts.
Contrairement à l'article du Figaro qui ment constamment quand il évoque des faits pouvant heurter la sensibilité de son maitre, ici par omissions volontaires.
Quant au tout blanc et tout noir, c'est vous qui opposez la vision de DS sur l'article en termes de gauche face à la droite.
Mais sachez qu'on peut s'opposer à la politique actuelle sans être un gauchiste, comme si l'opposition apposait l'étiquette systématiquement.
Je connais des collègues qui, loin d'être des gauchistes, trouvent tout autant dégueulasse ce qu'il se passe en ce moment.
Il est possible que j'ai mal compris votre post, mais j'ai parfaitement compris la phrase que j'ai citée, dans la façon maladroite où vous l'avez tournée. J'ai simplement poursuivi la logique de ce qu'elle laissait entendre.
La preuve de cette maladresse réside en votre phrase ici:
"Je ne crois pas que le manque de personnel pousse les personnels soignats a etre injurieux ou moqueurs... "
et la dernière que vous écrivez juste ci-dessus:
"j'(...) admets (...) que le manque d'effectif peut en etre une des causes. "
Comme quoi, j'ai bien fait de vous titiller, ça m'a permis de mieux comprendre votre pensée sur le sujet, grâce aux précisions que vous apportez.

Balle au centre ? :-)
Avez-vous déjà vu les choses de l'intérieur Punaiz, côté employés des hôpitaux?
Vous reprochez aux personnes qui travaillent dans les hôpitaux de mal se comporter, et c'est vrai que ce sont elles qui sont responsables de leur comportement, de là à penser que ce comportement est totalement indépendant des conditions de travail, il y a un pas que vous franchissez sans l'ombre d'un questionnement.
Les compétences et l'humanité ne dépendent pas seulement de la paye qu'on reçoit, des horaires qu'on nous impose, des chefs qui nous traitent mal, car parfois les gens sont des saints. Mais figurez-vous que les mauvaises conditions de travail finissent par faire fuir ailleurs les gens qui voudraient faire bien leur boulot et qu'ils restent les autres, indifférents ou résignés. Quand on voit que son supérieur est indifférent, fait valser les uns et les autres, qu'est-ce qu'il reste comme choix? On se laisse détruire en faisant plus que prévu, ou on fuit, ou on rentre dans le jeu en levant le pied pour mettre chacun en face de ses responsabilités. Chacun en face de ses choix, dictés par la pression qu'exercent les financiers qui font semblant d'ignorer que la médecine a fait des progrès par la présence de moyens "en attente", qu'il faut tolérer un temps inoccupé dans des métiers où tout ne peut pas être prévisible, urgences ou service de médecine.
Certes, je ne suis pas personnel soignant dans un hopital public (si telle est votre question).

Et certes, j'ai admis (Si, si, relisez bien) que le manque de moyens pouvait être une des causes sources d'un agacement chez les salariés.

Néanmoins, je conteste 2 faits:

1) Cela n'est en aucun cas une excuse pour quelque expression de cet agacement auprès des patients -qui sont parfois trop bien nommés

2) Ce ne peut en aucun cas être l'unique explication, contrairement à ce qui est évoqué dans la chronique (cette chronique n'évoque aucune autre cause possible, pas même qu'un personnel ou un patient soit un mauvais coucheur). Et du coup l'accusation de Fan de mensonge par omission envers le Figaro est aussitôt applicable à la chronique d'@si.

Et il est non tolérable qu'@si se rabaisse à utiliser les moyens du Figaro. Je ne nous laisserais pas le tolérer: je Punaiz
J'ai apporté des précisions à Fred B et Olivier L.
En ce qui concerne la chronique de DS, justement c'est une chronique, un chronique sur un article du Figaro qui lui, prétend parler d'un problème.
Elle n'a pas prétention à livrer les points de vue sous tous les angles, son esprit est de décrypter, il me semble, le contenu - ou plutôt l'absence de contenu - d'un article qui lui, prétend traiter le sujet.
Elle parle aussi, en terme d'explication hautement plausible, de la complicité Figaro-UMP, en tant que facteur volontaire du vide (donc) délibéré présent dans l'article.
La chronique, contrairement à l'article, ne prétend pas parler, avoir spécifiquement sujet, des problèmes liés à l'hôpital.
L'article, si.
Elle est une réaction à ce dernier, non pas un complément, ni dans la forme, ni dans le fond.
C'est du moins de cette façon et dans cette optique que je l'ai lue.
D'où mes réponses et précisions ci-dessus.
Et c'est pourquoi, par essence, la critique présentement faite à l'article du Figaro n'est effectivement pas applicable à la chronique de DS.
(Tu me connais d'ailleurs, s'il m'avait sincèrement semblé que cela avait été le cas, je ne me serais pas privé, j'ai quelques antécédents :-))
Notamment, quand je disais qu'il n'était pas question, à aucun moment dans la conversation qui nous concerne et dans la chronique, d'excuser les comportements de certains membres du milieu hospitaliers envers les patients.
Il était plutôt question d'explications de cause à effet.
La substance même du sujet de fond, et qui n'est pas présent dans l'article: d'où la chronique.
Daniel me dira à l'occasion si j'ai vu juste à ce sujet.

En tout cas, tu as raison, Punaiz: il ne serait pas tolérable qu'@si se rabaisse à utiliser les moyens du Figaro
On ne manquera pas le préciser, le jour où cela se produira, hein dis tu seras là ? ^^

Salutations.
Sans préssuposer de l'avenir, et pourvu qu'un tremblement de terre ne vienne pas perturber mon acuité visuelle, je serais dans les parages.

Il n'empêche, je ne parviens pas ,'affranchie de l'horrrible soupçon d'excès de réflexe anti-droite urticaire dans la chronique de Daniel. Si tu m'écris que ce n'est qu'un réflexe anti Figaro, et les caricature que l'on y bâti [s]parfois[/s] souvent, je fais semblant de suivre ton raisonnement, en affûtant ma pointe de punaiz pour la prochaine occurence (c'est ce qui est rassurant avec les réflexes, ils réapparaissent toujours à un moment ou un autre)
Mon raisonnement n'est rien d'autre en fait qu'un point de vue, mais je pense qu'il explique bien ce qu'@si effectue depuis des années - le pointage des dits et des non dits des grands médias.
En terme d'opinion personnelle, je n'ai jamais rien lu de Daniel Schneidermann de son appartenance à un parti de gauche.
C'est ce que je disais plus haut à Olivier: le fait d'être opposé au gouvernement de l'UMP ne classe pas nécessairement l'opposant à gauche de facto.
Suffit de regarder les anciens de la droite "classique" qui n'ont pas basculé dans le camp de Sarkozy - nombreux, mais les médias ne jugent pas utiles de s'y attarder plus qu'ils ne le jugent nécessaires, très curieusement, et les centristes à la Bayrou.
Mais bon après, il faudrait procéder à des recoupements périlleux, et c'est là que mon rang de commentateur pénible fait place au journalisme ^^.
C'est un peu juste votre argumentaire sur ce coup.
J'avais lu le talc à l'hôpital ? C'est ce qui va nous rester bientôt peut-être ?

Trève de plaisanterie, pourquoi s'étonner, (je l'écris souvent, serais-je blasée), manque de personnel, manque de temps, manque d'argent, tout le monde est pressé, stressé, à l'hôpital comme ailleurs..... MANQUE DE CIVILITES, MANQUE DE RESPECT DU PERSONNEL DES MALADES reflet de notre belle société totalement déséquilibée et déséquilibrantesque.

Les malades, les vieux n'existent que pour remplir des tiroirs-caisses et la poche des actionnaires. LES HOPITAUX COMME TOUT LE RESTE, LA POSTE COMME SEUL EXEMPLE, d o i v e n t ê t re r e n t a b l e s.
Beau jeu, sur ce site de fustiger cet article du Figaro (qui est caricatural, je vous l'accorde, mais il l'est tellement qu'il joue lui même contre son propos), et sans contradiction de nos anti-fonctionnaires patenté (Ou notre, n'y en a-t-il qu'un?)

Mais tout de même, la première année depuis 2000 que ces effectifs n'augmentent pas? Est il donc normal qu'ils augmentent tout le temps? Et s'ils n'augmentent pas, est ce l'excuse sur laquelle il faut se jetter pour justifier une augmentation des incivilités? Les "j'vous l'avais bien dis" sont ici beaucoup trop facile. Vous aviez un coup de mou, ce matin, Daniel?
Le médiateur, dont la journaliste du Figaro parle dans son chapeau, était au 13H de France Inter pour parler de ce problème.
N'y aurait-il pas un plan com derrière tout ça?
Vous avez flairé quelquechose Daniel ou vous avez des infos?
Que nous prépare-t-on?
Dans les deux causes subrecpticement évoquées par Le Figaro, ne pas non plus négliger les luttes internes de pouvoir. L'hôpital est une jungle, dans laquelle le soin des patients importe moins, pour certains, que le prestige du poste et l'ambition carriériste. Pour eux, un acte médical est d'abord un geste technique, et une pathologie n'est estimée qu'en fonction de son degré de rareté, de la difficulté qu'il y a à la soigner, et du brio avec lequel ils s'en sont sortis. Ceux que cette approche rebutent, déjà submergés de travail, craquent.

Je parle d'expérience. Celle-ci est partagée. Certains en ont même fait des livres.
Le Figaro devient presque aussi libéral que les pages économiques de Libé et du Monde
Totalement d'accord avec votre article . (Attention on va encore dire que vous êtes de gauche...) Comment soignants et malades se sont-ils soudain transformés en racailles ? Il faudrait aussi conseiller à Delphine Chayet d'écouter l'agressivité et le mépris des gouvernants qui pourraient comme l'identité nationale avoir leur ministère.
Au vu de l'actualité de fin décembre: préférez-vous vous faire opérer d'une
hernie discale à l'hôpital public ou dans une clinique privée des beaux
quartiers?

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Une illustration des casseurs de services publics qui à présent jouent aux candides
Voilà une saine colère matinale Daniel.
Mais attention au coup de sang, il pourrait vous mener tout droit aux urgences...
Malheureusement les situations dénoncées plus haut sont le
lot de beaucoup d'entre nous . Nous avons tous remarquer
cet état de fait dans les hôpitaux . Au delà du fait des sous
effectifs chroniques et des coupes de fonctionnaires on peut
tout de même parler de négligences et parfois d'incompétence .
Dans le milieu médical ca fait plus peur qu'ailleurs !!
Par contre pour les très riches les passes droits sont légions
et les RDV arrangé entre gens de la haute c'est monnaie courante .
Comment s'étonner alors de l'espérance de vie si différente entre
les catégories ouvriers employés et les cadres sup. et dirigeants
d'entreprise .
La médecine à 2 vitesses ca existe , ce n'est pas une légende .

"C'est une vieille dame oubliée pendant des heures, sans couverture, sur un brancard des urgences. Un patient dont la douleur a été minimisée, voire moquée. Ce sont des propos infantilisants, un bruit constant, y compris la nuit, un soin intime réalisé porte ouverte…"


qui veut noyer son chien....
on a connu ça à l'EN entre 99 et aujourd'hui....et plus généralement ça remonte à Courteline critiquant les ronds de cuir au début du siècle dernier. c'est une vielle habitude du libéralisme (même modéré), on veut le désengagement de l'état pour qu'un maximum de choses tombent dans le giron des intérêts privés, problème les français étaient attachés à leur services publics, Il faut donc casser du fonctionnaire, fustiger la dette etc etc
Un peu s'en est allé avec les 1800 emplois supprimés cette année...
Je me souviens que le chroniqueur économique très libéral de TF1 ( je ne me souviens plus de son nom) qui ne manquait pas de fustiger ces fonctionnaires trop nombreux , a eu un malaise cardiaque. Par la suite ,il avait , avec une grande honnêteté , modéré ses propos , et rendu hommage au personnel hospitalier .
Quand on aura eu une femme de ministre accoucher à la ferme, parce que la maternité la plus proche était à 150 kilomètres, on commencera à se demander ce que signifie, la continuité territoriale du service public, quand on aura eu un ministre mal opéré du fait du manque de moyens, on commencera à se demander ce que signifie la notion d'équipes à taille suffisante.
Et quand on aura le résultat du système de santé qui est en train de se mettre en place, on aura rattrapé les Américains, qui eux entre temps auront progressé.

Le pire du modèle américain, pas ce qu'il a de mieux.

http://anthropia.blogg.org
Pourtant, la vérité est facile à trouver...
Pas besoin de couper les cheveux en quatre !
Encore un beau marché.

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