Les "Echos",  journal des patrons, au secours de Nestlé et des multinationales. Le gouvernement néolibéral complice. La santé des gueux, ils s'en tapent. La preuve : ils viennent de réautoriser l’utilisation des pesticides aux milliardaires de l(...)

Cette escroquerie ne doit pas cacher les autres  méfaits, d'abord la main basse sur l'eau qui de bien commun devient dividendes, la pollution phytosanitaire qui est aussi le lot commun des eaux de nos rivières où flore et faune sont très malades(...)

Encore un nouveau coup de billard à trois bandes !!! Tout d'abord Nestlé dont on doit quand même rappeler qu'il s'agit d'une multinationale qui crée des emplois, participe activement à la reforestation en Cote d'ivoire dans les plantations de cacaoye(...)

Proudhon disait que "La propriété, c'est le vol". De la même manière, on pourrait généraliser par "Le capitalisme, c'est le crime". Le capitalisme ne recule devant rien pour assouvir sa passion première et même sa seule raison d'être : le profit. Et aucune loi, aucune éthique, aucune morale, aucune vie même ne peut ni ne doit tenir face à cette obsession première.

Quelque part, je ne reproche même pas au capitalisme d'être ce qu'il est. Le ciel terrestre est bleu, l'eau mouille et le capitalisme ne respecte rien dans sa quête de profit. Et ce quoi qu'il puisse prétendre sur sa prétendue responsabilité.

Ce que je NOUS reproche collectivement, en tant que société, c'est d'accepter, d'autoriser que le capitalisme continue à exercer sa folie dévastatrice et prédatrice. Alors qu'il devrait être désormais une chose sue qu'il n'est pas possible de contrôler le capitalisme, ni de manière interne ni de manière externe. Quelles que soient les bornes qu'on pense poser, il va les dépasser si derrière elles se cache un possible profit. Ce que je NOUS reproche collectivement, c'est de ne pas arriver à penser et mettre en œuvre une société sans capitalisme.

Alors oui, il y a une difficulté supplémentaire : que cette société ne (re)tombe pas non plus dans certaines erreurs passées telles que le marxisme-léninisme ou le fascisme (liste non exhaustive). Cependant... on notera que, en dernière analyse, le premier a été une espèce de capitalisme d'état et que le second s'accoquinait très bien avec lui.

Mais avons-nous le choix ? Alors qu'il est désormais évident que le capitalisme, au-delà de son simple mépris pour les lois, l'éthique, la morale et les existences individuelles, est même prêt à sacrifier les conditions mêmes de la possibilité de la vie sur Terre sur l'autel de la "valeur actionnariale", nouveau terme pour signifier... le profit.

Encore un nouveau coup de billard à trois bandes !!! Tout d'abord Nestlé dont on doit quand même rappeler qu'il s'agit d'une multinationale qui crée des emplois, participe activement à la reforestation en Cote d'ivoire dans les plantations de cacaoyer et qui régale les petits et grands avec des produits de qualité; Grosquick, par exemple un personnage qui évoque pour de nombreuses personnes cette délicieuse poudre riche en cacao qu'est le Nesquick qui ensoleille depuis des lustres les petits déjeuners de millions de personnes, A croire que certains souhaitent ici,  que nos enfants soient contraints de torréfier et transformer eux mêmes les fèves de cacao que Nestlé achète à des prix qui permettent à des milliers de familles africaines de vivre dans un certain confort. Nous pourrions évoquer les sauces Buitoni qui ont permis à de nombreuses femmes de se dégager du temps pour d'autres tâches ménagères, en effet un pot, une pizza !!! Ensuite la deuxième bande, les Echos un journal de qualité qui propose une vision lucide de l'économie et qui nous éclaire avec ses riches enquêtes et analyses bien éloignées de la vulgate marxiste d''Alternatives Economiques ou de la feuille de chou même pas cuisinée par Nestlé de mr Ruffin, Fakir ! Troisième bande, des attaques contre Domnique Seux sur ce forum alors qu'il s'agit sans aucune contestation de notre meilleur journaliste économique. Il serait sournois de souligner comme le font injustement remarquer certains sur ce forum  que la couleur de ses dents est liée à une trop grande consommation de produits Nestlé. Et bien non, il est intégre, pédagogue et nous enchante chaque matin ( sauf le vendredi ou un histrion gauchisant tente en vain de faire taire) par ses chroniques économiques à la hauteur de celle de Sophia Aram qui est à l'humour ce qu'est Mr Seux au bon sens gestionnaire ! D'ailleurs il serait que notre très actif premier ministre leur propose des responsabilités au sein de son nouveau gouvernement !

Et Dominique, qu'est-ce qu'il en dit? Sûrement qu'il "seux" révolte face à ces mauvaises manières, libres mais faussées, com' d'hab!

Le crédo de Manu et ses petits amis de la cour est de ne surtout pas entraver l'économie. Si pour cela il faut mettre des pesticides partout, vendre en bouteilles plastiques de l'eau équivalente à celle du robinet, empêcher le recyclage, casser tous les services publics de santé/enseignement/transports/énergie ... et bien ils le font. Et malheureusement ils le font très efficacement.

Et le lait nestlé? un peu blanco en plus?

Merci pour l'enquête

Diluer un scandale quend on vend de l'eau, fastoche !

Je ne savait pas que c'était Nestlé Waters.

Perso, je préfère Muddy Waters qui malgré son nom, est plus respectable que Nestlé.

Cette escroquerie ne doit pas cacher les autres  méfaits, d'abord la main basse sur l'eau qui de bien commun devient dividendes, la pollution phytosanitaire qui est aussi le lot commun des eaux de nos rivières où flore et faune sont très malades, le plastique, tous phtalates confondus,  qui inonde et pollue tout, jusqu'à nos océans.  

Et l'état qui alors a  préféré fermer les yeux que cette boutique! Et Il n'y aura pas de tracteurs sur les routes pour si peu....

Gomorra en somme !

Les "Echos",  journal des patrons, au secours de Nestlé et des multinationales. Le gouvernement néolibéral complice. La santé des gueux, ils s'en tapent. La preuve : ils viennent de réautoriser l’utilisation des pesticides aux milliardaires de l’agro-business au détriment de la santé de la population. 

Tout un symbole