22
Commentaires

La semaine où la Hongrie a bâillonné sa presse

L'autobiographie d'Assange, un bébé à l'Elysée, Berlusconi et la Mafia à la télé, Gbagbo sur Internet, l'Américaine de l'affiche de guerre, l'AFP et Twitter, menace terroriste contre le Jylland-Posten, loi liberticide en Hongrie, accident ou meurtre en Chine, star "blanchie" sur ELLE India

Derniers commentaires

J'espère qu'@si a suivi les derniers propos du ministre hongrois, au sujet de sa loi sur la presse, c'est plutôt intéressant ...
Vu aussi sur Rue89 à propos de la Hongrie, une journaliste qui se plaint que ce gouvernement "autoritaire" (c'est un synonyme de fasciste pour la presse ces jours-ci) que l'état a pris l'argent des caisses de retraites privés pour les donner à une caisse de retraite nationale. Encore une fois la presse défend la classe moyenne supérieure en omettant des informations, tel que le fait que la majeur partie des gens en Hongrie n'ont pas assez d'argent pour cotiser dans des caisses de retraites privées et qu'une telle réforme leur permettra de le faire. Et donc il se fait traiter de populiste.... Je ne vois pas ce qu'il y a de mal à prendre aux riches pour donner aux pauvres.

http://www.rue89.com/2011/01/01/la-hongrie-en-pleine-derive-autoritaire-a-la-tete-de-leurope-183208


Comme quoi la presse aux ordres ....
La chronique de Mr Korkos sur cette affiche est sur son blog:
http://laboiteaimages.blog.lemonde.fr/
La main droite posée sur le bras gauche, l'avant bras relevé et le poing serré, la commissure des lèvres pincée, pas de doute, il s'agit bien d'un
bras d'honneur.
Alain Korkos aurait certainement su nous trouver force références picturales préfigurant plus ou moins ce symbole qui dépassait peut-être l'intention de Geraldine Hoff Doyle et de son photographe.

Mais, aujourd'hui, combien de bras d'honneur en réponse au « Yes we can !» lancé avec l'imp(r)udence du néophyte par Barack Obama ?
Peut-on imaginer que l'arrivée d'un enfant modifierait l'image de l'homme fort ? Peut-on seulement envisager qu'une telle option ait effleuré la conscience présidentielle ? On s'interroge,effrayé que ça soit possible......Le dernier étage du cynisme.
"Viktor Orbán a attendu le début de la trêve des confiseurs pour mettre fin à la liberté de la presse en Hongrie. Bien vu, si l’on en juge par le silence assourdissant qui a accueilli le vote d’une loi muselant les médias, le 21 décembre", écrit Libé.

Effectivement. Avant ce 31 décembre, qui avait entendu parler de la nouvelle loi hongroise, qui entrera en vigueur demain ?"

Il suffisait de lire le Monde ou Courrier International qui en ont parlé dès le vote de la loi mais peut être que Libé était trop occupé à regarder ailleurs et @si également. Dix jours de silence assourdissant c'est long, même pour Libé mais je suis sûre qu'il ne s'agissait pas d'une auto-critique de leur part.
L'année 2011, qui devrait rimer avec bonze, commence pas super !
J'hésite entre donner le pompon à Berlu qui râle contre les séries sur la mafia qui donnent une mauvaise image de l'Italie (et lui, quelle image donne-t-il de l'Italie ?) ou aux Hongrois, qui font partie de l'Europe, qui ont élu un régime quelque peu "liberticide"... mais bon, on ferait mieux de regarder ce qu'il se passe chez nous... même pas sous la contrainte, les journalistes encensent le gouvernement pour la tranquillité des fêtes de fin d'année !
Je serais curieuse de savoir combien il y a eu de voitures brûlées...
Ce qui est curieux, c'est qu'on dénonce le blanchiment, mais pas l'amaigrissement, pourtant celui-ci est tout aussi évident.
Revendiquer sa couleur, certes, mais tout de même pas ses kilos en trop.

DÉCOUVRIR NOS FORMULES D'ABONNEMENT SANS ENGAGEMENT

(Conditions générales d'utilisation et de vente)
Pourquoi s'abonner ?
  • Accès illimité à tous nos articles, chroniques et émissions
  • Téléchargement des émissions en MP3 ou MP4
  • Partage d'un contenu à ses proches gratuitement chaque semaine
  • Vote pour choisir les contenus en accès gratuit chaque jeudi
  • Sans engagement
Offre spéciale
3 mois pour 3 € puis 5 € par mois

ou 50 € par an (avec 3 mois offerts la première année)

Sans engagement
Devenir
Asinaute

5 € / mois
ou 50 € / an

Je m'abonne
Asinaute
Généreux

10 € / mois
ou 100 € / an

Je m'abonne
Asinaute
en galère

2 € / mois
ou 22 € / an

Je m'abonne
Abonnement
« cadeau »


50 € / an

J'offre ASI

Professionnels et collectivités, retrouvez vos offres dédiées ici

Abonnez-vous

En vous abonnant, vous contribuez à une information sur les médias indépendante et sans pub.