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La députée, l'économiste, et les violences conjugales

Elle est députée d'opposition

Derniers commentaires

L'info étant sortie pourquoi faire grief à DS de l'évoquer ? Bien au contraire !
Elle a eu un sacré courage : déposer plainte !
Je pense qu'il n'aurait pas fallu en parler ; mais je pense aussi qu'à partir du moment où l'info sort à l'AFP, là, pour le coup, elle devient vraiment publique, et j'apprécie qu'@si s'empare de ce genre de traitement de l'info (pseudo-info).
C'est horrible ces histoires ; ça change à jamais l'image que l'on aura de ces deux-là ; Filippetti va continuer à passer à mes yeux pour une folle (désolée, elle soutient ségolène royal ^^), et Pyketti, que j'aim(ais)e bien me paraît d'un coup tout à fait étrange...
c'est con ; j'aurais bien aimé continué à les voir l'une pour ses discours politiques, l'autre pour ses brillantes argumentations économiques.

c'est vraiment trop con ; ça ne m'intéresse pas, et je n'arrive pas à faire comme si je ne le savais pas....


ps : pourquoi le 9'15 a disparu des vite-dits et gratuits ; il y a un trou de 7h à 17h, un truc comme ça, c'est bizarre non ?
Ayant toujours apprécié Molière, je vous remercie cher DS pour cette tranche de tartufferie 100% pur sucre, nappée de crème chocolat.

Non parce que si le traitement de cette affaire indigne votre âme innocente ou pose un cas de conscience à votre déontologie de journaliste, le plus simple était de ne pas en parler; et n'allez pas nous dire que le fait que l'information soit dans d'autres journaux vous mettait dans l'obligation d'en faire mention sur ASI sous prétexte que dans le cas contraire on pourrait vous accuser de "censure" ou autre, vous aviez un choix à faire; cela dit vos épanchements de jeune ingénu me font penser à Tony Soprano se plaignant de ses malheurs chez sa psy, c'est savoureux.

Concernant le fond de l'histoire, j'estime que l'information méritait de sortir. Après bien sur il faut voir le traitement qu'il en est fait, en faire ses choux gras pour faire vendre du papier c'est assurément du journalisme de caniveau mais l'information en elle même ne relève pas d'une sorte de journalisme à scandale.

Il ne s'agit pas de vulgaires histoires de coucheries ou d'un divorce sordide qui ferait étalage de la vie privée, on parle quand même d'un dépôt de plainte pour violences conjugales de la part d'une élue de la République.
Malgré la présomption d'innocence ce n'est quand même pas une affaire bénigne d'autant quand elle touche une représentante de la collectivité; ou alors il faut qu'on m'explique qu'un dépôt de plainte pour violences conjugales ce n'est finalement pas grand chose et que ce genre d'incidents n'a pas a être ébruité, cela relevant de la querelle entre amoureux plus qu'autre chose.

Quelque soit l'issue de cette plainte les faits demeurent extrêmement graves, car soit Thomas Piketty est coupable et doit être condamné, soit il est victime d'accusations fallacieuses méritant sanction exemplaire.

Enfin, ça n'a pas grand chose à voir avec le sujet mais je voudrais dire à ceux et celles qui usent du "Aurélie" à tour de bras qu'ici on est pas à une réunion d'encartés au PS; et par ailleurs vos 20€ de cotisation ne vous donne pas droit à tutoyer Aurélie Filippetti comme la première venue sous prétexte que vous partagez ses opinions politiques.
D'autant plus que dans les discussions sur les frasques de l'actuel directeur du FMI ou sur un célèbre amateur de montres, je doute que vous nous sortiez aussi facilement des "Dominique" et des "Julien"...
A mon humble avis, il y a d'abord, et avant tout, un problème de hiérarchisation de l'information. Dans le cas présent, il n'aurait pas été inutile pour DS de procéder d'abord à une pesée d'intérêts. La violence conjugale est certes un problème à ne pas taire, mais faut-il pour autant relayer l'information, nom des protagonistes compris, dès les premiers moments de la propagation de l'information? (Oui, sous couvert de décryptage, l'info est tout de même bel et bien propagée, d'autant plus si l'on est parmi les premiers à le faire, comme c'est le cas ici...)
N'aurait-il pas été plus pertinent d'attendre que les charognards peopolo-politiques aient exécuté (ou non) leurs basses œuvres de pseudo-information? Il aurait toujours été assez tôt, ensuite, de voir si le feu de brousse s'était vraiment propagé ou si les flammèches du scoopinet à tout prix avaient fini par s'éteindre faute de carburant - surtout quand on se veut un site de décryptage des médias, isn't it?...
Personnellement, je pense que le silence eût été la meilleure chose, 1.la présomption d'innocence devant jouer pleinement même si les faits reprochés par la plainte sont atroces, 2. le secret de l'instruction d'une enquête préliminaire étant d'autant moins étanche qu'il concerne des royalistes (rappel édifiant de l'affaire Dray), et 3. les personnages en question n'ayant jamais rendu publique leur relation privée dont les soubresauts, pour l'instant, ne regardent qu'eux seuls.



PS anecdotique: Il y a la théorie des six degrés de séparation (wikipedia) selon laquelle "toute personne sur le globe peut être reliée à n'importe quelle autre, au travers d'une chaîne de relations individuelles comprenant au plus cinq autres maillons". De DS à Filippetti, je compte un seul autre maillon (même école supérieure à un an près)...
Par curiosité, pourriez-vous m'indiquer, Hurluberlu, quelle école supérieure je suis censé avoir fait ?
Issu de l'Ecole Normale Supérieure[/[[5] -- qui continue d'être l'un des principaux viviers de l'élite intellectuelle et politique de la France, même si elle a un peu perdu de son lustre d'antan --, il possède une solide formation littéraire. Tous ces attributs font bien sûr de Schneidermann, non seulement l'un des principaux représentants du pôle le plus intellectuel de la sphère journalistique mais aussi un interlocuteur privilégié de nombreux chercheurs et universitaires qui participent plus ou moins régulièrement à son émission de télévision pour décrypter avec lui les images de notre « étrange lucarne ».

Trouvé sur http://commposite.org/v1/2000.1/articles/fortin.htm

Vous confirmez ?
Je suis au regret, Nathalie, de vous révéler que cette prestigieuse école a dû se passer de moi. Je ne suis titulaire que d'une licence en droit, et d'une demi-scolarité au Centre de Formation des Journalistes, à Paris (j'en suis parti après un an).

Moralité: ne jamais croire ce qu'on lit sur Internet. Ni ailleurs, d'ailleurs.
Et certains vous donnent comme diplômé de l'ENS, quelle promotion !

Moralité: ne jamais croire ce qu'on lit sur Internet. Ni ailleurs, d'ailleurs.


Ah bon. Tout le monde à la poubelle, ouste !

Moralité: ne jamais croire ce qu'on lit sur Internet. Ni ailleurs, d'ailleurs.

Complétons : «sans avoir auparavant soi-même vérifié les sources des informations lues». La difficulté tient à ce que les vérifications demandent, en général, du temps. Dans votre cas, il aurait fallu a minima obtenir une biographie validée par vous (... ce qui n'en garantit pas la véracité absolue) et consulter les annuaires des anciens élèves des écoles et universités dont vous auriez suivi les cours. Quel boulot !
Il vaut mieux que les gens puissent croire en certaines choses qu'ils ne sont pas obligés d'aller vérifier à tout bout de champ.
@si.net, tout de même :-)
Je me suis mal exprimé, alors: le seul autre maillon qui vous relie à Aurélie Filippetti, c'est Judith Bernard (faut regarder les liens): vous connaissez Judith, qui au cours de ses études a vraisemblablement croisé Aurélie Filippetti (un an d'écart à l'entrée à Normale), c'est tout. Ce qui ne donne que deux degrés (et non six comme le voudrait la règle) de séparation entre vous et Aurélie Filipetti: DS connaît Judith qui a connu Aurélie. Rien de grave, aucune conclusion à tirer, hein, c'est juste une application insouciante de la règle susmentionnée des six degrés de séparation, d'où la précision du terme "anecdotique", pour suggérer la légèreté du propos. Et j'ai croisé mes sources sur le ouaibe.

Ça m'apprendra à être succinct dans mes blagues, tiens.
psst : j'ai croisé l'info direct avec DS puisqu'il dément. Comme on dit dans ce cas : " allez donc à la source". C'est fait.
Mais je n'ai jamais prétendu que DS fût à Normale! Je dis juste qu'il connaît Judith, laquelle, ayant fréquenté la même école qu'Aurélie Filippetti, l'a probablement croisée. DS est séparé de Filipetti par un seul maillon, soit deux degrés de séparation... Application stricte de la théorie mathématiquement correcte mais quelque peu farfelue des degrés de séparation. Voili voilou.

Bon, c'est vraiment lamentable de devoir se justifier sur une blague qui me semblait anodine et qui a fait un bide retentissant. Pardon pour le flop...
Hurluberlu,

J'ai une paire de rame en soldes, déjà utilisée sur un autre fil d'@si, mais dont je n'ai plus l'utilité pour le moment.
Intéressé ?
Merci pour les rames, je crois que j'en ai bien besoin, quoique j'espère fort ne pas avoir à m'en servir à nouveau...
Des fois, comme ça, on a des grands moments de solitude :)
Tout cela ne nous dit pas combien il y a de maillons entre Hurluberlu et Daniel Schneidermann.
Les élus ne sont-ils pas, par définition, des personnes publiques, beaucoup d'entre eux ne se privant pas pour exhiber leurs vies privées, du moins quand cela les valorise et les arrange, quitte à porter plainte quand cela leur convient moins, ce qui est singulièrement ridicule.

L'exemple de Ségolène, très proche d'Aurélie Filippetti est emblématique : Il y a quelques années elle n'a pas hésité à accoucher - quasi - devant les photographes, histoire d'exhiber son exquise “maternitude”?

Pourtant elle n'hésite pas aujourd'hui à porter plainte contre Match (le choc des photos) qui la montre en couverture avec son nouvel amant, photo fort insignifiante au demeurant… Mais peut-être est-elle fâchée qu'un autre amant à qui elle aurait expliqué son absence par des obligations professionnelles soit un peu mécontent, voire contrarié d'avoir été roulé dans la farine…

En ce qui concerne les “violences conjugales”, même si je ne doute pas un instant qu'il y en ait beaucoup trop – et, effectivement, dans tous les milieux – il ne me paraît pas inutile de rappeler deux choses :

· Les femmes violentes, non seulement en paroles mais aussi physiquement ne sont pas si rares… Certains hommes supportent stoïquement et se retiennent de répliquer, d'autres (ou les mêmes, une autre fois) sous le coup le l'énervement, de la douleur ou de l'humiliation, peut-être même d'une combinaison de ces différentes raisons, balancent quelques gnons… Ce qui est très mal, mais explicable à défaut d'être excusable ! De toute manière on en parle peu, les hommes n'aiment guère avouer qu'ils se font claquer par leur compagne, je ne sais pourquoi ?

· Aurélie, que je n'ai pas l'avantage de connaître, ne me semble pas avoir le physique ni la mentalité soumise et timide de la femme battue type voir son gracieux visage de faible femme sur le bandeau de son blog, on peut se souvenir aussi de ses nombreuses interventions musclées voire carrément agressives sur les plateaux de télévision.

· Enfin il est très facile de porter plainte pour violences conjugales, il suffit d'avoir un gnon – peu importe l'auteur, y compris soi-même, de le faire constater par un médecin et de faire une main courante au commissariat du coin.

· J'en parle d'autant plus volontiers qu'on m'a fait le coup (si j'ose dire)… Les avantages sont énormes : on peut quitter le domicile conjugal quasi immédiatement (lorsqu'un amant vous attend en piaffant, voilà qui est bienvenu), on peut ensuite tenter d'en tirer avantage dans les conditions du divorce, ou même demander des dommages et intérêts et autres compensations financières. (C., si tu me lis…) À condition toutefois de pouvoir produire des témoignages de voisins ou amis qui auraient assisté à des actes déplacés, ou même auraient remarqué à diverses reprises des traces de coup… En pratique les simulatrices n'y parviennent généralement pas car lorsqu'il s'agit d'écrire en bas d'un faux témoignage la phrase sans laquelle il n'a pas de valeur : “Je suis informé(e) que tout faux témoignage est passible de sanctions pénales.”, un léger recul doit se faire sentir ! De plus il existe des gens honnêtes, par bonheur !

· Aurélie a commis 2 ouvrages, le second a pour titre “Un Homme dans la Poche”


Ah! Bon !

P.S. : L'article de Libé, Thomas Piketty est chroniqueur dans ce canard qui laisse crever une de ses salariées dans le hall d'entrée…

***
Il est possible de voir le problème de la médiatisation sous un autre angle : des noms de personnes impliquées à tort ou à raison dans des affaires judiciaires sont quotidiennement rendus publics, notamment dans la presse locale. Or, je n'ai jamais lu de critique de ce fait, sauf lorsqu'il s'agit de personnalités publiques.
Il y a peut-être une spécificité de traitement des personnalités publiques (qu'on protègera souvent, et qu'on lynchera parfois) mais ce serait dommage de ne pas traiter en corollaire le sort médiatique du citoyen lambda, souvent lynché.

PS : posté avant de lire le message de Gari
Le fait que les protagonistes de cette affaire sont (un peu) connus a fait, bien sûr, que l'info a été reprise par l'AFP et donc mise à la libre disposition de tous les diffuseurs de nouvelles de France et de Navarre, mais l'AFP est dans son rôle et je ne vois pas en quoi on pourrait la blâmer. Non, ce qui est problématique, et depuis toujours, c'est que toute plainte déposée dans un commissariat peut être mise sur la place publique, les policiers étant ravis d'en faire état auprès des localiers qui viennent chaque jour les voir. Il suffit de se plonger dans les pages «Faits divers» de nos journaux de province (et dans les éditions locales du Parisien, soyons juste) pour lire des brèves dans lesquelles le «malfaiteur» est nommément cité, le malfaiteur pouvant être un chauffard, un mari violent, un violeur, un pédophile, un escroc... Au stade où l'information est révélée par la presse, il n'est évidemment que «présumé», mais cela n'empêche que son nom, et parfois même son adresse, sont imprimés «dans le journal» et restent. Si plusieurs jours, semaines ou mois plus tard, la plainte est classée «sans suite», les mêmes journaux font très rarement état de l'abandon des poursuites.
Dray, Royal sur les photos des Bahamas, Piketty pro-Royal, Filipetti pro-Royal, le Figaro ou Paris-Match qui sort ces affaires, tout cela m'a l'air fort organisé politiquement,

on se demande si ne se joue pas un grand plan de com anti-Royal ou proches, selon le vieil adage, Calomniez, il en restera toujours quelque chose. il faut bien contre-attaquer, pour faire baisser la cote des autres, quand la sienne est au plus bas, façon de mettre tout le monde à l'étiage.

Maintenant, les questions de violences conjugales ne sont pas à passer sous silence d'où que vienne la rumeur, la question est : est-ce vrai ? Et la moindre des choses est de rappeler la réponse d'Aurélie Filipetti "vie privée", quand celle de Piketti est "caniveau", Un écart dans la réponse qui fait penser.

http://anthropia.blogg.org
Tout évènement ou fait-divers propre à mettre en difficulté des personnalités de gauche, est généralement révélé avec une certaine jubilation par la presse de droite (et vice-versa).
Ce côté fouille-merde sélectif n'est pas du tout surprenant de la part d'un journal comme le Figaro.

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Daniel,

Vous revenez souvent vers nous pour nous faire part de vos doutes concernant le thème "parler ou ne pas parler d'événements privés d'individus publics" (affaire DSK, Sarko/Bruni...)

Bien que ce soit tout à fait louable, il ne faudrait pas se cacher et tourner en rond indéfiniment: demander aux @sinautes leurs avis revient à parler de l'affaire et à contribuer -à juste titre ou non- à la diffusion de l'information. Ce pourrait passer -chez les mauvais esprits- pour de l'hypocrisie.

Je pense que pour la clarté du débat et par honnêteté intellectuelle, vous devriez tenir une ligne claire par rapport à ces affaires, vous y tenir et ne pas nous demander à chaque fois ce que nous en pensons.

Bon courage

F.
Bien d'accord avec Nathalie. M'enfin, il faut bien rapporter ce que l'on a entendu aux infos. J'ai pas encore ouvert mon journal, m'est avis neanmoins qu'il y a d'autres choses à se mettre sous la dent, à mettre sous les molaires redoutables du Décrypteur Schneidermann.
Sinon l'illu de ce matin montre bien l'importance du département. C'est une image super rassurante, je trouve, cette France - en tons de rose en plus - rapidement et administrativement découpé, appliqué dans cette tâche, la langue de côté, entre les dents - les candides - dont on pourra se targuer ou trouver rassurant, câlinant en si beau matin, voire, d'habiter et partager un lieu de vie pas trop mal coté.
-Ah, tu as vu, chéri, dit-elle à son mari en étirant ses deux bras frêles au ciel, ces pauvres calaisiens sont au moins trois fois plus exposé au risque de se foutre sur la gueule que nous? Je suis contente d'être ardéchoise ce matin...
-J'ai pas le temps, pupuce, excuse-moi je ne t'écoutais pas...
Elle porte plainte, pour violences conjugales. Le parquet de Paris ouvre une de ses célèbres "enquêtes préliminaires"


Message 1/5max du 04/03/09.


Le seul problème ici à mon sens, c'est que l'affaire s'ébruite avant l'éventuel procès et son verdict.

Car, je ne crois pas que les dépôts de plainte facent habituellement la une des journaux. Par contre, si les violences conjugales sont avérées par la justice, quelques soient les personnes concernées, célèbres ou non, elles devraient être plus souvent en première page, histoire de souligner que ce n'est pas qu'un simple fait divers.
Après tout, même des accidents de voiture figurent régulièrement en une de la P.Q.R.

yG
Et les souffrances privées des personnes présumées publiques, en vertu de quel droit absolu nous en emparons-nous ?

C'est vous DS qui choisissez ce matin de vous en emparer, rajoutant ainsi du bla bla à un entrefilet dans la presse comme il y en a tant. Pourquoi ce matin ? N'y avait-il rien d'autre à signaler ? Celui-là est déjà oublié de tout le monde.
[quote=de quelle omerta auriez-vous accusé lémédias, s'ils s'étaient tûs?]
Le petit chapeau sur "tûs", c'était pour mieux faire sentir l'omertà ?
Parle plus bas car on pourrait bien nous entendre.... ;-))

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