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Indulgence envers des violeurs : une pétition contre CNN

Les commentaires indulgents de journalistes de CNN après la condamnation de deux jeunes footballeurs pour viol dans une affaire très médiatisée à Steubenville (Ohio) provoquent une polémique aux USA : plus de 200 000 personnes signent une pétition en ligne.

Derniers commentaires

Ce vite dit sur la baisse des prestations sociales en Grande-Bretagne, ne nous apprend pas grand chose qu'on ne sache déjà : la droite anglaise est aussi pourrie et cynique que son homologue française. Voire un peu plus.
Le Ministre du travail qui habite une résidence du XVIe siècle avec piscine et tennis, et affirme pouvoir vivre avec un peu plus de soixante euros par semaine s'il y était contraint, mérite simplement d'être pendu avec les tripes de son Premier Ministre.
En Une du Daily Mirror affichant son "Shameful", apparait aussi la sale gueule de Di Canio, nouvel entraîneur de l'équipe de foot de Sunderland.
Cet ex-joueur du championnat italien, admirateur de Mussolini auquel il a consacré un livre, arborant le tatouage DUX (Duce en italien) sur son biceps droit, et auteur de nombreux saluts bras tendu sur les terrains où il évoluait, ne nie pas être fasciste (comment le pourrait-il ?), mais affirme, sans rire, ne pas être raciste. Sa nomination à Sunderland a tout de même entraîné la démission du frère aîné du leader travailliste, Milliband, des instances dirigeantes du club.
Je suis peut-être naïf, mais je pense qu'aucun club français n'oserait recruter ce genre d'individu.
Il me semble qu'un petit rappel anthropologique peut être utile: Un aspect important du viol est donné dans l'attitude des autorités lorsqu'une femme porte plainte pour viol contre son mari. Tous les gendarmes rient dans la gendarmerie. Au même titre que les orgies rituelles, le droit de cuissage, la prostitution sacrée, le mariage est une transgression de l'interdit du viol. Comme l'illustre le rite du ravissement ( double sens) de la mariée sur le pas de l'église, il est la cérémonie à l'issue de laquelle devient obligatoire ( devoir conjugal) ce qui était auparavant prohibé.
Cela révele bien l'anomie toujours plus grande qui sévie de plus en plus aux USA. Qu'elle belle amérique qui partait soit disant en Afganistan contre les talibans qui soumette les femmes. Alors que les americains n'arrive meme pas a proteger en amont leurs filles, et en avale à faire tous contre les abus qu'elles subissent !

Honte a ce pays soit disant avancé, mais qui est a bien des égard bien plus arièré que la campagne la plus profonde de la mongolie intérieur !
Triste triste histoire, heureusement que les Anonymous ont pu passer par là... Et c'est bien impressionnant comment les gamines de la famille prennent parti pour leurs salopards de proches ! C'est aussi le comportement de ces "futures" femmes qui agrave la culture du repli sur soi en cas d'agression.
Et hop là, rebelote dans le connecticut !

Et là, je repense à tous les articles de notre presse mainstream analysant l'affaire du viol dans le bus en inde, avec cette grille de lecture bêtement universaliste, condescendante, tentant de déceler dans la culture indienne l'indice qui permettrait de comprendre comment ils avaient pu en arriver là...

Il est l'universalisme, et il est dans de beaux draps.
(ouais c'est la deuxième fois que je mets le lien. Y'en aura surement une troisième).
Il y a dans cette histoire un rappel d'une évolution assez hallucinante de notre société : on fait comme dans les films pornos. Les Etats Unis regorgent d'exemples ou des personnes tout à fait consentantes reproduisent conscienceusement des orgies avec les codes du film porno.
Et comme dans les films pornos les filles ont pour rôle de n'avoir aucun tabou, et les garçons d'en profiter.

En l'occurrence la victime était inconsciente, mais pour l'ensemble des partcipants et des spectateurs, il s'agissait d'une scène vue des dizaines de fois.
Cette histoire fait peur. Moi qui m'etonnais de la brieveté de la peine devant l'horreur des faits (on est au delà du viol dans l'ignominie). Que se passe-t-il dans la tete de ces journalistes? A vomir.
A la décharge des journalistes, peut-être, je dis bien "peut-être": elles ont vu et entendu la plaignante, mais elles ont aussi vu les accusés, pas des physiques de brutes, probablement, mais des jeunes ordinaires, bien comme il faut, et elles ont entendu les avocats de la défense. Ce n'est pas pour rien que, dans le monde civilisé, la défense s'exprime en dernier. Alors, elles sont peut-être restées sur la dernière impression.
Loin de moi l'idée de légitimé le viol mais entre les faits reprochés à ces deux violeurs, le commentaire des journalistes et vos commentaires, Je ne cautionne aucun des trois

Depuis quand la prison (et surtout française, américaine) est le remède à tout
Pensez-vous justement qu'il y a un problème et que plutôt de vouloir enfermer sans réfléchir, il serait grand temps de se demander comment des jeunes peuvent arrivés aujourd'hui à commettre ce genre de crime

Ne pensez-vous pas que JUSTEMENT la prison n'est pas le lieu pour permettre à ces jeunes de se reprendre, de devenir responsable, mais que JUSTEMENT la prison ou centre de rétention sont des lieux qui poussent à la délinquance.

Je ne suis pas juriste, je ne suis pas avocat mais je suis choqué que lorsqu'il y a des actes aussi ignoble, on retrouve des commentaires aussi haineux et ignobles sur les personnes reconnus coupable. Je ne dis pas qu'il faille les cajoler, les plaindre mais ce poser des questions sur l'avenir des personnes violés mais AUSSI sur l'avenir de ces jeunes criminels

La passion prend TROP SOUVENT le pas sur la raison

C'est peut-être la question que se pose cette journaliste
C'est pourtant clair:
agresseurs - agressées.
Pendant des siècles les hommes se sont comportés, et se comportent encore aujourd'hui, comme des crapules avec les femmes.
Évidemment qu'il y aura toujours des raisons qui expliquent ces gestes (bêtise, éducation, contexte social), mais à un moment donné, il faut arrêter de tergiverser et d'être dans le ni-ni, rb; il n'y a ici ni chèvre ni chou à ménager. Il s'agit d'un agression doublée de lâcheté d'hommes qui s'y prennent à plusieurs sur une nana, quelle chance avait-elle de faire valoir ses droits à ce moment-là ? les journalistes femmes qui ont commenté cet événement, sont davantage scandalisées par ce qui risque d'arriver à ces pauvres chérubins que par ce que cette nana va se trimbaler à vie comme fardeau; mais putain faut pas déconner.
Pendant des siècles les hommes se sont comportés, et se comportent encore aujourd'hui, comme des crapules avec les femmes

Je vois que vous n'avez JAMAIS vu l'inverse

Une personne m'a raconté un jour, que lorsqu'il était plus jeune, il travaillait dans une minoterie
Il a dut livrer un sac de farine dans une maison où une femme forte poursuivait son mari avec un rouleau à pâtisserie.

De plus, ce qui me choque dans les commentaires et le votre en particulier c'est cette manie d'avoir la haine des hommes et de traiter les femmes comme des petites fleurs quoi qu'il arrive (je précise que je parle en général pas de ce cas en particulier et je ne dit pas qu'une femme fait quelque chose pour se faire agresser); Il y, ne vous en déplaise, des femmes qui agressent physiquement ou psychologiquement des mec (étant victime, je peux en dire beaucoup la dessus)

l'autre chose aussi, c'est l'agressivité dans vos propos, il ne s'agit pas de faire le nini mais simplement de se poser des questions afin d'arranger les choses sereinement et de manière définitive. A vous entendre, il faudrait sortir l’échafaud dès qu'un homme s'en prend à une femme... Etes-vous pour la peine de mort dans ce cas là ?
La violence mène à la violence et n’arrange rien

Enfin,

Ce n'est pas avec la violence et la haine que l'on règle ce genre de problème mais en réfléchissant un peu, et de trouver comment résoudre définitivement ce problème
1. Ca n'engage que moi mais je n'ai perçu aucune agressivité dans le commentaire de Fan de Canard. Il ne faisait que remettre les choses à leur place: il y a des agresseurs, une agressée. Cela n'empêche pas de se poser des questions sur la justesse d'une peine, mais le fait d'excuser les agresseurs, de minimiser la portée de leurs actes est simplement inacceptable.

2. "cette manie d'avoir la haine des hommes et de traiter les femmes comme des petites fleurs quoi qu'il arrive"
Vous rendez-vous compte ce que cette seule phrase porte de paternalisme ("petite fleur", mais je rêve) et de négation de la réalité ? Des femmes qui commettent des violences conjugales (et plus généralement intra-familiales), il y en a, je suis la première à le reconnaître, mais il faut tout autant reconnaître que, pour l'instant, c'est une infime minorité dans l'ensemble des violences familiales. Quant à cette haine des hommes, elle relève de votre fantasme: critiquer le comportement de certains hommes, dénoncer le caractère non seulement criminel mais profondément ignoble de certains actes de viol (qui ajoutent l'humiliation publique à l'agression physique et à la destruction psychologique), ce n'est pas avoir la haine des hommes, c'est remettre les choses à leur place. On pourrait dire exactement la même chose si la victime était un jeune garçon, d'ailleurs, et nul doute qu'il y a aussi des garçons violés dans certains vestiaires de foot ou au terme de soirées trop arrosées.

3. Vous soulevez dans votre premier message de vraies questions. Je suis personnellement très peu convaincue des vertus pédagogiques de l'enfermement. Mais, tout en ayant cette réflexion, on ne peut que s'interroger sur des peines somme toute "faibles" par comparaison avec les peines prononcées lors d'autres agressions physiques (tabassage qui laisse la victime pour morte), d'autres délits (vols avec arme). Il y a là quelque chose de profondément dérangeant: si l'agression est sexuelle, elle est moins grave ? Le fait que la vicime soit ivre est une circonstance atténuante pour les agresseurs ? On peine à comprendre.

Mais puisque vous proclamez la nécessité d'aller plus loin, il faut s'intéresser au fait que ces agresseurs-là ne voient pas "où est le mal". Et que des journalistes non plus, apparemment. Il faut croire que quelque chose fait défaut dans la transmission d'une valeur simple: imposer des relations sexuelles à une personne en état de faiblesse, d'inconscience, incapable d'exprimer son consentement ou son refus est un acte très grave. Qu'est-ce qui, dans le cadre éducatif et social dans lequel ont grandi ces deux jeunes hommes américains, a pu "merder" au point qu'ils ne puissent pas se mettre un instant, même a posteriori, à la place de leur victime ?
2. Je ne parle pas que des problèmes conjugaux mais aussi du comportement de certains femme dans certaine situation (Fonctionnaire et contrat aidé) (Fonctionnaire/chômeur)
des femmes qui profite de handicap des autres etc...
Il n'y a pas que la violence physique, il y a aussi la violence psychologique.
Il n'y a pas que les problèmes conjugaux, quand à dire que les violence physique.psychologique de femme sur les hommes sont rare, cela vient sans doute du peu de plainte et que les hommes victimes sont des hommes déjà fragilisé et qu'il en ont honte également
Vous êtes probablement tellement endoctriné dans le féminisme, que vous êtes incapable de voir la réalité de notre société.
Mais là on s'écarte un peu du sujet
Concernant la haine des hommes, je signale que se sont ses même hommes qui trouveront normal qu'un homme se fasse vociféré dessus qui trouveront anormal le contraire

Je ne parlerai pas du 3) car nous somme d'accord sur ce point

Mais pour le reste vous dite que
ces agresseurs-là ne voient pas "où est le mal"
Je ne vois nullement ce genre de propos dans l'article...
Les journaliste ne dites pas ce que vous prétendez mais ce pose des questions sur l'avenir de ses jeunes
car même après incarcérations, ils se souviendront TOUJOURS de ce qu'ils ont fait et c'est un poids qui les suivra jusqu'à la fin de leurs jours comme pour les agressés
Ah, autant pour moi, vous pensez que le féminisme est un endoctrinement, end of discussion.

Je maintiens: tout le problème dans cette affaire judiciaire ce sont tous ces gens, dedans et autour, qui "ne voient pas le mal".
Je ne dit pas que le féminisme est un endoctrinement je dis que vous êtes endoctriné par le féminisme

On peut resté neutre et écouter les féministes comme les autres d'ailleurs, chercher savoir connaitre comprendre etc... et se faire un jugement
On peut aussi prendre les propos du couple "Buffet-Autain" et en faire une bible

end of discussion
La fuite... :D
Non, la fuite aurait été de vous adresser les insultes qui me sont venues à la lecture de votre premier message. Ma patience me perdra.
Non, la fuite aurait été de vous adresser les insultes qui me sont venues à la lecture de votre premier message. Ma patience me perdra.
Les insultes sont les arguments des faibles, ne le savez-vous pas :D
Attendez là c'est pas un problème de féminisme, et je peux vous le dire puisque je suis assez macho moi-même ;).
Là une ou des personnes ont agressé de manière assez ignoble une autre personne. Les faits tels qu'ils sont décrits sont justes immondes tant ils violent dans tous les sens du termes ce qu'est la victime, celle-ci se trouve agressée, humiliée traînée, et globalement traitée comme inexistante, et ce quel que soit le sexe de la victime et de l'agresseur.
Voir ma réponse à synapse
Je crois que vous vous plantez complètement dans l'analyse des réactions.
L'idée n'est pas jouer les "petites fleurs", mais de constater que ce fait divers révèle de façon tout à fait spectaculaire une tendance de fond des sociétés occidentales, ce qui est théorisé aux Etats-Unis comme la culture du viol.
On voit très bien dans ce fait divers que la victime n'a même pas dans ce reportage tendencieux le statut de victime, lequel est réservé à ses agresseurs.

1)La victime l'est de fait de par son agression.

2)Pour la police, elle n'est d'abord pas "trop" victime : elle n'est pas la "bonne victime", puisqu'elle a bu et qu'il s'agit d'une histoire considérée de sexe (le viol n'est pas une histoire de sexe, mais de contrôle et de pouvoir dont le moyen est l'emprise sexuelle). Ici intervient la seule considération féministe, si tant est qu'il faille qualifier forcément de féministe les faits culturels suivants : elle est de sexe féminin, le mélange alcool/sexe est hyper mal vu pour les très puritains étatsuniens; a contrario, le mélange est célébré pour les membres de la gent masculine. La conséquence au premier niveau judicaire est tout de même très malheureux, vous en conviendrez. Malgré les constations du médecin légiste, il faut que les parents apportent des preuves photographiques et informatiques (vidéos/tweets) pour que la machine commence à se mettre en marche.

3)La victime est une personne dont on sait qu'elle s'est "laissée aller" à trop boire. Les agresseurs sont des starlettes sportives, une classe à part qui jouit de privilèges en tout genre assez étonnant. Le sport génère énormément d'argent pour les établissements scolaires (la scolarité coûte un fortune là-bas, et peu d'implication des états), il y a de nombreux, très nombreux passe-droits pour les sportifs. Dans l'opinion et dans les faits, ils ont l'avantage.

4)Pourtant, ils l'ont abusée sexuellement, lui ont pissé dessus, ont filmé tout celà, ont continué à blaguer dessus des heures et des jours après. On peut légitimement en déduire que le remord, c'est pas trop leur truc, qu'ils ont plutôt l'air contents de leur coup en fait.

5)Il y a quand même 2 d'entre eux dont la culpabilité est prouvée. Ils vont passer en jugement, mais n'écopent pas de grand chose, tout chose considérée. Entre Anonymous, qui balance à la face du monde des documents qui existaient déjà, mais qu'ils font circuler afin de démontrer que tout n'est pas fait pour rendre la Justice sur cette affaire : d'autres personnes étaient présentes, et si elles n'ont pas elles-mêmes violé cette fille, elles étaient présentes et n'ont rien fait pour arrêter ça, non, elles ont même participé à l'humiliation. On peut parler de complicité, non?

A partir de là, je ne vois pas en quoi les réactions seraient de l'endoctrinement "féministe". Clairement, il ne s'agit pas de soutenir cette fille parce qu'elle est une fille, même s'il s'agit de l'une des composantes du discours, mais de constater que cette victime ne voit pas la machine judiciare se plier en quatre parce qu'elle n'est pas considérée comme la victime qu'elle est. Vous qui prétendez être victime justement, vous devriez comprendre cela.

7)Le jour du jugement des 2 violeurs (les faits sont désormais qualifiés et la Justice les reconnaît coupables), les médias sont présents, et un reportage est réalisé et diffusé par Fox News, chaîne éminemment regardée tout de même, par des millions d'étatsuniens.
Les commentaires en voix off nient la victime. La journaliste présente (une femme donc), s'émeut que ces pauvres sportifs voient leur vie ruinée, qu'ils vont supporter pendant des années l[s]es conséquences de leurs actions criminelles[/s] [s]les conséquences de ce que la Justice aveugle a décidé[/s] l'injustice d'une sentence trop cruelle considérant leurs qualités et leur avenir si brillant et si important pour la société.

Je ne peux pas comprendre que vous fassiez des réactions à ce fait divers qui ne reflète pas un comportement civilisé s'adressant en toute impunité au plus grand nombre, qui banalise une violence et une déliquescence extrême, une réaction psychotique endoctrinée. Je ne peux pas comprendre que vous qualifiez de "petite fleur" cette fille. Si cela était arrivé à un homme, la réaction serait la même (voir les photos dégradantes sur des prisonniers de guerre par des soldats US par exemple). Vous vous trompez de combat et passez complètement à côté de la plaque en défendant ceci.
D'aucun jugeront d'ailleurs que vous êtes l'exemple parfait pour illustrer la culture du viol.Consultez d'urgence les liens ci-dessus, j'espère que ce sera plus clair pur vous et que vous comprendrez votre erreur de jugement si nocive.
Synapse,

Voilà une démonstration tout à fait irréprochable.
19,75 / 20. Voté. Plussoyé. A faire circuler. A articliser. Et plein d'autres trucs en er.

Les gens bien, c'est bien.

(non seulement j'ai rien à ajouter/enlever à votre commentaire mais en plus j'en perds toute capacité à articuler des mots. Même pas, même des phonèmes cohérents ça marche pas... Gni, sprrrmout, lööñr, miaou.).
Le sujet à complètement dévier
Concernant l'affaire, j'ai bien dit que je ne cautionne pas ce que qu'on fait ces jeunes mais que au lieu de m'emporter sur leur actions et de s'attaquer également à la journaliste qui a écrit l'article (ce qui n'a pas été très loin dans le débat) je me suis poser des questions sur les raisons pouvant pousser une personne à ce stade là

en suite , au file de la discutions, je ne sais plus trop comment, le sujet est partit sur le thèmes, pour faire cours, la femme c'est la gentille et l'homme le méchant, donc on est revenu le "féminisme" et nous avons parler (du moins moi) des agressions en générale entre personne de sexes opposés (c'est là que j'ai parlé de "petite fleur")
dire que AUSSI des femmes peuvent avoir des comportement exécrable sur les hommes, profiter de leur vulnérabilité, de leur fragilité (et oui, STOP au cliché de l'homme fort et la femme faible, l'inverse existe AUSSI) de certains hommes (dont moi dans la vie réelle)

Encore une fois, je ne cautionne pas l'attitude de ces jeunes, il est normal qu'il soit jugé et condamné mais il est malheureux que des jeunes garçons en soient arrivé là, à faire une act aussi IGNOBLE qu'une agression physique (quelque soit le sexe de la victime)

Pour le reste, j'aurai préféré que le sujet parte que les moyens (les prison n'est pas une solution pour beaucoup de raison) et surtout se demander comment des personnes peuvent en arrivé là et s'attaquer au cause

Ce qui est à mes yeux plus constructif que toutes les vociférations que j'ai entendu ici
C'est tout le problème des rouleaux à pâtisserie*, qui leur servent à nous préparer de délicieuses tartes (perso, j'ai une préférence pour la tarte au citron du livre de recettes Tupperware), mais qui, lorsqu'elles sont de mauvaise humeur, peuvent devenir, entre leurs mains, de redoutables armes contondantes.

*Il existe heureusement aujourd'hui des rouleaux légers, en silicone, dont les concepteurs sont très probablement des hommes battus.
J'ajouterai que le rouleau à pâtisserie n'est pas le seul ustensile ménager présentant un danger pour l'homme.
Une cuisine recèle un grand nombre d'objets lourds, coupants, pointus, que la femme peut utiliser comme armes.
Un coup de Téfal, de cocotte Le Creuset sur la tronche, un Opinel qui tranche dans le vif (ceci est ma modeste contribution au "produisons et achetons français" de Montebourg), sont des menaces qui planent sur le mâle traumatisé.
Chez moi, j'ai remplacé les couverts en inox par des fourchettes et des couteaux en plastique à bouts ronds, mais je reste constamment vigilant.
Enfin des messages qui respirent la sagesse !
Merci J-net.
Sagesse acquise d'une longue expérience des femmes dont, comme Néophyte Attéré, j'ai appris à me méfier.
Mais moi dès mon plus jeune âge, quand ma petite cousine m'a collé une baffe parce que je regardais sous ses jupes.
Le vert paradis des amours enfantines... Mon cul, oui.
Ha !

Si vous ne l'avez pas lu, lisez "Le club" de Leonard Michaels.
Un bouquin sur des hommes qui se réunissent pour parler des femmes ? Ça ne me tente pas vraiment.
Etant bien entendu que ma méfiance à leur égard est une plaisanterie, je préfère parler avec elles que parler d'elles.
A mon sens, ils parlent (en disent) davantage d'eux (sur eux). C'est très intéressant et très bien écrit. Vous verrrez bien. Ou pas.
Mais c'est la référence à la cuisine et aux ustensiles de cuisine qui m' a fait rebondir.
Une petite calotte au bon moment, un grand pas pour l'humanité.
Juste un petit mot (Pas uniquement pour vous, je souhaite également reprendre tous ceux qui se sont embarqués dans ce genre d'ineptie)

Le fait de reprendre mon histoire et de la tourné en dérision ne montre en aucun cas votre connaissance de ce sujet mais simplement votre incapacité de regarder au-delà que ce qu'y vous arrange

Maintenant, comme on parlait de moi ( et c'est pour cela aussi que je répond) Je souhaite ajouter que je ne me méfie pas de des femmes, mais du féminisme et que je ne prend pas une femme pour une g. potentiel bien qu'en regardant le comportement exécrable de certaines "femmes" (que ce soit sur ma personne ou non) je remarque qu'elle se comportent telle que je le présentais.

J'ai dut à force développer une forme de 6ème sens

Amusez-vous avec les ustensiles de cuisine si ça vous arrange...
Quand vous dites l'inverse, vous parlez du problème de plusieurs femmes bardées de muscles et de bière qui violent un homme physiquement bien plus faible, qu'on comprenne bien ?
Je connais votre expérience, vous vous en êtes servi à plusieurs reprises dans le forum afin de justifier des propos misogynes que vous n'avez jamais reconnus, et j'espérais que vous ne retomberiez pas dans ce travers.
Au nom des violences similaires "à l'inverse", vous savez parfaitement qu'elles sont confidentielles à côté des violences faites aux femmes par les hommes, et tentez comme toujours de la mettre à égalité de traitement et de problématique.
Mes propos sont peut-être agressifs, mais - et le pire est que vous ne vous en rendez même pas compte - ce sont vos phrases qui sont ignobles quand vous parlez de "haine des hommes" (affabulation de votre part au passage) et que le fait de respecter l'intégrité des femmes et notamment, leur liberté et leurs droits à ne pas se faire violer et piétiner par des gros cons, doit faire l'objet d'un "arrangement serein". Qui plaise aux deux parties ? Puisque vous dites que ça n'a pas de rapport particulier, pourquoi évoquer le fait de "traiter les femmes comme de petites fleurs quoi qu'il arrive" ?
Vous savez aussi que ce problème n'a jamais été, n'est pas et surtout, ne sera jamais résolu définitivement, c'est comme éradiquer la connerie humaine ou l'auto-destruction de son environnement: une vue de l'esprit. Redescendez.

Ah, et au passage, je parlais de ce qui risque de leur arriver: la prison, comme écrit dans l'article.

Merci donc de ne pas manipuler le lecteur et d'insinuer que je serais pour "l’échafaud", la "peine de mort", la "haine" et la "violence"; et ce, alors que je parlais bel et bien de prison les concernant.
Ça risque de sérieusement coincer sinon, d'autant que vous connaissez parfaitement mes positions en la matière
Quand vous dites l'inverse, vous parlez du problème de plusieurs femmes bardées de muscles et de bière qui violent un homme physiquement bien plus faible, qu'on comprenne bien ?
Je n'ai JAMAIS parlé de viol contre les hommes mais de violence physique et psychologique
Je connais votre expérience, vous vous en êtes servi à plusieurs reprises dans le forum afin de justifier des propos misogynes que vous n'avez jamais reconnus, et j'espérais que vous ne retomberiez pas dans ce travers.

Je n'ai JAMAIS eu de propos misogyne, je ne fais que rétablir l'équilibre. et si vous appelez être misogyne le fait de dire que la féminisme mènera à la haine entre les sexes, que le féminisme cherche à rendre supérieur la femme sur l'homme (ce qui commence à ce faire) et bien je veux bien l'être. Je sais que l'avenir finira par me donner raison

Je montre l'attitude imbécile certains qui ne voit les hommes potentiellement agresseurs et la femmes que comme des personnes douces, gentilles qui ne s'attaquent à personne alors que dans la vie les choses sont bien différentes

Je n'approuve pas la violence quelque soit le sexe, l'âge de l'individu et ceci qu'elle soit physique, psychologique ou sexuel

J'ai remarqué également que sur ce forum, il n'y a que des gens qui pensent que des hommes sont de potentiels agresseurs et des femmes sont de potentiels des agressés

Vous raisonné de manière binaire
"J'ai remarqué également que sur ce forum, il n'y a que des gens qui pensent que des hommes sont de potentiels agresseurs et des femmes sont de potentielles agressées"

Je viens mettre mon grain de sel.
ll faut savoir de quoi on parle. Je suis bien d'accord avec vous pour dire qu'il est intenable et absurde de prétendre que les femmes seraient par nature dépourvues de méchanceté, de force et de violence.
Mais c'est la culture dans laquelle on baigne qui veut faire des femmes des pauvres petites fleurs fragiles comme vous dites, et qui y parvient souvent, et qui arrive effectivement à produire des hommes violents et des femmes toujours victimes potentielles, puisque qu'elle a fait de la violence un attribut qui sied aux hommes et non aux femmes
Voir cet article
Il est évident que dans cette culture-là ceux qui inversent ce schéma n'auront l'attention de personne et le mépris de tous. Un homme qui se trouverait en situation d'être battu par sa compagne se trouve la personne la plus humiliée qui soit. La société patriarcale dit que c'est l'homme qui doit faire exercice de la violence physique et elle y parvient en règle générale.
Enfin des paroles censés

Merci, ça rassure
[quote]Quand vous dites l'inverse, vous parlez du problème de plusieurs femmes bardées de muscles et de bière qui violent un homme physiquement bien plus faible, qu'on comprenne bien ?

Heu... Vous allez loin là. Il y a effectivement des hommes qui subissent des viols et des abus sexuels ou autres et il ne faut pas le nier, c'est extrêmement contreproductif, surtout avec quelqu'un qui a un raisonnement aussi binaire et qui se sent personnellement agressé à la moindre suggestion de mysogynie inhérente à certains faits divers particuliers.

Et concernant l'exemple choisi, on peut se dire qu'un rapport homme faible/femmes musclées est improbable en théorie, mais qu'en revanche il est immensément probable s'agissant d'un petit garçon, inutile d'aliéner certaines situations.

Je comprend la réaction initiale quand on parle de honte liée à son appartenance à la gent masculine dans ce type de crime, qu'on a pas trop envie d'en parler ou de partager cette expérience et qu'il est plus qu'évident que de nombreux crimes de ce type ne soient pas non plus comptés dans les statistiques pour cette raison. Je comprend de fait que lorsque les conversations/les débats liés au sujet partent d'une généralité féminine sans démontrer la mysogynie inhérente au crime particulier qui l'entraîne, certains balisent et ils ont à mon sens raison.

Cependant, j'aimerais leur expliquer que les deux constations partent de la même raison : les femmes se font agresser : elles font partie du sexe faible (ie ne peuvent se défendre, sont des victimes potentielles, doivent éviter de tenter, font les frais d'une pulsion masculine irrépressible). Il s'agit de clichés, mais de clichés qui forment une culture commune, sournoise car peu explicite : tout le monde (ou à peu près) part de ces généralités dans leur réflexion, femmes commme hommes, et les transmettent sans y avoir jamais réfléchi pour la plupart. C'est ce qu'on appelle la culture du viol, celle qui légitime certains rapports entre les sexes par la soumission et qui excuse la violence pour l'obtenir. L'homme, censé être prédateur, ou du moins avoir l'ascendant sur la femme,ne peut être une victime, on le traitera de "femmelette", la personne qui a trahi son rang en quelque sorte.
Si la honte est différente, la réflexion de la victime sera surement la même ; comment on aurait pu éviter ça, comme on se sent sale/sali(e), comment cela va-t-il changer le ragrd des autres, comment se percevoir désormais et vivre avec ça.

Peut-être que si la culture du viol n'existait pas, ou plutôt si elle n'était pas si internalisée et répandue, la réponse de la société serait différente, et ne ferait pas dans le blâme de la victime (ce qu'elle portait, comment elle l'a initiée, comment elle aurait dû l'éviter, comment elle aurait dû résister), mais se concentrerait sur le blâme du criminel. Aujourd'hui, il n'y a guère que la Justice qui s'en préoccupe réellement, mais comme on a vu, pas toujours efficacement. Si elle le faisait complètement (encore faudrait-il que les personnes qui composent l'appareil judiciaire ne souffrent pas de cette culture), ce ne serait pas un tel parcours du combattant pour la victime (ça devrait être un parcours du combattant pour le criminel), et on peut gager que cela allègerait un peu l'impact psychologique également.

PS: noter que tout ceci est sous-tendu par une réflexion hétéronormée.
Je vais loin ? Jamais aussi loin que ceux que j'évoque, et ceci, tout aussi sûrement que c'est bien que vous souligniez de ne pas nier les hommes qui subissent les violences eux aussi. Vu qu'il me semble aussi que personne ne le nie ici-même.
Cela dit pour faire plus simple, dans la vision du monde tel que je le conçois, de tels actes devraient faire l'unanimité.
Après, le reste, nos conversations sur le sujet, ça leur fait une belle jambe, aux victimes de ces violences.
Et je partage, du reste, votre post plus haut.
Heu... Vous allez loin là. Il y a effectivement des hommes qui subissent des viols et des abus sexuels ou autres et il ne faut pas le nier, c'est extrêmement contreproductif, surtout avec quelqu'un qui a un raisonnement aussi binaire et qui se sent personnellement agressé à la moindre suggestion de mysogynie inhérente à certains faits divers particuliers.

Je ne sais pas comment je dois interpréter cette phrase... Suis-je binaire ?

Pour moi, les gens binaires sont justement les pour qui la femme est et sera TOUJOURS le sexe faible et l'homme est et sera TOUJOURS le sexe fort

ce n'est pas ma façon de penser, et l'inverse non plus d'ailleurs car les choses sont plus complexe que ça

Au lieu de s'attarder à la violence faite au femme, on devrait s’inquiéter de la violence tous cours, la violence contre le genre humain, hommes, femmes enfants, nous faisons tous partie du genre humain
STOP à la violence sur les femmes, sur les hommes, sur les enfants (pour moi, une gifle ou une fessée c'est déjà de la violence) que ce soit de la violence physique ou de la violence psychologique.

Pour le reste, j'approuve bien évidement votre message, ainsi que celle plus haut
"Au lieu de s'attarder à la violence faite au femme, on devrait s’inquiéter de la violence tous cours, la violence contre le genre humain"

Avez-vous réfléchi à la notion de symétrie que j'avais évoqué plus tôt ? Plutôt que de continuer de bêler des âneries (car les ânes bêlent. Ouais je l'ai déjà dis mais je fais ce que je veux) ?

Quand je parle d'un rapport de force asymétrique, je parle pas de puissance musculaire ou je ne sais quelle autre caractéristique inutile - ça on s'en fout - je parle des rapports statistiques de faits de violence.

L'analyse de cette violence doit être à la mesure de cette asymétrie totalement surréaliste d'accord ?
Si vous tenez absolument à tout foutre sur le même plan, c'est qu'une douteuse motivation vous pousse à nier la réalité.

La question maintenant est d'identifier cette résistance qui vous pousse à vous fourvoyer dans un tel déni.
Une fois qu'elle aura sauté, ça devrait aller mieux, vous pourrez reprendre une vie normale et arrêter de vous inquiéter pour le droit à l'image et l'avenir des violeurs dégénérés, et un peu plus du sort des gens humiliés.
[quote=Néophyte Atterré]Au lieu de s'attarder à la violence faite au femme, on devrait s’inquiéter de la violence tous cours, la violence contre le genre humain, hommes, femmes enfants, nous faisons tous partie du genre humain
STOP à la violence sur les femmes, sur les hommes, sur les enfants (pour moi, une gifle ou une fessée c'est déjà de la violence) que ce soit de la violence physique ou de la violence psychologique.

Ouais ouais, la violence c'est pas bien, que ce soit contre les hommes ou les femmes, les cis ou les trans, les blanc(he)s ou les noir(e)s, blabla... mais sinon, on peut juste remarquer que certaines catégories sont beaucoup plus ciblées que d'autres ?
Statistiquement, l'écrasante majorité des victimes de viol (puisque c'est le sujet de départ) sont des femmes, et les hommes sont seulement une petite minorité. A l'inverse, l'écrasante majorité des violeurs sont des hommes, d'où les critiques sur la "masculinité toxique" (comme construction d'une identité de genre basée sur la domination, cf un article excellent : [url]http://prospect.org/article/toxic-masculinity[/url]). Mais il faut aussi tenir compte de l'orientation sexuelle (avec les "viols correctifs" sur les homos, notamment les lesbiennes en Afrique du sud ; Parmi les hommes victimes, les homos sont nettement majoritaires), et du racisme : aux Etats-Unis, les femmes noires sont beaucoup plus touchées que les blanches, mais c'est encore pire pour les amérindiennes avec le chiffre insensé d'1/3 victime de viol ou tentative de viol (selon les chiffres du département de la justice).
Alors oui, la question de l'identité, notamment de sexe et de genre, importe. Les seules personnes pour qui ça n'a aucune importance sont les cis-hommes blancs hétéro de classe moyenne ou supérieure. Ce genre de discours pseudo-humaniste c'est seulement l'étalage d'un privilège. C'est facile de tire "on est tous humains, on s'en fout des identités culturelles" quand on n'est pas dans une des catégories dominées et marginalisées. Quand on refuse de voir plus que des simples cas isolés, des simples questions de comportement individuel, on refuse de voir les situations d'oppression et on les renforce. L'affaire de Steubenville illustre l'existence d'une culture du viol, et pas seulement d'attaques isolées et sans signification.

Pour citer approximativement ce qu'écrivait Allan G Johson dans son livre Patriarchy, The System: An It, Not a He, a Them, or an Us : Refuser d'admettre qu'il ne s'agit pas que d'individus, c'est refuser de se poser la question plus large du contexte, de comment les gens sont façonnés par leurs relations avec les institutions (famille, religion, etc). Dans cette perspective individualiste, on peut se demander pourquoi tel homme particulier a violé, harcelé ou frappé une femme, mais on ne se demande pas quel genre de société peut promouvoir des modèles perpétuant de tels comportements. On a vite fait d'expliquer le viol ou les violences comme des actes d'hommes malades ou haineux ; mais on prend rarement au sérieux la question de savoir quel type de société peut produire de telles haines et pathologies masculines ou les diriger vers la violence sexuelle plutôt qu'autre chose.



Bon, ceci dit, je poste juste parce que ça m'énervait de lire certains messages anti-féministes (ou tout simplement masculinistes), mais je ne me fais pas trop d'illusion sur les débouchés d'un débat avec quelqu'un qui s'imagine que le féminisme vise à imposer une supériorité des femmes sur les hommes (parce que pour le coup, c'est ce type de pensée qui est super binaire)...
Et vous avez eu bien raison de poster, tout comme Synapse, car vos messages ne sont pas lus que par ceux à qui ils s'adressent et que toute explication replaçant ce faits-divers dans le contexte plus large de la culture du viol (concept si mal connu chez nous) et de la domination masculine vaut de l'or.
" Il y, ne vous en déplaise, des femmes qui agressent physiquement ou psychologiquement des mec (étant victime, je peux en dire beaucoup la dessus)"

Est-ce que, bordel, on peut parler de (culture du) viol plus de 30 secondes sans avoir à se faire rappeler qu'il concerne aussi les hommes ? C'est aussi valable pour les discussions sur le racisme où on trouve toujours quelqu'un pour évoquer le racisme anti-blanc de façon symétrique.

Non seulement il n'y a pas de symétrie dans les faits de viol, mais il y a surtout une telle asymétrie, un tel rapport de forces défavorable que parler de violence faites aux hommes dans le cadre d'un sujet sur le violence faite aux femmes est totalement hors-sujet puisqu'automatiquement nous allons fouiller du côté du patriarcat, d'une société hétéro normée, du virilisme, du masculinisme.

Non pas que votre cas ne soit pas un drame, simplement, c'est pas le sujet.
Je vous signal que l'on m'a lancé sur le sujet :D
De pus, je n'ai jamais parler du viol contre les hommes

Ce message me prouve qu'ici le féminisme c'est bien mais le masculinisme c'est mal

Allez, je vous laisse entre-vous,,j'ai suffisamment perdu mon temps
Sage décision.
Pas de contradicteur....

Que c'est bon de vivre dans un monde où nous sommes tous d'accord, que c'est merveilleux :D :D :D
Mais contredisez l'ami, réfutez, contestez, plutôt que de poser en victime de la doxia ambiante et de menacer de partir d'une discussion sans le faire.
Pour éviter tout amalgame et imprécision, je crois qu'il conviendrait beaucoup mieux de dire "Pendant des siècles des hommes se sont comportés, et se comportent encore aujourd'hui, comme des crapules avec les femmes. "
Oui, en effet, bien vu.

Depuis quand la prison (et surtout française, américaine) est le remède à tout

Depuis quand, en cas de viol, où la victime a été traînée par terre et traitée pire qu'un objet a-t-on une autre réponse à cela qu'une peine sévère de prison?

Qu'on essaye de comprendre comment des jeunes hommes en viennent à faire ce qu'ils ont fait et à trouver ça normal et pire encore, drôle, c'est nécessaire pour essayer d'éviter que cela se reproduise, mais à défaut d'une autre proposition efficace les concernant, il me parait normal et en cohérence avec la loi actuelle (y compris aux états-unis) qu'on parle de prison.
Ah le culte des sportifs bas du front...

Outre les médias qui plaignent les agresseurs, nombre d'internautes les excusent, voire justifient leur forfait. Une majorité? je pense pas, mais ce genre de réflexe à base de "elle l'a bien cherché" est loin d'être marginal, même par chez nous.
Quelques messages de gens pleins de logique et de compassion
On peut trouver les méthodes des Anonymous parfois contestables mais quand ils s'emparent d'une affaire, mieux vaut compter ses abattis.
Quant au traitement journalistique de l'affaire plus rien ne m'étonne venant de ce pays décadent.

Une précision concernant un point de l'article d'@SI. Apparemment, l'abruti qui ricane dans la vidéo sur Youtube n'a pas participé au viol et n'en a pas été témoin mais suite à la mise en ligne sur le net de la vidéo, un autre article explique qu'il a reçu des menaces et a quitté son université (son avocat, manifestement pas rompu à la communication explique d'ailleurs "qu'il ne pense pas que faire cette vidéo était un crime, mais que c'était stupide". Comme quoi le monopole de la connerie n'est pas réservé aux journalistes de CNN, Fox News et NBC). Ceci dit, et c'est là où on peut reparler des méthodes des Anonymous, si ça a manifestement permis de faire exploser l'affaire, le demeuré qui ricane dans la vidéo a son nom et sa tronche placardés sur le net où le droit à l'oubli n'existe pas, ça risque donc de le suivre ad vitam eternam dès lors qu'on tapera son nom sur un moteur de recherche. Ce qu'il dit dans la vidéo est gerbant, ignoble, révoltant et le premier réflexe est de se dire "bien fait pour sa gueule, à ce p'tit con". Mais une fois la colère passée, on peut se demander s'il est juste de payer toute sa vie et au delà une connerie dite devant ses copains (tout aussi abrutis pour ricaner avec lui) pour amuser la galerie, sachant qu'il n'y a aucun moyen technique pour effacer du net cette vidéo ? Ça se discute.
Cette histoire est ahurissante !
Comme Constant Gardener, je m'étonne que ce pays, si rapide à enfermer les uns et les autres pour n'importe quelle raison à la con, soit si indulgent à l'égard de ces salopards qui méritent des années de prison, sans parler de leurs complices et des spectateurs passifs de cette ignominie, y compris ces journalistes si promptes à excuser des violeurs..
Etrange, cette apparente sympathie pour [s]le démon[/s] les violeurs!
En particulier de la part de Fox News, qui se veut intraitable avec les délinquants, surtout sexuels.
Certaines informations seraient-elles manquantes? Comme la couleur de la victime ou une différence de milieu social?
Ou alors, comme dans les polars, les membres de l'équipe de football (baseball, basket ball, ...) locale seraient toujours intouchables dans les petites villes américaines d'aujourd'hui, au point même que leur invulnérabilité s'étende au pays entier?
Bizarre, bizarre ...
A force de vouloir aseptiser à tout prix les vieilles coûtumes qui font la vie sociale des gens simples, on va tout droit vers le triomphe de la bien-pensance et du politiquement correct. Ceci est un commentaire immonde du second degré.
Merci de cette mise en lumière, Gilles.
Et vu les mœurs en matière d’auto-défense des Américains ajoutés à la libre circulation d'armes à feu, il vaut mieux pour ces salopards de violeurs que ce soit la justice qui s'occupe d'eux...
Quant à la mansuétude des journalistes concernés: pas besoin de leur envoyer Sophie de Menthon, ils ont ses clones.

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