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Hulot : la longue marche de la vérité

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Je ne trouve pas dans votre chronique la phrase 


"A l'époque, en contribuant à taper comme un sourd sur Ebdo, dont un pilier d'@si était une cofondatrice, en lui faisant une intransigeante leçon alors qu'il naissait à peine, en mettant la lumière(...)

Comment que lis-je?

édouard, benjamin et même marlène ont tout fait pour étouffer

Des personnalités morales hors de soupçons, honnêtes jusqu'au bout du vernis à ongles...comment ont-elles pu?


Mon monde d'idoles s'écroule, se disperse et se ventile façon(...)

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ne jamais mettre personne sur un piédestal


le renard et le buste

Les Grands, pour la plupart, sont masques de théâtre ;

Leur apparence impose au vulgaire idolâtre.

L'Âne n'en sait juger que par ce qu'il en voit.

Le Renard, au contraire, à fond les examine(...)

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Dans l’excellent film-documentaire d’Arte, « Retour à Reims » encore en Replay, il est évoqué le « droit de cuissage » des maîtres sur leurs domestiques. « Bonne vieille tradition » qui dans la tête de certains a toujours droit de cité. Le journaliste JF Kahn, n’avait-il pas qualifié l’affaire DSK de « troussage de domestiques ». Et Zemmour, de « ridicule affaire ancillaire » Extraordinaire aveu. Regards convergents d’un journaliste de la gauche rose layette et d’un journaliste d’extrême droite. Même Robert Badinder était monté en ligne pour défendre le directeur du FMI. Sur France inter il s’était indigné : « Vous avez assisté à une véritable mise à mort médiatique délibérée », puis avait carrément remis en cause le fonctionnement de la justice américaine. L’humanisme à ses limites, celle de la solidarité de  la classe dominante. Toujours prêt à dénoncer avec véhémence et à JUSTE TITRE les viols dans les caves des cités mais à couvrir avec tout autant d’ardeur les  viols dans les chambres des hôtels étoilés.

Le courage de ces femmes abusées sexuellement et l’obstination de quelques « journalistes debout », dans un océan de « journalistes couchés », a permis une victoire du pot de terre sur le pot de fer. Une victoire sur la domination. Une petite lumière dans un horizon bouché par la crise écologique, sociale, sanitaire et la menace de la peste brune, est toujours bonne à prendre.  Car il s’agit bien de cela, De l’exercice d’une domination avec le sexe pour l’instrument si je puis dire. La domination a plusieurs facettes. L’agression sexuelle  qui est chosification des femmes en est une.

Les combats s’adaptent. Les féministes d’aujourd’hui se battent contre les féminicides, contre le sexe soumis. Les anti-racistes d’aujourd’hui luttent contre les discriminations.

Nouvel angle  pour vieux problèmes.   Cela met en rage le bloc bourgeois qui contre attaque et dénonce la « radicalité » de ces luttes.

Amusant de voir les réacs regretter les luttes féministes et anti-racistes d’hier, alors même qu’ils les combattaient avec la même hargne qu’aujourd’hui ou étaient encore en culottes courtes.


Jean-Michel Apathie il ya 2 mois sur Hulot :


https://youtu.be/uL-yNPys1p8

"Il aura fallu attendre trois ans". La faute à personne ? Les journalistes y zavaient piscine ?

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Notre éminente Ministre, Marlène  SCHIAPPA ,  après avoir apporté son éminent soutien à l'éminent Ministre d'Etat,  et après un éminent  délai de réflexion ( 3 ans ) souhaite qu'on ouvre une enquête au sujet du comportement  de l'Eminent ( et de son slip  " éminence ". ).


Sous la Coupole,  on appelle cela : "' ne pas chier la honte " .

...certes ! Mais plus tard, encore plus grave ...l'opération Sirli avec ses deux PR dans le déni ... qui passe gentiment à la trappe . Le sociétal passe avant le trafic d'armes.

A ceux qui ont donné leur vice


Alexandre Benalla

François de Rugy

Richard Ferrand

François Bayrou

Marielle de Sarnez

Sylvie Goulard

Nicolas Hulot

Laura Flessel

Gérard Collomb

Nathalie Loiseau

Benjamin Griveaux

Mounir Mahjoubi  

Christophe Castaner

...

La Macronie reconnaissante

On constate aussi que ce genre d'affaires se passent en plusieurs temps : une première plainte ou dénonciation relayée médiatiquement de manière plus ou moins étayée, qui préfigure la pointe émergée de l'iceberg et donne le signal aux autres victimes de se manifester. Peut alors démarrer la grosse enquête de compilation de tous ces témoignages, anonymes ou à découvert. Cela prend évidemment du temps.

Cette critique sur l'enquête d'Ebdo, on pourrait la faire sur l'affaire Bettencourt, sur l'affaire Cahuzac, sur l'affaire Kadhafi, sur les documents sortis par Blast etc. Au début, c'est tellement énorme qu'on n'a jamais assez d'éléments factuels pour le prouver.


Que l'enquête ait été faible au moment de sa sortie, je veux bien. Qu'il n'y ait eu aucune présomption de bon travail de la part de confrères issus de médias indépendants ("pour l'instant c'est pas convaincant, attendons de voir la suite"), qui ont donc donné le point à la com gouvernementale (sordide exemple hier : https://twitter.com/abdelmalik92/status/1463972271056429061?s=21), je trouve ça pas bien.


On ne peut pas attendre la perfection de tout, tout le temps.

Le plus choquant dans cette histoire comme dans celle de PPDA et d'Olivier Duhamel c'est les "tout le monde savait". Donc tout ce beau linge était complice.


cet article a un goût d'inachevé. Vous dites sans dire. Pas d'avis cher Daniel ?

Mesdames, découvrez la beauté avec les produits Ushuaïa ....

 Hulot ne serait il pas en train de payer son désistement de ce gouvernement ?Ils se tiennent tous par la barbichette , le premier qui se barrera aura une tapette! Merde si le pouvoir ne sert plus a satisfaire nos instincts les plus vils qu'est ce qu'il va nous rester ? Ah ces wokes qui viennent empêcher de pourrir en rond , n'est pas Jean Michel Genou ?

"On construit de la sorte deux catégories d’êtres humains, je dirais même carrément deux races : une catégorie pour qui le moindre désir doit être satisfait immédiatement, puisque dès sa petite enfance le moindre désir était satisfait immédiatement. Le « moindre désir », aussi le désir sexuel, le moindre désir est une nécessité absolue qui doit trouver satisfaction. Et d’autres, les filles, à qui on dit que le moindre de tous leurs désirs est nul et non avenu, et qu’elles doivent se plier aux désirs des autres, attendre le désir des autres. N’est-ce pas une éducation idéologiquement extrêmement contraignante dès le départ ? " Françoise Héritier

CQFD encore une fois dans ces témoignages et dans la réaction de Hulot. II faut que les hommes apprennent à gérer leur frustration et donc ouvrent les yeux sur les désirs ou non-désirs de l'autre. Bad news: les femmes ne peuvent pas le faire à leur place. 

Ce que je veux dire par ce message récurrent et cette citation d'Héritier, c'est qu'il ne faut pas voir dans cette histoire la découverte d'un nouveau monstre qu'on va pouvoir conspuer allègrement et se racheter une conscience par la même occasion. 

Bordel, bien sûr que tout le monde savait!!! Parce que c'est la norme et que ça se passe si souvent comme ça!!! Et sans que les responsables de ces actes ne s'en rendent compte. Parce que les hommes ont été éduqués avec l'idée que la satisfaction de leur désir prime. Et comme elle prime, ça veut bien dire que le reste, et notamment la façon de l'atteindre, deuze! C'est comme ça qu'on est toutes et tous éduqué.es!!!! Et merde de faire dériver l'histoire sur une affaire politico-médiatique! Si c'est tout ce qu'on a à tirer de cette histoire, c'est pathétique. Qu'est ce qu'elle raconte de nous, de nos comportements et de notre société, c'est ça qui compte!!

Partir d'un combat pour l'égalité entre tout les êtres humains pour en arriver à les diviser en "races" antagonistes,  quel bel exemple de perdition intellectuelle, merci pour cette citation éclairante que je ne connaissais pas.

14h: les trolls sont de retour.....

Je répondrais à votre citation par une autre.


"Si dans certaines circonstances, les tâches à court-terme des femmes de toutes les classes peuvent converger, les objectifs finaux des deux camps, qui dans le long-terme déterminent la direction du mouvement et les moyens à utiliser, diffèrent fortement. Tandis que pour les féministes, la réalisation de l'égalité des droits avec les hommes dans le cadre du monde capitaliste représente une fin concrète et suffisante en soi, l'égalité des droits n'est, pour la travailleuse, qu'un moyen de porter la lutte contre l'asservissement économique de la classe ouvrière. Les féministes voient les hommes comme leur principal ennemi, puisque les hommes ont injustement gardé pour eux tous les droits et privilèges, ne laissant aux femmes que des chaînes et des devoirs. Pour eux, une victoire n'est remportée que lorsqu'une prérogative autrefois réservée au sexe masculin est concédée au « beau sexe ». Les travailleuses, les femmes prolétaires, ont une autre attitude. Elles ne voient pas l'homme comme leur ennemi, leur oppresseur ; au contraire, elles pensent que les hommes sont leurs camarades, qu'ils partagent avec elles les corvées quotidiennes, et luttent avec elles pour un avenir meilleur. Les femmes et leurs camarades masculins sont asservis dans les mêmes conditions sociales ; les mêmes chaînes honnies du capitalisme oppriment leur volonté et les privent des joies et des charmes de la vie. Il est vrai que les aspects spécifiques du système actuel font reposer un « double poids » sur les épaules des femmes, comme il est aussi vrai que les conditions du travail salarié font des femmes des rivales, des concurrentes des hommes. Mais dans ces conditions défavorables, la classe ouvrière sait qui est coupable. 

[...]

Les féministes et les réformateurs sociaux issus du camp de la bourgeoisie, croient naïvement dans la possibilité de créer de nouvelles formes de famille et de nouvelles formes de relations conjugales contre le sombre tableau qu'offre la société de classe actuelle, ils s’embrouillent eux-mêmes dans leur recherche de ces nouvelles formes. Si la vie n'a pas encore produit ces formes, il est nécessaire, ils semblent le penser, de les imaginer peu importe le prix. Il faut, pensent-ils, des formes de relation sexuelle qui soient capables de résoudre le complexe problème familial dans le système social actuel. Et les idéologues du monde bourgeois – les journalistes, écrivains, combattantes pour l'émancipation, les unes après les autres proposent leur « panacée familiale », leur nouvelle « formule familiale ». 

[...]

Seul un certain nombre de réformes fondamentales dans la sphère des rapports sociaux – des réformes transférant ces obligations de la famille à la société, à l’État – pourrait créer une situation où le principe de l' « amour libre » pourrait dans une certaine mesure être réalisé. Mais peut-on sérieusement attendre de l’État de classe moderne, aussi démocratique puisse-t-il être, qu'il prenne en charge les devoirs vis-à-vis les mères et les enfants qui sont actuellement pris en charge par cette unité individualiste qu'est la famille moderne ? Seule une transformation fondamentale de tous les rapports de production peut créer les conditions sociales préalables pouvant protéger les femmes des aspects négatifs de la formule de l' « amour libre ». Ne sommes-nous pas conscients des dépravations et des perversions qui tentent, dans les conditions actuelles, de percer sous cette étiquette commode ? Regardez tous ces messieurs propriétaires et gestionnaires d'entreprises industrielles qui forcent certaines femmes, parmi sa main d’œuvre, ses employés, à satisfaire ses lubies sexuelles, usant de la menace du licenciement pour arriver à ses fins. Eux, à leur façon, ne sont-ils pas en train de pratiquer l' « amour libre » ? Ces « maîtres de maison » qui violent leurs domestiques et les mettent à la porte quand elles sont enceinte, n'adhèrent-il pas à la formule de l' « amour libre » ? 


 « Mais nous ne parlons pas de cette forme de « liberté » nous objectent les défenseurs du mariage libre. Au contraire, nous demandons qu'une « seule moralité » soit adoptée, pour les deux sexes. Nous nous opposons à la licence sexuelle actuelle, et ne voyons comme morale que l'union libre basée sur un amour véritable ». Mais, mes chers amis, pensez-vous que votre idéal du « mariage libre », si il était pratiqué dans les conditions de la situation actuelle, produirait des résultats un tantinet différent de ceux constatés dans la pratique dévoyée de la liberté sexuelle ? C'est seulement quand les femmes seront libérées de toute contrainte matérielle, qui crée actuellement une double différence, face au capital et au mari, que le principe de l' « amour libre » pourra être instauré sans apporter de nouvelles souffrances pour les femmes dans son sillage. Quand les femmes s'émancipent, travaillent et acquièrent une indépendance économique, certaines possibilités d' « amour libre » émergent, particulièrement pour les femmes les mieux payées de l'intelligentsia. Mais la dépendance des femmes face au capital reste, et cette dépendance ne cesse de s'accroître quand les travailleuses vendent leur force de travail. Le slogan « amour libre » est-il en mesure d'améliorer la pauvre existence de ces femmes, elles qui gagnent à peine de quoi survivre ?"


Alexandra Kollontai

Analyse pas incompatible, désolé. Cependant le capitalisme n'a pas inventé le patriarcat et lycée de Versailles. Le capitalisme n'a pas non plus inventé l'exploitation de l'humain par l'humain, me dirait vous. Mais la base de la base reste que le patriarcat, quelque soit le système économique, présuppose que le désir de l'homme DOIT être satisfait, que les désirs de la femme passent derrière ceux des autres.

Cependant le capitalisme n'a pas inventé le patriarcat


Certes, mais il faut tout de même noter que la domination masculine a fluctué dans le temps.

Elle n'était pas généralisée dans l'Antiquité, puis a pu diminuer au cours du Moyen-Âge (au XIIème/XIIIème siècle en Occident, les femmes pouvaient avoir du pouvoir politique et étaient intégrées dans le tissu économique à part entière) avant de reprendre du poil de la bête sous l'effet d'un durcissement de la scolastique.

Les Lumières ont desserré l'étau, puis il y eut rechute au XIXème siècle, paradoxalement, ce qui coïncide avec le triomphe du capitalisme industriel, brutal et extrêmement inégalitaire dans tous les domaines.

La dernière phase, le XXème siècle, a plutôt été de nouveau en faveur de l'atténuation de cette domination masculine. Il faut continuer à pousser dans ce sens. Et de ce point de vue, en effet, le concept d'intersectionnalité, qui permet d'articuler la domination sexiste particulière avec toutes les autres formes de domination, est un outil précieux à mes yeux...

Les Lumières ont desserré l'étau ? Êtes vous sûr? Mais bref, c'est un détail. Je suis tout à fait d'accord avec vous, l'intersectionnalité des luttes est une bonne chose. Les luttes se rejoignent, mais elles ne se dissolvent pas les unes dans les autres. Le patriarcat ne sera pas détruit avec la disparition du capitalisme.

" Le patriarcat ne sera pas détruit avec la disparition du capitalisme. " 

Il est vrai Mag, ma il aura pris un sérieux coup sur la tête.

Il ne tient qu'à nous de ne pas se dire: c'est arrivé.

Tout est combat PERMANENT.

Les dominants et puissants actuels courberont la tête, se tapiront, attendront patiemment et au premier relâchement, réapparaîtront en mettant le nez à la fenêtre et régneront comme si de rien n'était.

Les réseaux, ils l'ont.

L'argent, ils l'ont

La culture, ils l'ont

La cohésion de classe, ils l'ont

La culture de classe, ils l'ont.

...

Ils ne lâcheront jamais rien.

C'est un combat vieux de 2 à 3 mille ans.



Oui,  il prendra un coup sur la tête mais oui, ne lâchons rien car le combat contre toute forme d'exploitation et de domination ne s'arrêtera pas là !

Les Lumières ont desserré l'étau ? Êtes vous sûr?


Disons qu'en remettant progressivement en cause la domination de l’Église, les Lumières ont produit une certaine émancipation, dont des femmes, par rapport à la séquence précédente.

Mais il est vrai qu'il faudra attendre le XXème siècle pour au moins revenir à la situation du haut Moyen-Âge...

Non intratur in veritatem, nisi per charitatem

Augustin, Contra Faustum

on n'entre dans la vérité que par la charité, ainsi que Pascal traduit dans les Pensées.


Sans doute est-ce la raison du long cheminement...

Nicolas Culot !




Je ne trouve pas dans votre chronique la phrase 


"A l'époque, en contribuant à taper comme un sourd sur Ebdo, dont un pilier d'@si était une cofondatrice, en lui faisant une intransigeante leçon alors qu'il naissait à peine, en mettant la lumière sur les failles et pas sur le fond, le doigt et pas la lune et en fournissait clé en main un argumentaire à M. Schiappa et G. Darmanin, et tout ceci, en déployant une couverture disproportionnée de cette affaire, sans jamais contribuer à documenter ce qui ne l'était qu'imparfaitement par Ebdo (et ce aux moment même où nous-même ne nous dépétrions pas du lancement lamentable de notre nouveau site, à rebours de notre promesse éditoriale), nous avons largement contribué à étouffer dans l'oeuf notre confrère indépendant naissant, alors que sa perfectible enquête pointait dans la bonne direction."


Quand je lis ici sous votre plume "traumatisées, les Editions des arènes...;" ou "il aura donc fallu trois ans. Longue marche", je trouve que vous avez du culot. Je me répète à chaque fois que vous réévoquez l'affaire de la sorte, sans un début d'autocritique :  désolé, ça passe pas. Vous pourrez rappeler sur tous les tons que c'était une affaire de principe, on sait tous que vous avez des marges de tolérances pour certains médias que vous n'avez pas pour d'autres (et c'est humain, et on sait faire le tri). Ebdo, j'étais pas vraiment fan, mais il méritait qu'on l'aide à nager, pas qu'on lui mette la tête sous l'eau comme si c'était TF1 ou le Point. 

J'avoue que le reportage d'hier m'a plongé dans un état de dissonance cognitive que je ne connaissais pas quand le présumé coupable était quelqu'un que je n'appréciais pas. Comment un gars que j'avais même proposé comme candidat potentiel sur le site la primaire populaire pouvait être ce prédateur indigne ? L'homme Hulot est médiocre et je ressens encore la douleur du coup de poing que je me suis pris en pleine face hier soir.  Mais le système l'est tout autant car ce dernier (le système) savait, et a fait corps pour protéger l'un des siens. A vomir

Il n'est  pas chouette , Hulot !


( je ne m'en lasse pas )

" Nicolas, nicolaaaas; c'était de l'amour on ne le savait pas "


 S. VARTAN

Comment que lis-je?

édouard, benjamin et même marlène ont tout fait pour étouffer

Des personnalités morales hors de soupçons, honnêtes jusqu'au bout du vernis à ongles...comment ont-elles pu?


Mon monde d'idoles s'écroule, se disperse et se ventile façon puzzle.

Vous ne pouvez rien pour moi.

Laissez-moi pleurer ce monde perdu.


Ils ne voulaient  déboulonner des statues qu'ils disaient....

Ah, je ris!


Les livres de lui que j'avais dans ma bibliothèque ont été déchiré et mis à la poubelle.

L'incohérence est totale chez ce personnage soit disant engagé, mais oeuvrant à la publicité d'un multinationale néolibérale dans un groupe de communication lui-même néolibéral (je n'ai pas dis presse, ce serait insultant pou les vrai journalistes). Le respect de la planète, des hommes, des femmes, des animaux, du vivant... ce soi-disant apôtre est un judas.

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