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Commentaires

Houellebecq, dans ses blancs

De Gaulle est mort, c'est une affaire entendue, mais consolation, il nous reste Houellebecq.

Derniers commentaires

Hé bé té ! [s]Singe[/s] signe des temps ...Houelbecq avec un Prix Littéraire

celà sonne bien avec la situation décadente d'aujourd'hui ! En vérité ce n'est en rien suprenant.

Comme aux heures les plus sombres de l'histoire quand on mets au pouvoir suprême un [s]gigolo.[/s] heu un rigolo comme Le Chanoine de

Latran (je ne veux plus citer son nom !) il ne faut pas s'étonner qu'on nous sortent des égouts, des rats puants,(milles excuses pour les rats

qui sont eux très intelligents !) pour les mettre en pleine lumière comme les hérauts de notre temps.

Toute la nullitude, turpitude, merditude, est incarné dans quelques "noms" lâchés comme des pets face à la couche d'ozone déjà mise à mal !


Nous avons bien les Ministres les plu
s nuls, et les économistes les plus regressifs, les banquiers les plus voleurs, les pique-assiettes

"people" and mafia qui tournent autour du Pouvoir comme des mouches à merde autour de bouses de vaches !

Comme aux temps soviétiques ont a mis les plus mauvais des écrivains, producteurs de films, acteurs, héros d'une révolution trahie, on fait de

même dans tous les pays . Comme Bush président et inculte, dyslexique et ex-grand buveur devant l'Eternel aux USA, s'ensuit sur le

même mode "opératoire" l'installation des présidents fantôches, (mais au service de l'Union Européenne et du FMI,) car bien sur l'UE est une

nouvelle "colonie" des Etat
s-Unis.

Que voulez vous de plus ? On nivelle par le bas ensuite ! On supprime les prix d'excellence, les instituteurs, les professeurs, les écoles

à tout va de peur qu'elles ne forment "le peuple instruit dont rêvait les anciens du Siècle des L
umières.

- A bas Jules Ferry, l'école publique gratuite et pour tous à égalité, vie l'inégalité des chances, vive le retour des passions religieuses, vive les

anciennes langues "patois" pour diviser le Peuple.

- Vive les nationalismes régionnaux; agitant les drapeaux de la Catalogne ou la Bretagne de "Diwan" contre la mère France, tous contre tous,

les gens des villes contreceux des champs, les restes du défunt Service Publique contre le triomphe du PRivé. La Sécurité social doit

mourir et lla retraite par répartition agonise sous les coups de boutoirs des "assurances privées " !

Fi de l'avis du peuple dans la rue, le nano-président a décidé du haut de sa hauteur (sic !) qu'il était "élu" des [s]dieux[
/s] des francais pour

appliquer une nouvelle gestion, sous forme d'électrochocs, afin de mieux faire marcher l'économie de notre vaillant pays.

Quand on croie être descendu plus bas on s'apppercoit vite que les nouveaux "fonds" sont abyssaux.

Oui on nous le prouve tout les jours "on peux descendre encore encore beaucoup plus bas. Est-ce celà que l'on peux résumer par : métro,

boulot, tombeau ???

Car c'est ainsi que vont vivre les "hommes et femmes" de ce pays. IL parait que les Etats-Unis sont un modèle du genre, et que donc vite allons

les imiter ....C'est celà le "rêve américain mais qui savait réellement en 1989 lors de la "chute du mur" que ce grand modèle rêvé par des millions

de personnes de l'est était un cauchemard ???
"
Avec un dollars en poche là-bas tu montes
ton entreprise " nous disait-on partout .....En réalité quand tu as 1 dollars en poche tu est tout juste un

SDF ! D'après la loi américaine toute personne arrêté avec moins de 2 dollars, est considérée comme "mendiante" ou anarchiste sans travail. Du

moins celà était un certain temps ! Car aujourd'hui ils sont des millions à êtres
SDF et on ne peux tous les mettre en prison ! La loi du

nombre ......Bon ceci dit je n'achèterais pas le bouquin de Houelbecq car je préfères "manger" ou payer mon abonnement Internet ..DIsons que

je me prives un peu sur un pour avoir l'autre !

Et vous ????
Zut, mal placé.

Ou, si vous voulez : "Non, rien.", comme je l'ai lu récemment. ;o)
Merci Daniel, vous visez très juste (sur Houellebecq et sur son passage sur F. Inter, jubilatoire en effet).
Quant à inviter Houellebecq sur "dans le texte" : franchement, Houellebecq (que j'aime beaucoup), on le voit et le lit un peu partout. Il y ceux qui aiment, en général beaucoup, et ceux qui n'aiment pas ou ne comprennent pas. Un retour sur le "phénomène" lui même n'est pas très intéressant je trouve : il suffit tout simplement de le lire pour comprendre le personnage, son ironie et son sérieux. A ce titre, sa manière de se décrire lui même et de se mettre en scène dans "La carte..." , jouant tour à tour de sa caricature et de ses ressorts plus intimes, est l'une des (nombreuses) facettes les plus intéressantes et jubilatoire (encore) du bookin.
Mais je préfère qu'ASI me fasse découvrir des auteurs, ou nous plonge dans certains écrits plus abrupts (la dernière émission avec Lordon était géniale).
Wep c'est bien ça. De la vacuité. Pas compris l'ironie, s'il y en a.
"L'extension du domaine de la lutte" m'avait beaucoup impressionnée à l'époque, ainsi que ses très beaux recueils de poésies (j'en connais même quelques unes par coeur). Pour moi, il est un très grand écrivain, pas de doute. Mais j'ai détesté le battage médiatique qui a entouré la sortie de ses livres suivants, et j'ai fait une sorte de blocage, je ne les ai pas lus. (Je sais que je les lirai un jour, bientôt certainement). J'ai du mal à comprendre comment un être si décalé peut séduire tant de lecteurs, y compris des gens très différents de lui. Cet écrivain-là devrait rester à la marge...Il n'avait pas besoin du Goncourt. Quant à ses provocations, elles m'ont parfois irritée, comme ce matin où il dénonçait les campagnes de prévention contre l'alcool ou la cigarette "Soyez libres, buvez, fumez..." J'ai vu l'alcool détruire trop de gens pour en sourire.
Je suis assez navrée par ce choix Goncourt,un grand écrivain, vous trouvez? "la possibilité d'une île" m'a laissé un très mauvais souvenir, pas envie de renouveler l'expérience, il est à la mode voilà.
Il n'est pas nouveau de voir et d'entendre des écrivains nuls à l'oral : Patrick Modiano, Leclézio à ses débuts, etc.

Bien écrire ce n'est pas forcément « bien causer dans le poste ».
Ajourdui je suis vachement en retard mais comme je sors du bois (hin hin hin) j'en suis tout ahuri. Putaing de surprise ! Paraît qu'ils vont se marier avec la Despentes (comme disait Rabelais)... Dites-moi ? Qu'en pense-t-on au Sarkosistan ? Ce pays a vraiment de la chance d'avoir enfin deux penseurs écrivants à la hauteur de leur immense président. ça oui ! On se calme. Je sais pas si ce sont les Chinois qui vont venir au saucisson en France mais j'ai lu jadis que le défunt Foureur, l'oncle Adolf des Allemands, parlait de transformer notre beau pays en un jardin plein de fleurs, de putes et de vins délicieux en attendant les vierges du Paradis.
Quand je n'ai plus rien à lire, je suis du genre à feuilleter l'annuaire téléphonique sans m'ennuyer.
S'il y a peu d'action dans les pages blanches, il y a plein de personnages....

Houellebecq, pourtant, j'ai essayé plusieurs fois, je n'ai jamais pu le finir.
Certains pensent qu'il est un bon écrivain... Moi, je ne sais pas ( je n'ai lu qu'"Extension du domaine de la lutte" et n'ai rien trouvé d'exceptionnel ); mais c'est sûrement un très bon acteur.
Et pan sur le Houellebecq!
Pour ceux qui n'on pas peur des blancs, ni des tunnels, une loooongue interview en vidéo (avant le Goncours), ici :
http://www.surlering.com/article/article.php/article/grand-entretien-filme-avec-michel-houellebecq
Ceci est un proverbe chinois :Certes admirez l'oiseau , mais Houellebecq !
"un vent de poussières". Oui, tout à fait.
Non-évènement.
Ah, cette armée de présentateurs... et qui s'efforcent mécaniquement de combler les blancs

A propos de blancs dans les interviews : Laurent Ruquier recevait samedi soir Natascha Kampusch, cette jeune fille qui a été enlevée par un déséquilibré alors qu'elle avait dix ans et qui a été séquestrée pendant huit ans dans une cave.
Cette jeune femme, qui a évidemment subi un terrible traumatisme a beaucoup de mal à s'exprimer. Cela n'a pas empêché Laurent Ruquier de réaliser une magnifique interview (très longue, un bon quart d'heure à vue de nez), modèle de finesse et de tact, sur un sujet très casse-gueule, malgré l'inconvénient de la traduction simultanée, le tout dans les conditions du direct, et, apparemment, sans bricolage au montage.
Un grand moment de télévision par un grand professionnel.
Votre texte,Daniel ?Jubilation et jalousie .On aimerait savoir écrire ainsi et on n'y arrivera jamais. Cent mille fois d'accord avec vous. L'écrivain nous a exhortés ce matin à être libre. Voilà,soyons LIBRES!
Je n'ai rien compris, à part qu'on nous fourgue le "nouveau grand homme" ! Me souviens même plus du précédent.
Oui, Daniel, Houellebecq est dans les blancs. Et à peu près aucun journaliste n'a réussi à le supporter, ratant le bout de la phrase intéressant en relançant trop tôt, s'en rendant compte, tentant de la récupérer, mais trop tard, comme si Houellebecq ne sortait ses mots que sous les mots des autres, en catimini.

J'ai écouté sa poussive interview par Elkabach sur Public Sénat, à qui il a confié que c'était une de ses chaînes préférées, dans un de ces moments de naïveté petitbourgeoise dont il a le secret, citant des programmes qu'il avait aimé devant un Elkabach étonné, peinant à citer les émissions, prouvant par ses réponses que lui ne regardait jamais sa chaîne. Elkabach, qui le cherchait côté psychanalyse de bazar, "et vous vous êtes réconcilié avec votre maman, c'est pour ça que vous êtes apaisé (qui dit encore maman comme ça) ?".

Ou bien sur le thème "vous faites une dénonciation de la France de Pernault ?", on pense aussitôt qu'il se goure, que Houellebecq ne donne pas dans la dénonciation, plutôt dans la provocation. Mais Houellebecq sauve Elkabach de sa médiocrité et lui trouve des fulgurances, "ah, mais oui, vous êtes le premier à me le dire, vous avez raison, quand on brosse des portraits les plus neutres possibles, c'est une manière de dénoncer, je n'y avais jamais pensé" et Elkabach (qui décidément n'a rien compris) lui répond "vous n'êtes pas venu pour rien". Ah, le beau décryptage qu'un tel entretien ferait où les questions et les réponses révèlent davantage les obsessions et les projections de l'interviewer que celles de l'écrivain.

Ce qu'a inventé Houellebecq, c'est le blanc pince-sans-rire, qui fait piège à angoisse et filtre à intelligence. Je n'en connais pas d'autre qui fasse ça.

Mais pour une véritable interview avec des blancs en pagaille, mais autant de petites perles au bout, presque sans perversion au bout des mots, si vous êtes abonné à Médiapart, les vidéos-entretiens par Sylvain Bourmeau sur un balcon à côté de la bibliothèque de France sont un petit bijou.

http://anthropia.blogg.org
Houellebecq, Sarkozy, Pernaut...
On a les grands hommes qu'ont peut...

Ce qui est chiant, c'est qu'on va nous le servir à toutes les sauces.
De quoi jeter télé et radio par la fenêtre.

Ce qui est drôle, c'est que contrairement à celle d'hier, cette chronique ne va pas attirer les foules, car si elle est très bien écrite, son sujet...
Zut! De Gaulle et Houellebecq en même temps, c'est beaucoup pour la petite vieille que je suis.
Je retourne sous ma couette en me bouchant les oreilles.

PS : il y a tout de même pire que ces deux-là. C'est l'autre qui essaie de se faire passer pour gaulliste.

Ajout : naque,naque! Je suis arrivée première.

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