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Gaza : les dilemmes des rédactions à 3000 km du terrain

Entre l'impossible passage à la frontière pour les rédactions internationales, l'évident et grave danger pour les journalistes gazaoui·es, le refus des assurances de les couvrir, et la propagande du Hamas, il est de plus en plus difficile de recueillir des informations sur l'enclave palestinienne de Gaza. Plus encore depuis l'escalade du 27 octobre et l'intensification des bombardements israéliens. Pour rester fiables et assurer un équilibre avec la somme d'informations en provenance d'Israël, les rédactions françaises s'interrogent et s'adaptent.

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Compliqué le métier de journaliste sur le terrain et en dehors, pour pouvoir avoir des infos de qualité.


C'est quand-même plus simple et moins cher d'avoir des editocrates bouffi.es de certitudes et d'idéologies pour expliquer la vie et le monde aux spectateur.rices.


Mes condoléances à celles et ceux qui ont été tué.es et mes respects à celles et ceux qui essayent de nous informer envers et contre tout.

Al Jazeera est retransmise sur les chaînes des bouquets de nos fournisseurs d'accès, j'ai peur que les téléspectateurs de droite ne les écoutent pas souvent, ne pas entendre la défense est une injustice

Comme toujours la vérité se fait jour petit à petit. Pour ceux qui se posent des questions sur les atrocités attribuées au Hamas sachant que :

- Israël s'est bien gardé de laisser des observateurs internationaux accéder aux fameuses "preuves".

- L'intérêt bien compris du Hamas était de faire un maximum de prisonniers en vue d'un échange.

Cette video entièrement basée sur des informations d'origine israéliennes apportera des éléments de réponse.

Les médias français (lesquels ?) sont émus de la mort de Roshdi Sarraj, et se sentent sans doute concernés par l'hécatombe de journalistes que fait Israël à Gaza (et en Cisjordanie et à la frontière du Liban), mais ça ne les empêche pas, pour la plupart, de tenir un discours pro-israélien, et de s'en prendre à tous ceux qui ne soutiennent pas inconditionnellement cet état, n'emploient pas le mot magique "terroriste", rappellent le contexte…

Dans la guerre, la première victime est la vérité (attribué à Eschyle mais je 'ai déjà dit).


Alors on va me dire que les premières victimes ce sont les enfants, les femmes et les hommes hachés menu par les bombes et les mitrailleuses.


Mais ici et maintenant, la seule chose qui peut arrêter les bombes et les mitrailleuses, c'est la honte publique jetée sur celles et ceux qui lancent les bombes et tiennent les mitrailleuses.


Pour jeter la honte publique, il faut rendre compte de ce qui se passe en vérité.  Les journalistes pourraient rendre compte. Donc, pas de journalistes (même "embedded" ?).


Ainsi, à quelques encablures du terrain, les rédactions ont du mal à nourrir le continu de l'info en continu qui continue, vaille que vaille.


Les morts peuvent attendre, ils son morts



Lui n'a pas de dilemmes:


Quelle prudence de sioux ont tous ces journalistes pour rapporter les crimes de guerre voir le génocide d’Israël à Gaza.

Pourtant


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