Gabriel Attal, Jean-Marc Morandini et les Bolloré-boys
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Commentaires préférés des abonnés
Les médias d’extrême droite en faiseur de roi .Les petits arrivistes n’hésitent pas à ramper devant Bolloré pour exister.
Sur le service public où sévit Salamé et consorts, on en pince pour Glucksmann junior, tout en ménageant les fachos.
Dans la press(...)
C'est sûr, le p'tit Gaby " arrivera ".... mais dans quel état !
" L'opportuniste sent obstinément la direction du vent, même quand ça sent la merde " .....
Ce qui fait le plus mal , c’est qu’ils donnent l’impression que ça ne finira jamais , on leurs a coupé la tête une fois , on recommencera tant qu’ils ne comprendront pas !
Derniers commentaires
N'approuvez pas ce commentaire, c'est celui de Pekebou qui m'a conduit à reposter la vidéo
Voilà ce dont est capable le pays qui se dit porteur de la mémoire des victimes de la Shoah
Pour le reste, je me fous de leurs foires de communication au futur présidentiel
Tous les jours, ils en rajoutent une et même macron qui ne brigue plus rien : avant hier, il propose de tuer le loup dans l’œuf
Pauvre Gérald-Brice. Ce ne doit pas être drôle pour lui de porter un prénom composé qui est un mix de ceux de Darmanin et de Hortefeux !
Son enfance n’a pas dû non plus être une sinécure, lorsqu’à l’école, parmi les Christophe, les Stéphane, les Frédéric de sa génération, le choix de la maîtresse se portait sur lui. "Au tableau Gérald-Brice ! Venez donc nous résoudre cette équation du second degré."
J’imagine les quolibets qui accompagnaient sa marche vers l’estrade.
Et à l’adolescence, quand une Florence ou une Patricia lui demandait : "Comment tu t’appelles ?", et qu’il préférait leur tourner le dos, plutôt que leur révéler l’indicible.
Mais c’est souvent dans l’adversité que se forge un caractère. Grimper tout en haut de l’échelle sociale sonne alors comme une revanche sur toutes ces humiliations.
Et tant pis si c’est pour finir larbin de Bollo et ami intime d’Hanouna.
Ceux qui jugent ça problématique, c’est rien que des jaloux.
Je ne voudrais pas paraître nostalgique à l'excès, mais il fut un temps où les directeurs de Canal+ se nommaient Pierre Lescure et Alain de Greef, pas Gérald-Brice Viret, lèche-boules en chef de Bolloré. A l'époque, Morandini racolait sur la Boîte à Cons avec son émission "Tout est possible", dont il résumait ainsi le contenu "Du cul, de l'angoisse et des larmes". Il était une des cibles privilégiées des Guignols, mais ne s'était pas encore fait connaître pour son intérêt pour les petits garçons.
Ce qui fait le plus mal , c’est qu’ils donnent l’impression que ça ne finira jamais , on leurs a coupé la tête une fois , on recommencera tant qu’ils ne comprendront pas !
Le "ni-ni", un bon moyen de repérer celles et ceux solubles dans le racisme.
C'est sûr, le p'tit Gaby " arrivera ".... mais dans quel état !
" L'opportuniste sent obstinément la direction du vent, même quand ça sent la merde " .....
Les médias d’extrême droite en faiseur de roi .Les petits arrivistes n’hésitent pas à ramper devant Bolloré pour exister.
Sur le service public où sévit Salamé et consorts, on en pince pour Glucksmann junior, tout en ménageant les fachos.
Dans la presse de « gôoche », de Libé à Médiapart , on fera la promotion du chef de fil de l’union des traitres ( ceux qu’ils appellent les purgés) et du PS .
Ailleurs (LCI) on fabrique le fils Sarkozy.
Bref des candidats militants (ou inoffensifs) à la bonne marche de l’ordre néolibéral.
Tous unis contre un seul ennemi LFI.
Est-on encore en démocratie ?
En parlant de traitre, Ruffin qui défend les chasseurs : https://frustrationmagazine.fr/chasseurs-mobilisation/
Sur le massacre en cours à Gaza , à écouter sans modération :