Commentaires
Ferroviaire britannique : bataille de videos douteuses entre Corbyn et Branson
Vidéo contre vidéo : depuis une semaine, la bataille agite la presse britannique. Le chef du Labour Jeremy Corbyn, qui assurait vidéo à l'appui avoir été contraint de voyager par terre dans un train bondé, pour dénoncer le sous-équipement ferroviaire, voit sa version contredite. Le patron de la compagnie, Richard Branson, a dégainé en retour des séquences des caméras de surveillance. Vidéos aussi peu explicites d'un côté que de l'autre.
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Derniers commentaires
Le mois d'aout est le moment des sujets débiles pas qu'outre manche non ? ha en France c'est toute l'année )))
Où l'on voit que Corbyn là-bas est traité comme Mélenchon ici: "Haro sur le baudet !"...
Tous les coups sont permis, et surtout les plus bas...
Tous les coups sont permis, et surtout les plus bas...
"Les journalistes britanniques ont un mot pour décrire la deuxième quinzaine d'août, quand ils n'ont aucune information à se mettre sous la dent : la silly season [saison idiote], celle-ci bat visiblement son plein", écrivait le correspondant du Monde à Londres.
Dieu merci, chez nous, c'est pas pareil : la saison cinglée continue en septembre (peut-être même toute l'année?).
Dieu merci, chez nous, c'est pas pareil : la saison cinglée continue en septembre (peut-être même toute l'année?).
A voir ou à revoir: The Navigators, film de Ken Loach.
https://fr.wikipedia.org/wiki/The_Navigators
https://fr.wikipedia.org/wiki/The_Navigators
Voir / Fréquenter des secondes classes, c'est un truc qui n'a jamais dû arriver à nos privilégiés du PS : Hollande, Macron, le très riche Valls, ne peuvent se faire aucune représentation d'une telle aventure.
En fait il y a un double Train-gate, car il y a aussi la question de la diffusion publique de ces séquences de vidéo-surveillance hors des motifs normalement autorisés.
Pourriez vous mettre entre guillemets le terme "gauche modérée" ?
Merci d'avance
Merci d'avance
La privatisation de British Rail est une de ces facéties dont le monde financier a le secret : faire passer cette opération pour une réussite alors que les entreprises privées qui ont dépecé le réseau reçoivent des subsides de l'état de façon honteuse et arrivent à faire croire au mirage de leur succès économique, voilà ce que cache cette aventure loufoque du Train Gate.
L'étude que je mets en lien ici démontre de manière chiffrée cette forfaiture (on se reportera par exemple au tableau dit Annexe D (Appendix D)
Je cite la conclusion de ce rapport :
"This article has argued that the British rail industry can barely be called privatised in a meaningful sense any longer, because of the extensive subsidies provided for infrastructure provision and, from 2014, the formal re-designation of Network Rail debt as a public liability. However, the manner in which subsidies have been channelled through Network Rail has allowed backers of privatisation among the train operators and the political elites to maintain their narratives about the promise and outcomes of privatisation. This is because the accounting numbers and their presentation are malleable and implicated in the attempts to create a favourable image of the privatised rail industry. The purpose of this paper has been to deconstruct these numbers and identify how reforms displace and alter the presentation of financial information over time. This paper therefore suggests that accounting and critical accountants have a role to play in challenging the political narratives about transformation in privatised utilities such as rail."
L'étude que je mets en lien ici démontre de manière chiffrée cette forfaiture (on se reportera par exemple au tableau dit Annexe D (Appendix D)
Je cite la conclusion de ce rapport :
"This article has argued that the British rail industry can barely be called privatised in a meaningful sense any longer, because of the extensive subsidies provided for infrastructure provision and, from 2014, the formal re-designation of Network Rail debt as a public liability. However, the manner in which subsidies have been channelled through Network Rail has allowed backers of privatisation among the train operators and the political elites to maintain their narratives about the promise and outcomes of privatisation. This is because the accounting numbers and their presentation are malleable and implicated in the attempts to create a favourable image of the privatised rail industry. The purpose of this paper has been to deconstruct these numbers and identify how reforms displace and alter the presentation of financial information over time. This paper therefore suggests that accounting and critical accountants have a role to play in challenging the political narratives about transformation in privatised utilities such as rail."