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dans un grand élan patriotique

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Au festival havrais XYZ du mot et du son nouveau Raymond Queneau, "Watture" (pour voiture électrique) vient d'être désigné mot nouveau de l'année 2012.
Les organisateurs de ce festival sont une bande d'iconoclastes qui font rien qu'à tordre et massacrer notre belle langue française.
Rien que pour me rincer l'oeil, je veux bien me faire passer pour un amateur d'art, mais ton choix de Grâces craint un peu, Alain.
Les Trois Grâces de Rubens sont trois grasses, celles de Regnault ont un gros cul, celles de Kupka sont cubiques, quant à celles de Cranach, c'est Scoliose, Cyphose et Lordose.
Je vais donc aller de ce doigt sur Gogol pour taper "hot girls" et me rincer carrément les deux yeux.
la RATP n'est décidément qu'un repaire de chochottes !
on se souvient du moulinet de Jacques Tati qui n'était pas une pipe : Tabac et Loi Evin !!
je ne vois rien de choquant dans ces panneaux qui ne sont finalement qu'une pub "pour un monde meilleur", banal slogan de toute miss Univers qui se respecte !!...
et depuis longtemps la pub essaie de prôner l'amour et la fratersororité non ? (enfin juste après la pronation (vs supination) pour la crème de marron à l'huile de palme !)
je propose aux parisiens de boycotter la RATEPE pour sa chochochitude !!

nb : hum hum j'veux rien dire hein mais sur ce site même eh oui hum il est possible de se faire traiter d'islamophobe juste parce que vous soutenez Fourest dans son combat contre un frère Ramadan hum... eh oui comme j'vous l'dis !
alors c'est vrai que le combat vers la fraternitude n'est pas gagné quand de tels esprits peuvent s'échauffer jusqu'à l'insulte dans ce qui ne devrait être finalement qu'un simple débat ggrrhumpfff
quoi ? j'ai dit Fourest ?? sur @si ?? arggg que le grand cric me croque si je suis dans la moindre provoc sur le thème de l'islamophobie non mais !
Considérant l'Histoire par Chen YiFei, 1979

La chaise et l'homme de dos, vous auriez pu les pousser avant de prendre la photo.
MISE À JOUR DU DIMANCHE MATIN AVEC TARTINES GRILLÉES


J'avais mis dans la chronique une splendide illustration d'un artiste chinois inconnu de mes services, or il se trouve qu'un @sinaute, maîtrisant à merveille l'écriture chinoise, m'a donné le nom de cet artiste : Liu WenXi. Du coup, j'ai précisé la chose dans la chronique et ajouté une image dont il est également l'auteur.

Merci à l'@sinaute sinologue !
Bonjour maitre,
Question idiote, n'ayant que très peu de connaissance en religion mais le personnage immédiatement à gauche du "juif orthodoxe nawak" (celui qui nous fait face), qu'est ce qu'il porte autour de son cou? Sur mon écran je devine une croix, du coup j'en conclue qu'il porte une soutane (?), mais quel est son chef ? Chrétien orthodoxe ? Ou alors ce n'est pas une croix. Bref je suis paumé. SI quelqu'un peut éclairer ma lanterne...
Sinon rien à voir mais les portraits de Zhang XiaoGang (en espérant ne pas écorcher le nom) m'on fait penser immédiatement au marié de Corpse Bride de Tim Burton, le nez et la bouche tout particulièrement, mais aussi le visage allongé (moins le menton pointu), les yeux plus grands mais avec la même expression fixe...
Joli voyage de Paris à Pékin (qui n'est pas à Nice).
L'occasion d'écouter un peu de musique du pays du soleil levant, passons sur ces trash-métalleux qui utilisent (sans son autorisation je parie) les initiales de l'hôte de ces lieux, mais intéressons-nous plutôt à ces nauséeux automobilistes qui ont dû avaler quelques psilocybes en écoutant Sonic Youth.
Dis-donc Alain, je suppute (parfaitement, c'est ma vie privée) que tu t'es planté -pas de beaucoup- sur le jeune homme que tu dis porter une kippa à droite avec le haut blanc. On dirait plutôt qu'il y a un tissu blanc-gris derrière lui dont la forme peut faire penser qu'il a une kippa, mais qu'en fait non pas du tout qu'on dirait. Et puis la kippa ne se porte pas dans les bâtiments mais en centre-ville uniquement ( la kippa middle-town). Oui je sais c'est nul. Pardon.
[...]« Vous avez raison, monsieur, quand vous me dîtes que le livre les Misérables est écrit pour tous les peuples. Je ne sais s’il sera lu par tous, mais je l’ai écrit pour tous. Il s’adresse à l’Angleterre autant qu’à l’Espagne, à l’Italie autant qu’à la France, à l’Allemagne autant qu’à l’Irlande, aux républiques qui ont des esclaves aussi bien qu’aux empires qui ont des serfs. Les problèmes sociaux dépassent les frontières. Les plaies du genre humain, ces larges plaies qui couvrent le globe, ne s’arrêtent point aux lignes bleues ou rouges tracées sur la mappemonde. Partout où l’homme ignore et désespère, partout où la femme se vend pour du pain, partout où l’enfant souffre faute d’un livre qui l’enseigne et d’un foyer qui le réchauffe, le livre les Misérables frappe à la porte et dit : Ouvrez-moi, je viens pour vous.
À l’heure, si sombre encore, de la civilisation où nous sommes, le misérable s’appelle l’homme ; il agonise sous tous les climats, et il gémit dans toutes les langues.
Du fond de l’ombre où nous sommes et où vous êtes, vous ne voyez pas beaucoup plus distinctement que nous les radieuses et lointaines portes de l’éden. Seulement les prêtres se trompent. Ces portes saintes ne sont pas derrière nous, mais devant nous.[...]
Je me résume. Ce livre, les Misérables, n’est pas moins votre miroir que le nôtre. Certains hommes, certaines castes, se révoltent contre ce livre, je le comprends. Les miroirs, ces diseurs de vérités, sont haïs ; cela ne les empêche pas d’être utiles.
Quant à moi, j’ai écrit pour tous, avec un profond amour pour mon pays, mais sans me préoccuper de la France plus que d’un autre peuple. À mesure que j’avance dans la vie je me simplifie, et je deviens de plus en plus patriote de l’humanité.
Ceci est d’ailleurs la tendance de notre temps et la loi de rayonnement de la révolution française ; les livres, pour répondre à l’élargissement croissant de la civilisation, doivent cesser d’être exclusivement français, italiens, allemands, espagnols, anglais, et devenir européens ; je dis plus, humains.
De là une nouvelle logique de l’art, et de certaines nécessités de composition qui modifient tout, même les conditions, jadis étroites, de goût et de langue, lesquelles doivent s’élargir comme le reste. » [...]

Victor HUGO
Notes / Lettre à M. Daelli, éditeur de la traduction italienne des misérables/ Hauteville-House, 18 octobre 1862.
Où on voit que David avait hâte qu'on invente la photographie, et même photoshop.

David faisait les gens tout nu, puis les habillait? Est-ce qu'il a peint Marat vivant et le coup couteau ensuite pour le peindre mort?
Comme toute oeuvre d'art, une chronique de Korkos doit vivre sa vie, échapper quelque part à son créateur.
Une aventure, cette chronique, en arrivant à la fin, je ne me souviens même plus du début :)
Merci Alain.

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