Dans les médias, la détention arbitraire de deux journalistes n'émeut presque pas
Tous les samedis, l'édito médias de Pauline Bock, envoyé dans notre newsletter hebdomadaire gratuite, Aux petits oignons : abonnez-vous !
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Commentaires préférés des abonnés
" l'escalade entre Israël et l'Iran "
Ne reprenez pas la propagande des médias ou du gouvernement. Il ne s'agit pas d'une escalade mais dd'une attaque des cinglés israéliens.
Quant au manque de soutien des mainstream à ces deux journalistes encor(...)
"Dolorès, un journaliste ça reste le c_l vissé dans son studio de télé parisien à attendre les prochains éléments de langage et à aboyer dès que l'ordre établi est remis en question, c'est ça le journalisme."
Des médias comme Blast ou Medi(...)
J’aime bien comment il est vénère Jean-Baptiste Rivoire dans cet entrtien sur Le Média :
https://www.youtube.com/watch?v=GcsEHoGQ5aU
(pour les pressés : il intervient à partir de 8 min à peu près)
(...)
Derniers commentaires
ASI, il semblerait que la télé algérienne ait expliqué que JN Barrot a contacté le MAE algérien pour évoquer Yanis Mhamdi.
Pourtant Yanis est français...
Pauline, auriez-vous vous des infos à ce sujet?
Et Pascal Maurieras, marin de 62 ans, il n'intéresse personne?
Ni politique ni journaliste...
Encore aujourd'hui sur Inter dans le flash info : "les deux militants". Pour faire rapide, ils pourraient juste dire "les deux Français"...
La fenêtre d'Overton est désormais grande ouverte ... et ce n'est pas de l'air frais qui rentre !
L'une des premières à avoir ouvert cette fenêtre, c'est Géraldine Woessner, rédactrice en chef du Point, pour qui on ne peut être Palestinien et journaliste. Alors quand on a un nom comme Yanis Mhamdi, pour Mme Woessner, on est un métèque, pas quelqu'un qui exerce le même métier qu'elle. On ne mélange pas les torchons avec les serviettes.
0ui mais c'est en réalité une porte-fenêtre qui va bien au-delà des médias, torchons, serviettes, serpillières, gants de toilette, pq etc, tout concoure au phénomène.
vous oubliez Claude El Khal et toute une série de sites du type Le GrandSoir, lesCrises pour qui il n'y avait pas de vrai journaliste à Alep, il faut relire les commentaires de l'époque : vous y retrouvez les memes arguments ( en faveur d 'Assad ) aujourdhui tenu par les soutients d'Israel
Ce silence assourdissant (et vomitif) me fait penser à l'arrestation de 2 policiers/militaires français (sur un territoire contrôlé par la France ai-je lu). Là aussi, lémédias ont peu réagi. Les ministres de l’intérieur et des armées, les partisan.es de l'ordre et de l'autorité (contre les sauvageons, la racaille ...) et autres éditocrates non plus.
Je ne sais pas si les policiers/militaires israéliens ont de la potion magique, mais leur totem d'immunité est très puissant en France.
"C'est celui dit qui est"
Ce journalisme officiel, officiellement sérieux et professionnel, officiellement objectif, montre tous les jours que s'il y a des militants dans la profession, ce sont eux les premiers et les plus acharnés.
Militants de la parole officielle, militants du pouvoir, militant du libéralisme et du capitalisme la plupart du temps.
C'est celui qui dit qui est.
J’aime bien comment il est vénère Jean-Baptiste Rivoire dans cet entrtien sur Le Média :
https://www.youtube.com/watch?v=GcsEHoGQ5aU
(pour les pressés : il intervient à partir de 8 min à peu près)
"Dolorès, un journaliste ça reste le c_l vissé dans son studio de télé parisien à attendre les prochains éléments de langage et à aboyer dès que l'ordre établi est remis en question, c'est ça le journalisme."
Des médias comme Blast ou Mediapart qui sont invisibilisés depuis longtemps, c'est malheureusement dans la continuité.
" l'escalade entre Israël et l'Iran "
Ne reprenez pas la propagande des médias ou du gouvernement. Il ne s'agit pas d'une escalade mais dd'une attaque des cinglés israéliens.
Quant au manque de soutien des mainstream à ces deux journalistes encore emprisonnés, c'est même pire. Il s'agit de mépris pour ceux qui font au péril de leur vie leur travail de journalistes. Le contraire de cette presse bourgeoise. A l'unisson avec le peu d’empressement que manifeste le gouvernement pour leur venir en aide.