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Dangers du tapage

Alors, en ce lundi matin, rétrocommissions, ou pas rétrocommissions ?

Derniers commentaires

Je viens de voir sur Canal + le champion de l'antirapage sur Karachi. Et il a osé en face de la fille d'une des victimes. Le summum ! Monsieur Apathie veut garder son Boulot .Je n'ai jamais vu un tel acharnement à protéger ses arrières.
"LE GAVAGE PERMANENT d’information de la part des médias sature les cerveaux qui n’arrivent plus à faire la part des choses." Du coût il faut être perspicace et très vite C’EST POUR AUJOURD’HUI.http://carfree.free.fr/index.php/2008/07/25/le-syndrome-de-la-grenouille/

Sinon Balladure? Ministre de la défense ou de la défonce?

T'chô.
C'est sûr que maintenant, on essaie de noyer le poisson en lui prodiguant trop d'oxygène alors qu'auparavant, on l'en privait.

Mais ce pouvoir sait admirablement se servir de l'incompétence de la plupart des journalistes actuels qui avalent tout, le digèrent à peine et recrachent tout presque tel quel.

Je suis sûre que si on demandait à un spectateur lambda de TF1 ou de Pujadas ce qu'est une commission ou une rétrocommission, il serait incapable de dire qu'il s'agit de pots-de-vins pour les acheteurs et de pots-de-vin pour le RPR.
Dit comme ça, c'est quand même beaucoup plus clair, non ?

Et si on disait au même que donc c'est le refus de payer davantage ces pots-de-vin, c'est-à-dire ces sordides arrangements destinés au financement de partis politiques , qui a probablement coûté la vie aux victimes de l'attentat de Karachi, ça aurait une autre gueule et ce serait beaucoup plus clair. Et ce serait encore mieux de parler de système RPR.

Bon après, les services pakistanais ont bon dos : non seulement ils ont soutenu et financé les Talibans, mais en plus, ils tuent de sang-froid nos ressortissants sur leur sol, et font accuser Al Quaïda. Quand même un coup à entamer sérieusement les relations diplomatiques avec le pays d'Allah.
Encore que... le Pakistan, c'est comme Israël, ils ont droit de faire ce qu'ils veulent, et nous balancer des coups de poignard dans le dos, ce sont nos alliés.....
Dites-moi, Daniel, quelles dispositions avez-vous prises pour protéger vos ordinateurs ?
Je sais bien que vous ne faites pas d'investigation, mais à votre place, je me méfierais tout de même.

http://anthropia.blogg.org
Ben, si y'avait pas eu Adler, j'aurais pas parlé mais comme y'a Adler dans le coup, faut dire.
Il se passe avec les nigmes de Karachi ("dans la colle", disait-on à l'école quand le grand port de l'Indus est devenu la capitale provisoire du nouvel Etat paki... que c'était dans la fin des années 40)... ce qui s'est passé dans les temps modernes avec la rue Qincampoix, le banquier Law, les assignats ensuite, les fortunés du chemin de fer, les potes à Nabo III (ceux qu'ont fait Deauville et Biarritz), l'affaire de Panama, les débuts de l'affaire Dreyfus (où même Jean Jaurès a donné dans le Motordu), la fiancée du général Boulanger, les anarchistes de la Belle Epoque, l'affaire Stavisky, les magouilles de l'an 40, les affaires de la 4e et puis tout ce qui nous advient...
Yahu GRAND TAPAGE à chaque fois. POURQUOI ?
Parce qu'il faut toujours noyer le poisson, égarer le pauv' monde jusqu'à ce qu'il dise (le pauv' monde) "je n'y comprends rien!" "Tout ça c'est du pareil au même"... On parle de Sarko, on nous parle de Mitt'rand, on parle de mon Chichi on nous parle de Ballamou, on cause des crimes du FLN on nous cause de l'OAS, on parle de Pétain, on la ramène sur De Gaulle. C'est ça qu'est "objectif"...
Adler qui ne rate jamais une occasion de vanter la Soviétie de Brejnev (c'était dans le temps avec son pote Crémieux), qui parle de Poutine comme d'un vieux copain de KGB du temps où ils suçaient ensemble l'enseignement d'Andropov (Adler a des larmes dans la voix quand il en cause) vous pensez bien qu'il ne va pas rater une occasion de "brouiller l'écoute" (comme on dit chez la Comtesse). Ah la la... çui-là cé un cake ! Il tient un bon plaçou (comme on dit en occitan limousin). Inamovible - pas comme la Pulvar, pauvre petite...
Ce qui m'a étonné ces derniers jours, c'est la menace de plainte contre Chirac et Villepin.
Or c'est quand même ces derniers qui ont le beau rôle dans cette affaire puisqu'ils ont mis fin à d'ignobles rétrocommissions.
(Si je me porte au secours d'une petite vieille qui vient de se faire voler son sac dans la rue, et que son agresseur affolé tire et tue la petite vieille, j'espère qu'on ne va pas porter plainte contre moi!)
Je suppose que c'est une manoeuvre - tout à fait compréhensible d'ailleurs - de l'avocat des familles, qui savait qu'il n'avait rien à attendre d'une plainte contre le bouffon et le goitreux, et qui a offert à Villepin l'opportunité d'une tribune pour les enfoncer.
Bien joué, bien que çà ne change rien sur le fond.
Quant aux soupçons, il n'y a pas un abime entre les "forts soupçons" et les "soupçons"; tiens, on devrait créer une échelle de mesure, je vais en parler à Monsieur Richter ...
Les contrats d'armement portent sur des objets matériels, des sous-marins, qui en tant qu'objets "massifs" laissent de nombreuse traces indélébiles.
Rien à voir avec celles laissées par des enveloppes de papier Kraft même bourrées de biftons.
En adossant des financements illicites à une fourniture de matériel, nous somme passés du mode allégorique et allusif, celui de l'affaire Bettancourt, à un mode littéral, rationnel, massif donc infalsifiable, celui de Karachi.
Ce réel massif va devenir référence commune à une multitude d'acteurs non coordonnés qui témoigneront à hue et à dia.
D'où l'impression de tapage.
Tapage certes, mais jamais source de confusion, sauf à court terme, car transmuté en force motrice élucidante par la grâce d'un réel infalsifiable.
Ben quoi? C'est le principe du thermomètre à disparition de filament: Trop froid, tu le vois, trop chaud, tu le vois, à la bonne température, tu le vois plus!
Le problème, c'est qu'à force de l'utiliser, on augmente la température! Donc nos politiques sont responsables du réchauffement climatique! Allégre y avait pas pensé à celle là........
Sans plaisanterie, maintenant, il me plait beaucoup que "la masse" soit sensibilisée à ce genre de pratiques GENERALES et aux mœurs du monde des affaires, qui y est pour beaucoup dans les bénéfices bancaires dénoncés par E. JOLY. Quelle différence faites vous maintenant entre dealers et banques, madame Morano?
Karachi tout le monde descend , on dirait que tout cela va s'arranger au mieux , pour tout le monde , enfin ,surtout pour les politiques , et balladur au fait , il est ou ?

Les négociations ont du etres apres ce week end : si tu me balance , je te balance , tu veux un maroquin ? un chocolat ?

On à l'impression que si le lien n'est pas fait avec l'attentat de karachi , ces messieurs, les poches pleines de liquide ne seront pas inquiétés ,
Alors , retro commissions ou pas ?
Je l'entends déjà d'ici : "C'était pas la peine de faire tout ce foin si c'est pour que les soi-disant témoins disent blanc un jour et noir le lendemain. Enfin écoutez c'est ridicule. Au fond franchement c'est ridicule. Soit ya des éléments, donnez les nous. Pff. Grotesque ... On connait la chanson.
Il faut écouter la chronique de Alexandre Adler aujourd'hui à 8h20 sur France Culture concernant cette affaire.
Adler revient à la première version, celle qui faisait florès peu après l'attentat: pour lui c'est un acte terrorriste imputable à Al-Qaïda.
Edifiant: il persiste à donner raison à Bruguière alors que son successeur Trévidic a clairement dit qu'il abandonnait cette piste.
Le pire: au début de sa chronique Adler situe l'attentat de Karachi "15 jours après le 11 septembre 2001", alors qu'il a eu lieu le 8 mai 2002, peu après la réélection de Chirac.
Bref on se demande quel but poursuit Adler: déconstruire les témoignages récents de Millon et Villepin ? Laver les soupçons qui s'accumulent contre Sarkozy et Balladur ?
Ou bien tout simplement Adler est un âne qui n'y comprend plus rien. Mais alors, que fait-il sur France Culture ?
J'ai vu ce week-end, Fairgame, et une phrase de l'héroïne, espionne de la CIA, dont l'équipe de Bush a révélé l'identité publiquement, résonne avec votre chronique, du genre, 'quand les médias auront fini le travail, on ne saura plus où est la vérité'.

Et je crois que c'est exactement ça, bientôt on n'y comprendra plus rien.

http://anthropia.blogg.org
Moi, ce qui me trouble, c'est que quand j'avais suivi votre émission avec le juge Trévidic et une des Karachis, il me semblait que les choses étaient assez claires. Alors, j'ai dû sans doute oublier des détails, mais j'avoue que l'idée que des gens se vengent en 2002 pour une cessation des commissions et donc des rétro-commissions en 1996 me semble tout à coup assez incohérent. Et que le contexte de 9/11 paraît mieux coller avec l'attentat.

Je l'avais pensé toute seule ce week-end, et ce matin Alexandre Adler en a remis une couche.

Donc ai-je raison de penser ce que je pense ? Me manque-t-il un fait qui m'aurait échappé ?

http://anthropia.blogg.org
Comment fait-il ?
Une affaire le désigne... Et pouf, ça retombe sur Villepin !
Il faut dire que la sémantique journalistique ne laisse pas de surprendre parfois :
Un type dit "il y a de forts soupçons", cela signifie : "il sait et il a la preuve".
Alors il dit "il y avait des soupçons, mais pas de preuve formelle". J'appelle ça préciser sa pensée, mais on m'explique que c'est un discours qui se contredit ou/et un énorme rétropédalage.
Va comprendre !
A voté.
Toutefois, ASI n'était pas seul à tirer, depuis longtemps, la sonnette d'alarme.
Mais plus on est de fous, plus on rit...jaune en l'occurence.
Tentez votre chance. Faites tourner la roue médiatique. À tous les coups l'on perd!
Quelle foire! Un petit tour de train fantôme? Pour se faire peur?
Eh la guimauve qui dégouline, vite faut la renrouler sur son support.
Ça pue l'huile rance vers la baraque à frites.. http://guybirenbaum.com/20101121/yo-stink/#more-5162

http://www.myxer.com/ringtone:4115977/ "ils ont tous une belle situation, mais moi..."
Le discours de Villepin change à partir du moment où lui même risque d'être mis en cause... Courage, fuyons...

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