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Contrôle antidrogue en Béarn : cette fois, l'information a pris le TGV

Ca ne vous rappelle pas quelque chose ?

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faut pas tout de suite s'indigner, tout de même me semble-t-il qu'au sacro-saint pays du Jurançon, on n'a pas fait passer un alcool-test à henri IV, ni à François Bayrou, pas plus accuser la petite Bernadette Soubirou de manger des champignons hallucinogènes, d'ailleurs la gendarmerie locale n'a pas dénoncé les mômes qui reviennent après une journées de ski passée dans les cols pyrénéens avec dans leur sac à dos du ricard de contrebande, puisque parmi eux il y a leurs propres enfants(sic).
Dans ce bourg typique de 4000 habitants, qui vit paisiblement dans ses verts pâturages, nos braves pandores n'ont fait qu'un exercice très pédagogique, qui ne fait que démontrer à nos chérubins que les vaches ne pondent pas des pots de yaourts. Remercions Darcos, notre ministre polyvalent de l'intérieur et de l'éducation nationale pour ces économies faites sur le budget de l'État : 10 gros flics avec des chiens affamés coûtent moins chers qu'un petit instit avec ses vieux bouquins.
les salauds ils ont osé faire peur aux gosses pour leur rappeler que fumer de la drogue c'est un DELIT !
Il n'y a rien à classer :

Sous Sarkozy le Petit la police a TOUS les droits et le citoyen AUCUN...

C'est pourtant simple,

Et c'est une non-information : ce qui en serait une (information) se serait un peu de retenue, de réserve et de respect de la part de ces soudards encouragés à humilier le bas-peuple...

Il y aurait un scoop, là !

***
J'ai un ami qui est partit vivre en Angleterre et son premier constat fut la différence des relation entre la population et la police "incomparable".
On lui a expliquer que les flics anglais devait avoir effectué pendant au moins deux ans un autre métier, tellement simple qu'on est surement pas prêt de l'appliquer!
Autre anecdote, une étudiante espagnole vivant en France "chez moi on est content de les voire, ici on préfère changer de trottoir".
J'habite a Rennes, ville étudiante et sois-disant socialiste, je préférerai l'appellation ville ou une bourgeoisie de gauche s'impose de faire respecter l'ordre établi de gauche aux brebis galeuse un peut trop a gauche ou pas assez comme eux en tout cas ;Les intermittents a rennes sont tout sauf solidaire et use des subvention de manière ultra-libérale (chacun pour sa peau!), bref je m'égare complètement.
Nous avions pris l'habitude, nous, jeunes rennais de prendre quelques coup de matraque et de gaz en tout genres pour tout événement nocturne(10 fois par ans environ) passé les 2h du matin, pour laissé dormir la gauche caviar "qui elle bosse demain bordel!".
Donc a chaque lendemain d'événement nocturne les titres de la presse locale relataient l'agressivité des djeuns envers les forces de l'ordre et les bouffeur de caviars s'émeuvent, évidement, pendant que le conseil général, de gauche faisait fermer un squat très apprécié des fauchés.
Et cette année, a l'occasion de la fete de la musique, la préfecture a eu la superbe idée de ne pas mettre de flics sous le nez des jeunes agglutinés rue de la soife, comme par miracle aucun conflit n'a éclaté et la soirée c'est fini tranquillement, tout le monde était heureux et j'ai passé ma première nuit dans une ville socialiste, ce fut très chouette!
J'ai l'impression de m'être drôlement égaré j'en suis désolé.
C'est comme l'innovation dans l'industrie, les grosses structures ont besoin d'avoir un pilote, une expérience réussie à petite échelle, par un outsider, pour avoir l'idée d'industrialiser ça. idem pour les TV, elles ne font pas émerger les thèmes nouveaux, mais quand elles ont vu que c'est payant sur internet, que ça intéresse les gens, que c'est fondé, elles reprennent à leur compte. Y a un nom pour ça, pillage et développement, le contraire de R & D.

http://anthropia.blogg.org
Pareil! c'est l'info "nationale" qui a retenu mon attention aujourd'hui!
Cette méfiance, pour ne pas dire défiance, qui s'installe entre les citoyens et le pouvoir devient inquiétante. La police et la gendarmerie ne sont plus regardées comme des forces de l'ordre mais comme les auxiliaires d'un pouvoir politique autocratique et il faut dire que c'est à leur corps défendant.
Au sein mêmes de la police et de la gendarmerie, la colère gronde contre une hiérarchie elle-même sur la sellette en permanence. Il n'y a qu'à voir les évictions de préfets et chefs de la police pour s'en persuader. Il suffit de se renseigner sur la pression mises par les chefs sur les policiers en uniformes, avec des sanctions à répétition, pour savoir que la police va mal. Que dire des gendarmes, qui peuvent constater tous les jours ou presque qu'il y a une répression à plusieurs vitesses, particulièrement pour la délinquance routière où les jeux d'intérêts entre le contrevenant et le pouvoir politique permettent toujours d'échapper à la sanction.
La bonne question à se poser est : quel dirigeant de la France exige ce genre de contrôle de la part de la gendarmerie ? Car vous pouvez être certains que ce n'est pas une initiative des gendarmes qui n'ont pas envie d'être vus comme des liberticides alors qu'ils ne font qu'obéir aux ordres. Les gendarmes, contrairement aux enseignants, n'ont pas le loisir de faire de la désobéissance civile.
Bonjour,

Toujours sur France-Inter, la justification de la gendarmerie m'a sidéré : pour l'exemple. Bel exemple.
Attendons de voir comment la presse va développer l'information, parce que ce matin, sur France Inter, pas grands commentaires. Or, ces méthodes gendarmesques qui tendent apparemment à se faire plus fréquentes posent quand même un sérieux problème quant à notre modèle de société. C'est donc ainsi que se conçoivent les nouveaux rapports entre les citoyens et les forces censées les protéger, sur l'inscription systématique de TOUT LE MONDE sur la liste des suspects ? On le voit également en ce qui concerne les automobilistes, de plus en plus considérés à priori comme des délinquants en puissance, quels qu'ils soient. On peut espérer que cette nouvelle affaire ouvre davantage de débat que celle du Gers.

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