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Cherche fumeur, désespérément

Le réel nous déplait - pas assez sexy, pas assez édifiant, pas assez vendeur ? Changeons-le.

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Pour quoi déterrer ce forum ? parce que ce qui y est dit me fait furieusement penser au Point et ses femmes de polygames, et aussi juste pour faire peur à tout le monde en faisant croire que E Levy est de nouveau chroniqueuse ici.
je fume toujours, peste,rale et crache fort le matin mais rale et peste plus sur ces dérives qui nous enveniment la vie privée alors que, dans le même temps la loi de 1905 est mise plus à mal.'
Le mercredi 2 janvier 2008 à 13:26 par Douze
Lu sur un autre forum, pour expliquer le remue-ménage autour des amours (?) du président :
"Petit hors-sujet pas si hors sujet : Au fait, dans 2 jours, on ne peut plus fumer nulle part. Vive la mort de la convivialité au nom du sacro saint "rester vivant"... Vive la santé publique qui fait de nous, chauffeurs, fumeurs et autres, des criminels, et qui nous enferme dans un monde pur et blanc. Sans vouloir faire l'apologie des plaisirs trop rapides et destructeurs, je trouve bien mortifère cette façon de rester en vie coûte que coûte. Peut-être y-a-t-il un milieu à trouver en tout ? La colonie des morts-vivants, c'est pas vraiment le monde que je rêve pour mes enfants"
Je retrouve des thèmes communs dans ce débat, alors j'y vais de mon point de vue et aussi de mon vécu, parce que j'ai quand même l'impression que sur ce sujet, chacun a du mal à faire la part des tripes et de la réflexion froide ou provoc.
Mon père avait 54 ans quand il a rechuté son cancer du fumeur, de pronostic pourtant favorable. Il s'est battu des mois, un oeil sur mon ventre où grandissait sa première petite-fille, l'autre sur les scanners et les analyses de plus en plus alarmants. Il a perdu sa course contre la montre, et n'a pas même croisé la petite, qui s'avère le portrait de son arrière grand-mère, à peine croisée elle aussi, puisqu'elle est morte en couches.
Quant à moi, après une enfance de tabagisme passif à raison de 4 paquets de gauloises par jour, j'ai les voies respiratoires si bien abrasées que les moindres poussières, allergènes, ambiances enfumées, se paient de corticoïdes, de ventoline et d'extinction de voix, donc d'arrêts de travail coûteux. Alors, j'avais appris à renoncer aux concerts, aux restos, aux lieux militants souvent enfumés, à demander ma mutation pour les services non fumeurs et tant pis si les tâches y étaient plus ennuyeuses et moins bien payées. Nous sommes des millions, sûrement, à avoir renoncé en silence pour ne pas être taxés de gêneurs, de censeurs, d'empêcheurs de convivialité.
Maintenant, le vent tourne tout à l'opposé : je suis contente de pouvoir accéder à des lieux qui m'étaient de facto interdits (concert rock hier, et même pas mal, nickel, cette soirée ne ruinera donc pas la sécu et n'attaquera pas ma précieuse franchise !), mais je suis outrée de la chasse aux sorcières, l'autre extrême dans lequel nous tombons maintenant : pour avoir été ainsi exclue, simplement parce que j'avais le honteux besoin de respirer, je refuse qu'on exclue qui que ce soit d'où que ce soit.
Je pense qu'il faut concilier 4 libertés :
1)celle de fumer
2)celle de ne pas fumer
3)celle de vivre et de mourir dans la fumée des autres
4)celle de vivre dans un air compatible avec son état de santé
et que pour ça, l'équilbre serait :
1) les lieux plus ou moins interchangeables (même si chaque bistrot et chaque resto a son âme propre, enfin en général et pour peu de temps encore) choisissent d'être ou non accessibles aux gens de la 4ème catégorie (sous réserve aussi de rendre possible un réel choix pour les salariés)
2) les lieux collectifs (concerts, magasins, lieux publics, de transport, de travail ou de culture, de réunion ouverte etc) doivent être accessibles à tous, bien portants ou estropiés de la vie. Ou préférez-vous aussi, par rejet d'un monde pur et blanc, qu'on démonte ces rampes d'accès aux fauteuils roulants qui défigurent nos splendides architectures de béton authentique et convivial ?
Je préfère la recherche d'une solution apaisée de coexistence plutôt que des remarques acides et pas très respectueuses des asthmatiques et insuffisants respiratoires, accusés de tuer la convivialité, d'être mortifères à force de vouloir rester en vie, morts-vivants en puissance (mais ne le sommes-nous pas tous ?).
Yo à tous,

moi je suis tombé sur ça, le monsieur qui cause à l'air de savoir drôlement de quoi il cause, je suis sûr que ca va interesser Elisabeth Levy et vous tous....

http://www.doktorglub.com/dotclear/index.php?2008/01/27/14-quand-les-multinationales-font-de-la-politique
Grrr... vous m'énervez, Elisabeth Levy ! Vous savez ça ? que vous énervez les gens ? Par exemple, en écrivant des trucs du genre : "ces lois qui prétendent nous protéger de nos semblables et de nous-mêmes". Elles ne "prétendent" rien, les lois, que je sache. Elles "essaient de ...", elles "tendent vers ..." Par contre, vous, quelle prétention ! Vous prétendez pouvoir TOUTE SEULE vous protéger contre les excès des autres ? Prenons le code de la route, qui vaut force de loi, on supprime alors ? chacun est assez grand pour savoir quoi faire face à un conducteur bourré qui arrive en face, et à gauche ?et les limitations de vitesse ? comme si tout le monde ne savait pas qu'il faut ralentir dans une agglomération, à l'approche d'un virage en épingle à cheveu ou d'une intersection ! on nous infantilise n'est-ce pas ? ben voyons ... découpons les radars au chalumeau, ça c'est un acte citoyen !
Les lois, toutes les lois, lorsqu'elles sont imparfaites, le parlement est là pour les améliorer et lorsqu'elles sont mauvaises, il est aussi là pour les supprimer. Le tabagisme n'est pas qu'un problème de santé individuelle, ses effets sont aussi sociétaux (ne serait-ce que sur le plan du coût financier) et donc collectifs. D'où la nécessité de réglementer et de légiférer. Vous m'obligez à dire des évidences d'une confondante trivialité !

Etre un ancien fumeur contre la loi anti-tabac, vous semble peut-être une posture intelligente, c'est surtout une posture ... quant à l'intelligence du propos ... Comme quoi, on peut avoir lu Baudrillard ... Ayant été moi-même fumeur pendant 20 ans, j'ai une idée de l'effort personnel qu'il faut faire pour arrêter, mais j'ai aussi conscience de l'importance décisive de l'entourage familial et/ou professionnel au cours de la démarche. Tout ce que l'environnement peut apporter aux fumeurs en terme d'aide est bon à prendre, à l'exclusion des discours moralisateurs ou fanatiques évidemment. Quant à votre provoc, elle n'est pas seulement contre productive, elle est surtout irresponsable et puérile. On pourrait en rire, aussi bien, si l'on n'avait tous un ou plusieurs proches ou amis disparus prématurément des suites d'un cancer du poumon, ou se battant actuellement contre.
Sarkozy pourrait témoigner pour ABC, il est fumeur occasionnel de cigares.
Euh, je dis ça parce que ça fait presque 2 jours que cette chronique est en ligne,
et personne n'a encore parlé de Sarko dans le forum.
Et, en fait, avec mes copains, on parie sur le temps que met à arriver
l'évocation de Sarko et le moyen d'y arriver quand le sujet n'a rien à voir avec lui…
J'ai gagné, pour l'instant, 228 euros.
Ce matin, en sortant de mon appart, j'ai comme d'hab, allumé une tige. Je fume pas trop chez moi, ça fait tousser mon chien. Et aboyer ma femme.
En passant, j'ai pissé sur le paillasson de ma voisine de palier, une de ces mégères fumophobes, qui ne m'adresse plus la parole depuis qu'un jour, dans l'ascenseur, je lui ai soufflé par inadvertance la fumée de mon cigarillo dans les trous de nez.

J'ai pris ma voiture pour aller au café-tabac du coin de ma rue, renouveler mon stock. Sans boucler ma ceinture. Là, je me suis enquillé quatre pastagas avant de reprendre ma tire. Et comme j'étais un peu à la bourre pour Télé-foot, j'ai pris un sens interdit pour gagner du temps. Mauvaise pioche.

Je poste depuis l'hosto. Le chauffeur du 15 tonnes qui m'a percuté est indemne. Il a juste été un peu surpris de me voir arriver en face de lui, et a pas eu le réflexe de freiner.
Moi, je m'en tire pas trop mal. Fractures multiples, deux mois d'immobilisation. Sans clopes ni jaja. Je prendrai patience, d'autant que je m'entends bien avec mon voisin de chambre, deux paquets de goldos par jour, cancer du poumon en phase terminale. Sa femme qui fumait pas est morte d'un infarctus il y a tout juste un an, mais rien à voir avec le prétendu tabagisme passif. Connerie. Elle avait, d'après lui, toujours été de santé fragile...

On s'échange nos lectures. Il m'a prété ce bouquin dans lequel Elisabeth Lévy "s'insurge bruyamment contre les lois qui prétendent nous protéger de nos semblables et de nous-mêmes."(sic) Une vraie rebelle, cette Elisabeth. Et qui sait choisir et plaider les causes essentielles.

Je profite d'ailleurs de son fil pour lui apporter mon soutien dans son courageux combat contre les liberticides de tous poils.

Car comme l'expectore, fataliste, mon nouveau copain (pour encore une semaine ou deux) : Brrrahhh... hhhh... kof ! kof !... frrraut brrrien crrre... hhhrrr... ver d'kék chose...
Je vous trouve un peu trop gentil avec les Français, jeff, je pense que le problème se pose de la même manière en France, notamment dans le débat sur le tabac dans les lieux publics. Tout en étant pour cette loi, je remarque cette diabolisation des fumeurs que je trouve assez douteuse... on en parle comme des grévistes, c'est dire :P

Mais non, le problème n'est pas culturel : c'est le souci même du journalisme. Et plus que du journalisme, c'est le problème même de l'observation du monde.
Les historiens, les linguistes, les ethnologues, mais aussi les pysiciens, les biologistes et les médecins, nous ne voyons tous que ce que nous voulons voir ! Tout ceux qui se réclament de l'empirisme vont droit dans le mur et je crois qu'on ne le dit pas assez... C'est d'autant plus vrai pour le journalisme qui a encore moins de recul tellement il vit dans l'actualité et donc dans les tendances sociales du moment, dans le suivisme, dans les modes. "les faits, rien que les faits" nous-dit-on benoîtement ! mais il est complètement aberrant de prétendre atteindre l'objectivité quand on est constamment obligé de trier les informations et de ne garder que la pointe de l'iceberg — mais quelle pointe, voilà la question.
J'aimerais que les médias actuels nous parlent un peu plus de leurs sources, de leur financement, de leurs doutes... mais j'aimerais surtout qu'ils parlent de leurs auteurs, de leurs "moi je pense que" "pour moi, il me semble que" "moi je construis le monde de cette manière".
Quoi, cela vous choque qu'un journaliste recrée une situation qui "aurait pu arriver" ? Eh bien, c'est que vous oubliez qu'à chaque fois que nous parlons, nous reconstruisons le monde à la mesure de notre vocabulaire et de notre grammaire. Que la situation soit arrivée ou pas, on s'en fout, ça ne change rien... comme dit Elisabeth (ouuuuh épousez-moi Elisabeth !), l'observateur fabrique le réel.
Peut-être que le problème est plus culturel qu'autre chose :
ABC est une chaine américaine, qui s'adresse surtout à un public américain. Ce que l'on montre à voir à nos amis états-uniens, généralement, ce sont des thèmes développés de manière binaire, bipolaire. Il y a le pour et le contre, le pro et l'anti, le bien et le mal. Il n'y a pas la place pour une demi-mesure, une position à mi-chemin, une réflexion autre que tout ou rien.
Il n'est pas envisageable par conséquent qu'une non fumeuse soit contre la loi anti-tabac.
C'est le modus operandi de la pensée unique : on classifie les pensées (les individus par conséquent) en deux groupes antagonistes, puis on exclut l'un des deux groupes du monde des bien pensants. La méthode fait semblant de ne pas être totalitariste en laissant un choix apparent, mais dans les faits, il ne reste plus qu'un seul courant dominant des "bons" qui désigne l'autre comme "mauvais".
On simplifie le débat, la réflexion, on fait plaisir aux extrémistes... Tiens, ça ressemble à quelqu'un, bien de chez nous, ça...
Heureusement, il n'y a pas qu'ABC, il y a ASI aussi. Je pense qu'il serait d'utilité publique qu'ASI ouvre un site aux USA.
Do you speak english Miss Levy ?
C'est clair, la réalité ne suffit plus , ou tout du moins si la réalité ne correspond pas à l'image qu'on s'en fait , ou que certains s'en font , c'est qu'elle est suspecte ou peut devenir suspecte, alors habillons la dés à présent pour que la réalité soit perçue comme réelle et surtout simple, car là dedans ce que nous pouvons identifier c'est la fénéantise : pourquoi se poser des questions alors que ce que l'on nous propose est conforme. Le pire est bine là ...............
Elizabeth Levy rejoint Alain-Gérard Slama, le chroniqueur à la voix flûtée dans le club des non-fumeurs opposés à la loi. Tous deux manient bien le verbe et s'ingénient à trouver des angles intellectuellement audacieux pour prendre l'air du temps à rebrousse-poil. L'exercice a des limites parfois. Ainsi ce dernier fait valoir que la mort est un élément de la culture et de la vie pour battre en brèche le principe de précaution contre les OGM ou le nucléaire. Le jour où un marchand de dynamite ouvrira un magasin sous son appartement, que dira-t-il ?
Ceci dit, fermer les squares quand il a neigé pour éviter les accidents aux enfants démontre par le ridicule que cette dérive réglementaire et législative pour le bien du citoyen existe bien.

Ailleurs Elizabeth Levy trouve qu'on a fait bien grand battage pour Florence Aubenas. Qu'il n'y a pas lieu de monter en épingle le problème des femmes battues parce qu'elles ne représentent qu'un pourcentage très modeste des décès. Ou que les Américains ont beau jeu de dénoncer les magouilles financières de Pasqua et Cie avec Saddam. Baudrillard est brillant mais (paix à son âme) il frôle le réactionnaire dans ses diatribes contre l'art moderne et frôle on ne sait quoi dans son article sur le 11 septembre.

Quant à la mise en scène des "journalistes", la démonstration n'est plus à faire. On se souvient du frigo (en polystyrène) lancé d'un toit pour "Entrevue" (pas une référence mais en passe de le devenir) et surtout de la splendide démonstration de l'humoriste Lafesse: se faisant passer pour un journaliste de France 3, il persuade un quidam de témoigner d'une défenestration. Après un refus net, à force de persuasion, Lafesse a son témoignage dans la boîte ! Notons aussi que tout le monde sait parler "télévision", tout le monde accepte de bonne grâce à témoigner de son "émotion" et de jouer le rôle qu'on lui a assigné.
La télé est une fabrique de stéréotypes...
On s'étonne que dans les campagne on vote FN par peur de l'immigré ensuite...

Très très bon reportage Elizabeth... Malgré tout, je ne vous aime pas... Je viens de relire le sujet d'examen de l'année dernière, un de vos articles à résumer, et auquel je m'étais tapé une caisse. A cause de vous (en partie), j'ai du passer des examens en trop! J'espère que vous n'avez plus la conscience tranquille!!!
Comme vous, Elisabeth Levy, je ne fume plus, mais je mâche.

Quand dira-t-on la catastrophe industrielle sur les moquettes de nos buildings du CAC 40 que provoquent ces petits bouts de gomme. Ou encore la déformation mandibulaire qu'elles induisent. Sans oublier la terrible aérophagie entraînée par la mastication nerveuse.

Je crois que Véronique Nahum-Grappe a remarqué dans un livre publié aux Prairies Ordinaires ces nouveautés collantes sur les sols parisiens.

Avec l'arrêt du tabac, on cesse de nourrir les cigarettiers au profit des labos.

Rien de nouveau sous le soleil du capitalisme, donc.
Moi j'aurais volontiers joué le rôle du fumeur pas content.

Enfin je suis bien content de constater que les personnes dont je me sens proche intellectuellement partagent mon avis sur ce sujet. J'ai eu peur à un moment que même les esprits les plus critiques soient d'accord avec ce décret et l'idéologie qu'il porte.

D'ailleurs, si @SI pouvait faire un petit sujet sur la façon dont on crée la psychose avec le tabagisme passif sans dire tout ce que les études "très sérieuses", pourtant abondamment citées, disent elles-mêmes, j'en serais très heureux.
Madame Lévy, je suis furieux contre vous : vous nous expliquez en bas de page qui est jean Baudrillard, comme si nous ne savions pas tous qui il est. Et ce n'est pas tout, car vous vous trompez assurément : je l'ai vu encore marquer un but l'autre jour à la télé en regardant téléfoot.

PS : merci de voter pour ce commentaire, car cela fait très plaisir à ma vieille mère, âgée de 90 ans, quand elle vient sur ce forum et voit mes commentaires en tête de gondole.

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

A la décharge du journaliste qu'ici on accable, il faudrait tout de même rappeler que ce n'est pas de son fait, non plus, que le réel soit devenu si bon comédien.

Les différentes générations qui constituent notre époque ont toutes en commun qu'elles disposent d'une grande culture télévisuelle, qu'accompagne une connaissance plus ou moins consciente des codes qui la sous-tendent. Ainsi, l'automobiliste qu'on interroge à la pompe le jour d'un pic du prix de l'essence a t'il déjà vu, maintes et maintes fois, le reportage de l'automobiliste qu'on interroge à la pompe le jour d'un pic du prix de l'essence.
Mais aujourd'hui, voilà qu'il décroche le premier rôle - il s'efforce alors de ne pas décevoir, il sait déjà qu'au soir sa famille sera réunie autour du poste et commentera la performance, la comparera aux illustres précédentes - il joue le role du mieux qu'il peut , et même a la présence d'esprit de rejouer le détail du coude qu'on replie et appuie par dessus la fenetre baissée.
Rien de réel dans tout cela, finalement - mais ca n'est pas non plus une mise en scène qu'un journaliste aurait orchestrée.

On a vu trop d'images peut etre, pour rester complètement innocents quand sur nous une caméra est fixée - le réel ne se capte plus qu'a l'insu, et on explique peut-être là la multiplication des caméras cachées.
voila une remise en question médiatique profonde et digne d'interet, je trouve

la question que tu poses : quelle est la différence entre un journaliste et un metteur en scène? C'est un peu : Quelle différence entre un bon et un mauvais journaliste ?

la réponse dépend du point de vue : pour ceux qui ont le pouvoir un bon journaliste est un metteur en scène - des idées du pouvoir - (et donc ce n'est plus un journaliste), et pour ceux qui subissent le pouvoir (la france du fond à droite) un bon journaliste serait (s'il existe) celui qui arrive à synthétiser, c'est à dire revenir à la racine de chaque problème, aux principes des phenomènes - politiques ou autre, et à les comparer aux principes "universels" (eux c'est à ça qu'ils servent : c'est le référentiel nécessaire à toute comparaison).

C'est un début de débat (à bas débit)

merci
Exemple édifiant des reportages qui dégorgent des JT.

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