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Commentaires

Ces scandales médiatiques qui se dégonflent au tribunal (1)

Le final a fait un flop. Des années d'enquête à charge contre Eric Woerth, un feuilleton médiatique à rebondissements, et in fine, un non-lieu ou la perspective d'une relaxe dans l'affaire Bettencourt et celle de l'hippodrome de Compiègne. Comment expliquer le décalage entre le feuilleton médiatique contre Woerth, poursuivi dans trois affaires, et la facilité apparente avec laquelle il s'en est sorti dans deux d'entre elles ? Les médias en ont-ils trop fait ? La justice est-elle sous-dimensionnée pour instruire et juger ce type d'affaires ? Premier volet de notre série sur ces politiques dézingués par la presse et en voie de blanchiment par la justice.

Derniers commentaires

Je vous mets au défi de le prouver...
sinon tu vas avoir un procès pour diffamation.
Je fais confiance à la justice...
à mes avocats et à mes relations pour faire durer et étouffer l'affaire.

Le problème n'est pas juridique mais philologique... c'est de la sémantique et même de la sémiologie :

La réalité est une catégorie ontologique (qui concerne l'être).
La vérité est une catégorie logique et gnoséologique (qui concerne le langage et la connaissance).

Les choses sont réelles ou non... Ce scandale est réel
Ce que l'on en dit est vrai ou faux... Ça a fait pschitt ; Une histoire abracadabrantesque

vérité où es tu ?
Le mensonge est une forme de talent, alors que le respect de la vérité, va de pair avec la grossièreté et la lourdeur.
Plus le mensonge est gros, plus il passe.
Celui qui dit un mensonge ne prévoit point le travail qu'il entreprend ; car il faudra qu'il en invente mille autres pour soutenir le premier.

« Il est difficile d’accepter la vérité lorsque les mensonges étaient exactement ce que tu voulais entendre »
« Je ne suis pas fâché que tu m’ais menti. Je suis seulement contrarié qu’à partir de maintenant, je ne puisse plus te faire confiance »
« Les journaux sont les chemins de fer du mensonge. »
« J'admire comme on peut mentir en mettant la raison de son côté. »
« Un mensonge en entraîne un autre. »
« On fait parfois des efforts considérables pour souffrir d'une trahison ; et l'on y parvient. »
« La trahison est une question de dates. »
« Mieux vaut une amère vérité qu’un doux mensonge. »
« Le mensonge donne des fleurs mais pas de fruits. »
« Dans parlement, il y a parle et ment. »
« L'homme n'est que mensonge. »
« Le mensonge est la religion des esclaves et des patrons. »
En tant que lecteur également de Mediapart depuis l'affaire Woerth-Bettencourt (d'ailleurs inscrit pour suivre ses épisodes haletants mais aussi pour soutenir leur travail d'enquête présenté comme fondamental pour la démocratie et la justice dans une Sarkozie qui se permettait tout et surtout le pire) je suis en droit de me demander à quoi ont servi ces pages et ces pages virtuelles, pour du vent finalement...

Fabrice Lhomme est parti rejoindre Le Monde depuis quelques années maintenant d'où il suit toujours cette affaire, laissant à son compère Fabrice Arfi le soin de soulever d'autres lièvres bien attractifs pour les nouveaux abonnés. Dernier sujet en date, la Françafrique (c'est original ça) et le clan Bongo qui se déchire sur l'immense héritage du Vieux, entre appartements de la côte d'azur, dans le triangle d'or parisien et les beaux quartiers de Libreville.

Franchement c'est pas un peu trop tirer sur la corde ? Manquent juste quelques bonnes photos de paparazzi et Mediapart devient Média-Match !
La Haute Autorité pour la transparence de la vie publique a exprimé, mardi, un "doute sérieux" quant à "l'exhaustivité, l'exactitude et la sincérité" des déclarations du sénateur UMP Serge Dassault, "en raison notamment de l'omission d'avoirs détenus à l'étranger". Elle a transmis sa décision au parquet financier.

Oui, et alors ? Je vous entends déjà hurler, bande de chiens de meute : "Dassault escroc ! Pourriture de vendu de corrompu de politicard UMP de merde !"
Et là, je dis stop. La présomption d'innocence, vous connaissez ?
Faisons confiance à la justice de notre pays. Si Serge est coupable, il paiera. Comme les autres. Ce n'est qu'une question de temps.
Bonjour
Dans le même esprit de l'impunité des puissants, il semble que Miss Lagarde soit épargnée par la justice dans l'affaire du jugement du tribunal d'arbitrage en faveur de Tapie. Par contre son adjoint à Bercy à l'époque ne fait pas partie de la caste protégée.
Ces scandales médiatiques qui se dégonflent au tribunal
Titre une fois de plus tendancieux.
Je propose un tout autre titre : "La Justice étouffe les scandales politiques (part 1)".
Attention, ASI, vous vous présentez comme un site d'analyse des médias. Cà marque mal (comme on dit par ici) quand vous faîtes la même chose que ce que vous prétendez dénoncer chez vos confrères.
Mon point de vu est completement inverse :


Cela montre que de un :

-le droit en matiere de conflit d'interet , de traffic d'influence et de delit d'initié , est completmeent ineficace . On peu prendre la finance comme exemple : vu que le delit d'initié est interdit, on estime qu'il n'existe pas, alors que la realité c'est que si on a pas "d'inside information" , donc de reseau, donc d'influence , et donc etre un initié , on ne fait pas d'argent en finance . Ceux qui font l'argent en finance ne sont pas les meilleur previsionistes economiques , mais bien ceux qui ont la meilleur information dans l'instant


-De deux cela montre que sans Mediapart , canard enchainé et des bon journalistes, personne ne verrait a l'ouevres ce systeme ou nos dirigeant et gens de pouvoir n'ont plus aucune ethique, et n'en n'ont pas besoin, vu que la societé voit cela comme superflu et vieux jeu
Quand on voit la célérité des juges à condamner des jeunes sans preuves sur le seul témoignage d'un policier pour "outrages" par exemple, on comprend mieux la défiance croissante envers les institutions et la déliquescence de "l'esprit républicain"... ce petit monde prépare l'arrivée des barbares...
"Selon que vous serez puissant ou misérable
les jugements de cour vous rendront blanc ou noir ".
La Fontaine.
Je rappelle qu'Al Capone est tombé pour une vulgaire affaire de fraude fiscale.
Et ce sera pareil pour les affaires concernant Nicolas S.
Le problème chez Mediapart, c'est qu'ils n'ont jamais voulu admettre que si l'absence de preuves n'est certes pas la preuve de l'absence de délit, elle n'est pas non plus la preuve du contraire.
En plus, quoiqu'il prétende, Plenel a bien la moustache à Staline, et pas celle à Trosky.

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