Ces éditorialistes québecois allergiques au "printemps érable"
"Manifestation monstre", "dérive autoritaire du gouvernement", "révolution culturelle" : dans la presse française, le "printemps érable", né d'un refus par les étudiants d'une augmentation des droits d'inscription universitaires, est relaté en termes plutôt favorables envers les étudiants québécois. Pourtant, au Québec, la couverture médiatique du conflit est loin d’être aussi uniforme. Depuis des mois, certains chroniqueurs éditorialistes pestent et pointent du doigt cette génération révoltée.
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Derniers commentaires
Pourquoi il n y a pas plus d échos dans les médias francais ?
Les USA étaient en avance sur le phénomène
Orwell se retournerait dans sa tombe:
1° partie: http://video.google.fr/videoplay?docid=1866367183853579397
2° partie: http://video.google.fr/videoplay?docid=-9192160411651279381
3° partie: http://video.google.fr/videoplay?docid=1582052751814162208
depuis ce film on tourne autour du pot alors qu'il n'y a je crois rien à ajouter...
faut juste se demander comment on va arrêter ça.
Autoriserait-on faire une faute de frappe telle que "Jérôme Zemmour" par exemple ? (ce n'est qu'un exemple qui ne vise absolument pas à établir une comparaison entre ces deux personnes, bien sûr)
La couverture médiatique, en France, des manifestations française, par contre, ressemble beaucoup à celle décrite ici : "prise d'otage", "menaces sur l'économie", "minorité silencieuse"...