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Cahuzac face à la commission : le match n'a pas eu lieu
On s'attendait à un face à face, "les yeux dans les yeux". La confrontation entre Jérôme Cahuzac et les députés de la commission d'enquête parlementaire chargée de déterminer les éventuels dysfonctionnements dans cette affaire n'a pas tenu ses promesses. Et pour cause : dès que les députés entraient dans le fond du dossier, Cahuzac refusait de répondre au motif (erroné) qu'il se devait de réserver ses déclarations à l'institution judiciaire.
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Derniers commentaires
[quote=Sébastien Rochat]"Si je suis une victime, je suis victime de moi-même, et de personne d'autre", réplique Cahuzac devant les députés.
La réplique mérite d'être complétée par l'avant-dernier quatrain du poème de Baudelaire qui en explicite le titre emprunté à Térence, L'héautontimorouménos:
Je suis la plaie et le couteau !
Je suis le soufflet et la joue !
Je suis les membres et la roue,
Et la victime et le bourreau !
Ce qui impose la question: en quel sens "je" et "moi" seraient-ils le même: "Et la victime et le bourreau" ? Faut-il référer cette dualité poétiquement à Rimbaud: "Je est un autre" ou psychanalytiquement à Freud: le Surmoi, redéfini par Lacan comme "l'Être suprême en méchanceté" ? - Aux deux sans doute, en l'occurrence: en méditant la différence entre l'homme et le citoyen. Cahuzac n'est en effet qu'un cas particulier, invitant à creuser la question de l'alteridentité de l'homme et du citoyen - la question de la république, autrement dit: et non simplement de la démocratie.
La réplique mérite d'être complétée par l'avant-dernier quatrain du poème de Baudelaire qui en explicite le titre emprunté à Térence, L'héautontimorouménos:
Je suis la plaie et le couteau !
Je suis le soufflet et la joue !
Je suis les membres et la roue,
Et la victime et le bourreau !
Ce qui impose la question: en quel sens "je" et "moi" seraient-ils le même: "Et la victime et le bourreau" ? Faut-il référer cette dualité poétiquement à Rimbaud: "Je est un autre" ou psychanalytiquement à Freud: le Surmoi, redéfini par Lacan comme "l'Être suprême en méchanceté" ? - Aux deux sans doute, en l'occurrence: en méditant la différence entre l'homme et le citoyen. Cahuzac n'est en effet qu'un cas particulier, invitant à creuser la question de l'alteridentité de l'homme et du citoyen - la question de la république, autrement dit: et non simplement de la démocratie.
@ consensus 39
Je n'arrive toutefois pas à vous suivre, comme dit le ramoneur ! ( faut jamais suivre un ramoneur ) ... jusqu' au bout. Vous semblez souhaiter le retour des fraudeurs au pouvoir. Les chauves, dites-vous sont en quelque sorte contents des soins portés par monsieur cahuzac ( pardon pour les majuscules, je peux pas ) à leur problème capillaire, pour ma part, je ne serais pas si affirmatif, je considère au contraire qu'il est la cause de la chute prochaine de leurs cheveux.
Faut dire que depuis l'arrivée d'Hollande il pleut !!! surtout sur les mouillés ... Là où je pourrais vous rejoindre, c'est vis à vis de nos chefs d'entreprises qui voient bien où passe leur argent, et nous aussi, à ceux qui ne voient pas ! Il faut dire qu'il vient se substituer à celui détourné par nos différents exilés fiscaux !
Je n'arrive toutefois pas à vous suivre, comme dit le ramoneur ! ( faut jamais suivre un ramoneur ) ... jusqu' au bout. Vous semblez souhaiter le retour des fraudeurs au pouvoir. Les chauves, dites-vous sont en quelque sorte contents des soins portés par monsieur cahuzac ( pardon pour les majuscules, je peux pas ) à leur problème capillaire, pour ma part, je ne serais pas si affirmatif, je considère au contraire qu'il est la cause de la chute prochaine de leurs cheveux.
Faut dire que depuis l'arrivée d'Hollande il pleut !!! surtout sur les mouillés ... Là où je pourrais vous rejoindre, c'est vis à vis de nos chefs d'entreprises qui voient bien où passe leur argent, et nous aussi, à ceux qui ne voient pas ! Il faut dire qu'il vient se substituer à celui détourné par nos différents exilés fiscaux !
Bonjour
Quelqu'un (je crois Clémenceau) a dit un jour que pour enterrer un problème il suffit de créer une commission.
Nous y sommes en plein !!!
Quelqu'un (je crois Clémenceau) a dit un jour que pour enterrer un problème il suffit de créer une commission.
Nous y sommes en plein !!!
Honnetement je reste méchament sur ma faim concernant cette commission d'enquete.
Comme les débats sont entierement visibles sur le site de LCP , je les ai quasiment tous regardés en entier, avec Arfi et Plenel, avec M.Gaunel , avec les controleurs du trésor, etc..etc..
Or je ne vois pas bien ce qui pourra ressortir des ces auditions car ça tourne méchament en rond.
En effet à chaque fois que l'on s'aproche des vrais questions (y a t-il eu oui ou non disfonctionnement de l'etat) paf , les intervenants font appel à la sacro sainte "procédure en cours" qui leur permet d'échapper à toutes les questions génantes!
C'était vrais aujourd'hui avec Cahuzac , mais c'était vrais aussi avec la chef de cabinet , avec les inspecteurs des finances etc etc....
Bref on apprend pas grand chose et tout le monde se drappe dans son professionalisme pour dire que "non non tout c'est déroulé correctement".
Le top étant les inspecteurs qui ont posé la question aux suisses et qui ont obtenus la mauvaise réponse et qui devant la commission disent qu'ils ont trés bien fait leur travail, comme il doit être fait et circulez il n'y a rien à voir!
Alors même que la justice qui elle posait aussi la question avait obtenue de son coté la bonne réponse sur le compte Suisse de Cahuzac; or pareil impossible de savoir comment ils ont fait puisque.... il y a une procédure en cours!
Bref depuis le debut ça tourne en rond, ça ne répond a rien et je me demande bien ce que cette commission va pouvoir faire comme "recommandations"
Comme les débats sont entierement visibles sur le site de LCP , je les ai quasiment tous regardés en entier, avec Arfi et Plenel, avec M.Gaunel , avec les controleurs du trésor, etc..etc..
Or je ne vois pas bien ce qui pourra ressortir des ces auditions car ça tourne méchament en rond.
En effet à chaque fois que l'on s'aproche des vrais questions (y a t-il eu oui ou non disfonctionnement de l'etat) paf , les intervenants font appel à la sacro sainte "procédure en cours" qui leur permet d'échapper à toutes les questions génantes!
C'était vrais aujourd'hui avec Cahuzac , mais c'était vrais aussi avec la chef de cabinet , avec les inspecteurs des finances etc etc....
Bref on apprend pas grand chose et tout le monde se drappe dans son professionalisme pour dire que "non non tout c'est déroulé correctement".
Le top étant les inspecteurs qui ont posé la question aux suisses et qui ont obtenus la mauvaise réponse et qui devant la commission disent qu'ils ont trés bien fait leur travail, comme il doit être fait et circulez il n'y a rien à voir!
Alors même que la justice qui elle posait aussi la question avait obtenue de son coté la bonne réponse sur le compte Suisse de Cahuzac; or pareil impossible de savoir comment ils ont fait puisque.... il y a une procédure en cours!
Bref depuis le debut ça tourne en rond, ça ne répond a rien et je me demande bien ce que cette commission va pouvoir faire comme "recommandations"
Pourrait-on cesser de torturer un homme qui a tout au long de sa vie créé des emplois au sein de sa clinique privée , redonné de l'espoir aux chauves, occis les rides les plus tenaces de femmes de chef d'entreprise, épouses qui une fois regonflées psychologiquement et physiquement ont pu soutenir nos grands capitaines d'industrie.
Cette chasse à l'homme est symptomatique d'un pays qui n'aime pas et stigmatise la réussite de ses plus brillants représentants.
Oui Jérôme Cahuzac a entretenu des relations avec la Suisse et d'autres pays émergents mais peut-on lui reprocher d'avoir fait fructifier des revenus durement gagnés à la sueur de son front capillairement impeccable ?
Finissons-en avec ces procès de Moscou et laissons lui l'opportunité de revenir, par exemple comme ministre d'un gouvernement de Nicolas Sarkozy qui, aujourd'hui, constitue la seule alternative crédible à ce pouvoir socialo-communiste qui plonge la France dans le gouffre des déficits publics et la morosité en favorisant les parasites et les fonctionnaires depuis son arrivée au pouvoir.
Cette chasse à l'homme est symptomatique d'un pays qui n'aime pas et stigmatise la réussite de ses plus brillants représentants.
Oui Jérôme Cahuzac a entretenu des relations avec la Suisse et d'autres pays émergents mais peut-on lui reprocher d'avoir fait fructifier des revenus durement gagnés à la sueur de son front capillairement impeccable ?
Finissons-en avec ces procès de Moscou et laissons lui l'opportunité de revenir, par exemple comme ministre d'un gouvernement de Nicolas Sarkozy qui, aujourd'hui, constitue la seule alternative crédible à ce pouvoir socialo-communiste qui plonge la France dans le gouffre des déficits publics et la morosité en favorisant les parasites et les fonctionnaires depuis son arrivée au pouvoir.