Boris Johnson, premier ministre : la presse GB dans la surenchère
Boris Johnson, premier ministre ? La presse pro-Brexit s'enthousiasme et vante son "optimisme" et son "approche ensoleillée" de l'avenir. De leur côté, les médias anti-Brexit s'alarment : "Voici venir les heures les plus sombres du Brexit."
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Commentaires préférés des abonnés
hier sur France Culture, Régis Debray fustigeait les gouvernements sociaux démocrates qui en faisant des politiques de droite ont fait émerger ce genre de personnage en désespérant les peuples .
Mais il fustigeait aussi, l'absence d'auto critiqu(...)
Eh bien, on s'était pris à croire que l'humanité allait lentement mais surement vers un monde meilleur
On avait même des images de fiers lions paissant à côté de gentilles brebis comme sur les couvertures des magazines des Témoins de Jehovah
Et puis on(...)
Derniers commentaires
"Quitter l'UE n'équivaut pas aux dommages causés à notre économie en la confiant à des marxistes déclarés."
Ah bon ? Ça existe encore ? Où ça, où ça ?
...
D'accord, mon commentaire est inutile et hors-sujet. Mais franchement, l'arrivée au pouvoir de BoJo le clown... brrr, je ne veux pas y penser.
D'autant que nous avons nos propres blondasses, la tante et la nièce, dont la géniale politique de not'président rend l'arrivée au pouvoir plus certaine de jour en jour.
Pauvres amis Britanniques...
... et bientôt, pauvres de nous...
hier sur France Culture, Régis Debray fustigeait les gouvernements sociaux démocrates qui en faisant des politiques de droite ont fait émerger ce genre de personnage en désespérant les peuples .
Mais il fustigeait aussi, l'absence d'auto critique dont ils font preuve aujourd'hui, l'absence de responsabilité qu'ils refusent de prendre face à la situation qu'ils ont engendrée; et de nous faire à nouveau le coup du : c'est eux ( les fascistes ) ou nous ( les banquiers )
Bonne émission à écouter dans la matinale : extraits
Qu'on ne fasse pas le coup du fascisme, parce qu'après on vous demande de voter banquier, mais c'est le banquier qui fait le fascisme ! Régis Debray
La gauche de gouvernement a perdu ses repères, elle a oublié la lutte des classes, elle a oublié qu'il y a des pauvres et des riches, elle a oublié qu'une Europe de comptables a des effets fâcheux, la loi du fric ne fait qu'aggraver le mal. Régis Debray
Thank you for this " review of the press"
Eh bien, on s'était pris à croire que l'humanité allait lentement mais surement vers un monde meilleur
On avait même des images de fiers lions paissant à côté de gentilles brebis comme sur les couvertures des magazines des Témoins de Jehovah
Et puis on se réveille chaque jour avec le pire qui côtoie le pire : un Trump aux mimiques de Mussolini, lèvres affaissées aux encornures, menton protubérant d'enfant boudeur, Boris Johnson, espèce de caniche aussi imprévisible qu'un caniche sortant de l'eau dont on craint qu'il secoue ses poils à tout moment, caricature de Churchill mais avec un dos voûté comme Ebenezer Scrooge, réplique de Margaret Thatcher parlant aussi faussement "hors de sa culture" qu'elle
Tout avait commencé avec Berlusconi. Depuis les fous ne se sentent plus d'ailes et détruisent volontairement les dernières dignités qui restaient associées à l'image de la démocratie
Alors on espère mais on sait que c'est en vain : impeachment (mise en accusation) à l'Ouest, aux USA, autonomie au Nord avec l’Écosse... toutes choses irréelles
Le réchauffement climatique, l'apocalypse, Nostradamus avait tout prévu :
Le jour où viendront les trois tignasses folles
une d’ébène de l'Orient, une blondasse et une orange d’Occident...