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Binge drinking : les médias boivent les troubles chiffres de Bachelot

"Binge drinking", "ivresse aiguë", "beuverie expresse", "boisson-défonce" : les médias ont inventé toutes sortes de termes pour qualifier la pratique qui consiste à boire de très grandes quantités d'alcool pour se rendre ivre.

Derniers commentaires

Bien sûr que l'alcool consommé sans modération est dangereux, tout comme les associations de substances, le shit, la cocaïne, le tabac, etc...
Mais est -ce vraiment une raison pour balancer des interdits à tout va ??
Tous ces gouvernants nous parlent sans arrêt de pédagogie (par exemple si les "réformes" sont critiquées, c'est par manque de pédagogie alors vite on nous assène un plan com à 4,3 millions d'euros)
J'aimerai qu'ils fassent preuve de cette pédagogie et également d'un peu de psychologie de temps en temps. A l'adolescence, les interdits sont faits pour être braver, alors en mettre ne sert à rien. Par contre, informer des dangers, rendre responsable de ses actes, amener un jeune à réfléchir sur les causes d’une consommation excessive est bien plus efficace.
On entre dans l’ère d’une société où l’on voudrait nous faire croire que le risque zéro existe, mais, au risque d’en décevoir certains, cela n’existe pas.
Ce qui me gène dans tous ces interdits, c’est qu’ils amènent peu à peu l’individu à être irresponsable. La société en quelque sorte se dédouane, ainsi un jeune qui se sera procuré de l’alcool malgré l’interdit et meurt de coma éthylique on estimera que ce sera de sa faute et le problème pourra être évacué. Et puis, juste une lapalissade, ces jeunes deviendront des adultes et là ils pourront aller se poltchronner au bistrot comme ils le veulent ?!!
Car si ce phénomène existe chez les jeunes, l'alcool est également un problème chez les adultes : Selon l'étude "Les problèmes d'alcool en France : quelles sont les populations à risque" de l'Institut de recherche et documentation en économie de la santé (Irdes), près d'un homme sur deux âgés entre 25 et 64 ans est un consommateur à risque. La proportion chez les femmes atteint plus d'une sur dix… De fait, on constate que les plus fortes proportions de personnes ne consommant pas d'alcool se situent dans les tranches d'âge "moins de 25 ans" et "65 ans et plus" (Source www.irdes.fr)
En un mot, je crois plus à la pédagogie et à la réflexion, qu’à l’interdiction. Alors au lieu d’interdire, il faudrait peut-être réfléchir aux autres moyens de lutter contre le problème "Binge drinking", comme par exemple augmenter les lieux d’expression, permettre l’accès aux loisirs et à la culture pour tous, donner les moyens aux écoles, collèges et lycées d’avoir un lieu et une oreille toujours ouverte (et c’est plutôt mal parti avec les suppressions de postes dans l’éduc nat), augmenter les subventions des associations qui permettent le maintien du lien social et je suis certaine qu’il y a encore plein d’autres pistes en dehors de ce clip proposé par bachelot tellement caricatural (on y trouve tout en même temps : viol, coma éthylique, noyade, etc…)
le plus drôle dans tout cela, c est qu'après nous avoir affolé avec les chiffres exponentielles relatifs aux accidents de voitures dû au binge drinking bachelot nous promet une loi qui interdiras la vente d'alcool aux moins de 18 ans. expliquez moi, pour conduire tout seul sa voiture ou bien avec des potes il faut bien en france avoir toujours 18 ans ,non? (vu et entendu comme cela sur les infos des grandes chaines le soir)
Le plus souvent, la lutte contre l'alcoolisme, et encore plus l'alcoolisme chez les jeunes, se limite à des trompes-l'oeil. Des mesurettes sans effet voire parfois contre-productives mais qui servent à prouver que l'on fait quelque chose, et à éloigner l'alcoolisme de la place publique. Par exemple, les organisations étudiantes font face à de plus en plus de résistances de la part des administrations (université, mairie, préfecture) lors de l'organisation de soirées. Dans mon université, à chaque fois que l'administration a tenté d'interdire ou de limiter la consommation pendant les soirées, un grand nombre d'étudiants (plus qu'en temps normal) arrivaient aux soirées déjà complètement ivres.
Pendant un semestre, le bar géré par des étudiants dans les locaux de l'université n'était plus autorisé à vendre de l'alcool (pour limiter à la fois l'alcoolisme et les nuisances sonores)... Les étudiants se réunissaient devant le bar, dehors, avec leur alcool. Jamais les voisins n'ont eu autant à se plaindre de nous que pendant cette période. Mais l'important dans l'histoire, c'était que l'administration pouvait dire qu'ils avaient fait ce qu'ils pouvaient, et que maintenant ce n'était plus de leur ressort, puisque ça ne se passait plus dans l'université (mais juste devant).

Quand on propose d'interdire les happy hours qui inciteraient à la consommation excessive (tiens, qu'est-ce qu'elle est devenue cette proposition ?), on oublie les alcools de supermarchés, pourtant bien moins chers. Mais voilà, les gens qui picolent chez eux, ils dérangent moins, car on les voit moins. Alors picolons si ça nous chante, tout ce qu'on nous demande, c'est de s'en cacher !

Et ceux qui tomberont dans le coma chez eux, ils ne se retrouveront pas aux urgences...
Dans un pays qui a l'alcoolisme inscrit au plus profond de ses gènes, toute mesure tendant à réduire la consommation d'alcool suscite réserves et sceptimisme.
Les mesures annoncées ne sont peut-être que du vent reposant sur des statiques fauss(é)es. Mais si elles peuvent mettre dans le tête de quelques futurs adultes que l'alcool présente des risques, elles n'auront pas été vaines. Il sera toujours temps plus tard de dénoncer leur inefficacité.
PS: les vidéos, c'est sûr que c'est pas du bidon ?
Il y a un hic, dites-vous ? ;-)
Je vais aller à contre courant de la majorité des posts mais je pense en effet que la consommation d'alcool est en augmentation chez les jeune. La consommation globale d'alcool diminue chez l'ensemble des français (moins de rouge à chaque repas) mais il est indéniable que les d'adolescents boivent de plus en plus tôt des alcools de plus en plus forts (j'ai lu il y a quelques temps une étude sur le sujet (peut-être dans Marianne ?). Et j''ai pu malheureusement l'observer autour de moi. On ne doit pas prendre ce sujet à la lègère, et critiquer par principe tous les projets et actions du gouvernement (il y a déjà suffisamment matière).
Ainsi donc, les "jeunes" deviendraient tous alcooliques, la situation s'aggraverait d'année en année, etc. (Si ça se trouve c'est peut-être même de la faute à 68.) Les générations précédentes ne buvaient-elles pas ? Quand on lit la "Guerre des boutons", on se dit même qu'il y a eu de gros progrès, il est aujourd'hui peu courant que les enfants prennent leur première cuite à 6-8 ans... Bref, je ne crois pas que le phénomène soit vraiment beaucoup plus important qu'avant, mais simplement que le sujet, pour je ne sais quelles raisons, se retrouve à l'agenda médiatique et politique. Après tout, pourquoi pas ? Ca nous change du Tour de France "enfin propre" (marronnier qui refleurit chaque année), du dernier album de Carla, des bouchons dans la vallée du Rhône et de la présidence française de l'UE.

En tout cas, si elles passent, je ne sais pas si les mesures annoncées auront un réel effet. Plus de happy hour ou d'open bar pour les étudiants ? Il suffit d'aller acheter son alcool en magasin (les étudiants sont majeurs), le problème sera transféré dans la sphère privée, mais ne sera pas réglé. De plus, les happy hour se déroulent généralement entre 18h et 21h or, il est rare de voir des gens ivre à cet horaire. Pour l'interdiction de vente aux mineurs, encore faudrait-il contrôler ! Des interdictions existent déjà (il suffit de regarder la petite pancarte aux caisse des supermarchés), mais ne sont pas systématiquement appliquées et les services de l'Etat ne font aucun contrôle. Sans compter que je suis sûr que les mineurs trouveront comment contourner l'obstacle.

Mais bon, il y a des chances que le sujet passe de mode, et que les projets soient enterrés, surtout que les vacances des parlementaires et du gouvernement approchent. Surtout que la présidence et le gouvernement nous ont habitué au brassage d'air médiatique suivit de peu d'effets. Il faudrait mieux chercher à comprendre pourquoi la jeunesse se soûle, se serait plus productif, mais ça ne donnerait pas l'impression que le gouvernement "agit".

En tout cas, je vois de bonne raisons d'aller se prendre une cuite quand on est jeune : échec scolaire, taux de chômage au sortir des études effarant, salaires faibles, allongement de la durée du temps de travail, précarité de plus en plus grande, hausse du coût de la vie, programmes télé débiles, président de la République insupportable, été pourri, nouveau disque de Carla Bruni, équipe de France de foot de plus en plus mauvaise,...
S'il y avait une raison cachée, ce serait peut-être de justifier les descentes musclées sur les jeunes...comme vos enfants en ont peut-être été témoins.
ex : pour deux types venus de l'extérieur, éméchés extrêmement pénibles et agressifs qui pourrissent une fête étudiante, on voit arriver quasiment des nidjas, style commandos !
(a ce propos je n'ai pas encore compris pourquoi le grand chef de la police de l'époque n'a pas testé lui-même les charmants appareils électriques "neutraliseurs" mis alors en service, comme nous l'avons vu faire à ses subordonnés de l'époque).
OU bien de détourner notre attention de la création du fichier Edvige, merveilleuse généralisation informatique et systématique des bon vieux fichages des RG, et ce à partir de 14 ans et de cette transformation pas très appétissante de la constitution, avec la complicité de gens "de gauche" comme Lang et autres joyeux lurons...
et moi ça me fait penser à un calcul d'un cadre collègue de mon père : l'amendement qui plafonne à 235 le nombres de jours travaillés par an pour un cadre en l'absence de négociation dans sa branche ou son entreprise...
Alors reprenons : 365 jours par an, 52 semaines donc 104 jours de week-end non travaillés, 5 semaines de congés payés soit 25 jours de congé légaux.
et devinez combien fait 365 - 104 -25? 236!
Soit 235, +1.
à comprendre "qu'en l'absence de négociation" les cadres auront 1 jour pour regrouper, Noël, la St Sylvestre, le Lundi de Paques, le 14 juillet et le 15 aout (et j'en passe) ainsi que tous les jours cadres qui les dispense de se conformer à 35h de travail par semaine (parce que les cadres, ça travaille au forfait, le forfait s'effectuant sans prendre de RTT)

nous avons donc un problème flagrant de mathématiques, qui touche non seulement les députés, sénateurs et consoeurs, mais aussi les journalistes, et qui permet aux absurdités de se dire par flemme de faire des multiplications et des additions.
(bien sûr, le retour au fondamentaux pour la primaire, Sarko l'a voulu Sarko l'a fait, plus que 20 ans et on aura des journalistes capable d'armer leur esprit critiques d'une calculatrice)

Au delà de cette malheureuse absence d'esprit critique et cette incapacité à faire le lien entre un chiffre et sa réalité, je voudrais poser deux questions :
à quoi sert une gauche qui n'hurle pas contre ça, et où sont ses députés quand l'UMP glisse des amendements ignobles comme celui-ci ?
quelle stratégie Sarkozienne se cache derrière cet amendement absurde ? quelqu'un pour anticiper et déjouer sa manigance ??
On parle d'une augmentation de 50%, et les gens s'affolent....
Mais 50 % de combien ? Je ferai remarquer que 50% est une quantite relative.
Passer de 2 a 3 cas d'hospitalisation, c'est une augmentation de 50%. Mais pas de quoi s'affoler.
Passer de 200 000 a 300 000, c'est aussi 50% d'augmentation, mais pas dans les memes proportions !

Ils est donc bon de s'interroger sur l'origine de ces 50% massivement repris dans les medias, mais encore une fois, il manque le fond de la question, combien cela represente-t-il en absolue !? Mais non, on prefere nous marteler de nombres qui font peur, mais que n'ont aucun sens seul.
et pendant que Me BACHELOT brasse du vent et tend l'appât auquel s'accrochent avec avidité les JT. 13H, 20H, ou 23H ils se sont tous jetés dessus = VIVIE l'ETE............. je disais que pendant ce temps là, Me BACHELOT continue à fermer des lits dans les hôppitaux, à sortir plans sur plans de restructuration et supprimer des postes, à ne pas payer les heures supp. du personnel hospitalier (alors qu'elle avait juré ses grands dieux que l'argent est là................. mais où mais où ?????????????), qu'elle projette d'arrêter tout remboursement d'homéopathie acupuncture et autres médecines préventives (mais là elle a toute la corporation des généralistes avec elle car quelle perte d'argent pour eux !!!!!!!), etc..... et tout cela en douce !!!
le monde de la santé est par terre mais les média suivent la ministre et se gorgent de l'annonce des quelques ado. qui se paient des cuites le samedi soir............................... et qui continueront de mourir de coma éthylique le samedi soir quoi qu'en fasse la ministre (sauf si elle leur améliore leur quotidien) !
par contre elle pourrait améliorer les conditions de vie hospitalière des malades qui ont envie de guérir : mais ça elle s'en tape ! budget budget !!!!!!!!!!!!!!! et avec la complicité des média...............

p.s. : vu la pluie qui tombe elle peut dormir tranquille = pas de canicule cette année................... mais qui sait : une petite épidémie d'entérocoque peut-être... pour réveiller les consciences ???????????....................................
On brasse encore du vent.
L'alcool fort (celui dont on parle) est déjà interdit à la vente.
Avant 18 ans on a tout juste droit à un "Binge drinking" au cidre ou à la bière...

Le phénomène est sociétal et je ne pense pas qu'une loi de plus viendra changer la donne. L'interdiction n'a jamais entravé la consommation (cf. les USA).

Pour finir, certains politiques devraient s'en prendre (un ou deux verres) avant de dire des conneries. Au moins..., ils seraient drôles.

Anthony [ blog à part ]
Je ne sais pas d'où ces chiffres viennent vraiment, mais ce que je sais c'est que feu la Haute Autorité des études d'alcoologie qui officiait sur ces matières il y a plus de dix ans, avait déjà sorti de telles études qui montraient l'augmentation de ce type d'alcoolisation chez les jeunes.

Cette info est un vieux coucou, on s'en sert aujourd'hui, pourquoi pas avant ?

Peut-être parce qu'on a besoin de redorer le blason, de montrer que la politique de ce ministère n'est pas que l'enterrement de première classe de notre santé publique.
Alors, vite, vite un hochet.

NB : en passant, c'est toute la France à qui il faut apprendre à ne plus biberonner, parce c'est un sport national, cette chose-là.

http://anthropia.blogg.org
Lobby? je sais pas trop.
3 hypothèses.
La première ça permet de faire croire qu'ils travaillent à moindre effort. On va chercher un problème ailleurs, dans un autre pays, on utilise les reportages sur cet autre pays. Ensuite y'a plus qu'à tenter de montrer que la situation ici est la même et à appliquer les mêmes solutions. Pratique, pas la peine d'avoir à s'interresser de trop près à ce qui ce passe en France. Franchement ils n'ont pas l'air de s'être trop foulés pour leurs enquêtes. Et si au passage ça peut éviter aux masse média de trop avoir à se fouler...
Deuxième hypothèse, encore un problème du à la jeunesse. Ca aussi c'est bien pratique. Ca permet ensuite de nous faire croire qu'il y a bien une "classe sociale" de jeunes, qu'ils sont irresponsables et qu'au finale la société dans laquelle ils ont grandi est responsable de cet état puisque leurs ainés sont "tellement" plus responsables. Recréons donc une société sur d'anciennes formules. Encore une fois pas la peine d'analyser sérieusement la situation présente. Bien réac tout ça. Surtout si ça peut rassurer les générations plus anciennes qu'ils sont bien supérieure à cette jeunesse c'est tout bénéf.
Dernière hypothèse, très utlile pour infantiliser tout le reste de la société. parceque s'ils légifèrent dessus, y'a encore des chances que ce soit de nouvelles interdictions pour tous. Y'a pas de raison d'interdire ou de controler seulement les djeunes. Ca colle bien avec le ton infantilisant de tous ces gens. Eux adultes responsables s'adressent à nous pauvres immatures irresponsables et doivent à contre coeur nous infliger d'autres interdictions et autres contrôles pour qu'on arrive enfin au bonheur.


En résumé, de grosses feignasses prétentieuse qui condescendent à s'occuper de nous, armées d'une bonne grosse règle en bois. Par contre va falloir qu'ils se décident à être plus rigoureux pour nous faire avaler ces couleuvres. Merci donc à Justine Brabant, parceque sinon ça nous faisait une étude "scientifique" de plus à l'appuis de leur fénéantise.
Le Monde avance les mêmes chiffres dans un article intitulé "Le gouvernement envisage l'interdiction de la vente d'alcool aux mineurs".
Merci le Monde, ils ne savent peut être pas que cela est déjà interdit, ça c'est du journalisme Total ! Avec un gouvernement totalement opaque, qui planque ses sources, les média qui ne vérifie plus rien et dit des énormités, la question à se poser est : à qui profite le crime ? Des étudiants qui se torchent : c'est vrai depuis que les universités existent, what else ? Pourquoi tuer les happy hour ? Pourquoi re-interdire ce qui l'est déjà ? Pourquoi interdire la publicité de boisson alcoolisé sur internet (le truc le plus stupide jamais entendu) ? Pourquoi cette campagne télévisuel avec des reportages qui-font-peur sauce m6, sur ces sales étudiants qui font la fête ? Une chose m'échappe, je ne vois pas vraiment ou sont les intérêts - mise à part peut être celui du fumigène, ou encore celui de la gesticulation pour pour parler "d'action du gouvernement", faute de réelles idées neuves et esquiver ou planquer les choses importante, genre la sécu en ce qui concerne ce ministère...
je me rappelle ma première réaction lorsque j'ai vu ces reportages aux jités : "j'espère que leurs chiffres sont bon sinon ça va être sacrement contre productif". j'ai tout de suite pensé aux effets sur des ados désoeuvrés cette été qui ne boivent pas encore d'alcool, la tentation doit être forte de s'y mettre pour faire soi disant comme tout le monde ...
La lecture de cette article d'asi montre une fois de plus l'utilité de votre site.
Tout cela ça me laisse un goût amère, les vrais chiffres des comas éthyliques des ados risquent de ne pas s'améliorer.
pour ceux qui se posent des questions comme Djo :
"Question : Si les chiffres sont faux, ou non représentatifs de la réalité, pourquoi faire cela ? Quel Lobby, quel intérêt ? Un effet a toujours une cause, non ? Or dans le cas présent, je ne le vois pas"

je pense que l'intérêt est simplement pour la ministre de la Santé Roselyne Bachelot de se faire un plan com à bon compte pour faire oublié toutes les boulettes passées ( entre autre ).
Le tabagisme a été combattu par une massive augmentation des droits sur le tabac. Pourquoi ne fait-on pas la même chose pour l'alcool? Le lobby des alcooliers est-il donc si puissant ?
Je voudrais tout d'abord vous féliciter pour cet excellent article qui démontre une fois de plus la nécessité de votre travail.
De plus, comme Djo la souligné, quel est l'intérêt ??
Question : Si les chiffres sont faux, ou non représentatifs de la réalité, pourquoi faire cela ? Quel Lobby, quel intérêt ? Un effet a toujours une cause, non ? Or dans le cas présent, je ne le vois pas
Je prends le temps de venir ici sur le forum pour féliciter la journaliste pour son papier : c'est une bien belle enquête, rondement menée.
Bravo et merci à Justine.
Une fois de plus vous montrez bien ce qu est devenu le métier de journaliste : reprendre les dossiers élaborés par les services de communication des ministères ou des grandes sociétés et autres lobbys , il y aura d ailleurs bientot plus de journalistes formes par les écoles dans les services de comm des différents ministères ou autres régions municipalités ou entreprises que dans les rédactions .
Justine Brabant vient tout juste d'avoir son [s]rond de serviette[/s] nom officialisé dans les articles d'@si et sur le forum on continue à faire croire que ses articles sont signés "la rédaction" (alors qu'ils sont bien signés JB lorsqu'on les lit sur le site). Kezako?

Sur le fond: les médias traditionnels regorgent d'articles incriminant l'internet comme le lieu des rumeurs, des informations erronées, d'une absence de vérification des sources. Cet article montre le parfait contre-exemple: les médias traditionnels sont aussi le lieu de ce genre de bévues, qui heureusement ne sont pas l'apanage des nouveaux médias. Ce chiffre balancé par les services de com du ministère n'a pas été vérifié, sauf par @si... Merci.

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