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Bebelo-attristés et bebelo-indifférents

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"Malheureux le pays qui a besoin de héros." Bertolt Brecht

C'est étrange ces morts de personnalités déjà âgées, voire très âgées, qui quelque part sont déjà morts artistiquement parlant. La tragédie, c'est quand l'artiste nous quitte en pleine force de l'âge, alors que ses fans attendaient un nouveau film, u(...)

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Remercions le ciel (if any) d'avoir ainsi hérité d'un président omniscient, omniprésent, efficace, évolutif, perfo(...)

Derniers commentaires

il y a celui a qui on rend hommage , et ceux qui rendent hommage .Et pour une fois je vais citer Charlie " c'est dur d'être aimé par des cons " C'est quoi cette société où l'on rend hommage a un acteur ?

Belmondo faisait ses cascades lui-même.  C'est pas Saraht Bernhardt qui pourrait en dire autant.

Vous me direz : "Elle était handicapée". Ce à quoi je réponds : "Pour se suspendre sous un hélicoptère, on n'a pas besoin de ses deux jambes".

Quant à Louis Jouvet, lui, il n'a aucune excuse.

Malgré son passé de cégétiste, je suis définitivement plus Omar que Bebel.

J'ai accueilli sa mort avec beaucoup d'émotion, non pas seulement pour ses qualités d'acteurs, mais aussi car il incarnait avec beaucoup d'autres une grande période du cinéma français et plus généralement européen, qui était, et désolé si ça sonne réac facho que-sais-je mais c'est factuel, quand même un exemple et un modèle à suivre pour énormément de grands cinéastes, qu'ils soient Américains, Japonais ou Honk-Kongais... Bref l'époque où le cinéma français populaire, puisque Belmondo l'est avant tout, un cinéma de grande qualité, perfectionniste, audacieux, que ce soit ses comédies ou ses films noirs...


Y'a pas de mal à regretter une époque où on respectait un minimum le spectateur moyen... 



Mon Bébel, il m'avait "saisie", adolescente, dans "Léo Morin prêtre"... après, il m'a énervée... 

Je n'en reviens pas que tout soit devenue maintenant, objet de récupération... de Zemmour à... l'occupant de l'Elysée... J'ai entendu que c'était l'Elysée qui pilotait la cérémonie d'hommage à Belmondo... Mais bon sang, on a une Ministre de la Culture, richement payée pour... ne pas aider les cinémas, désertés par les anti-Pass (en tout cas moitié moins occupés qu'avant le Pass) ! Eh bien non, l'autre petit prétentieux en campagne récupère lui aussi le Bébel des uns et des autres mort !

Je supporte de + en + difficilement ces "gens se croyant les propriétaires des cerveaux des Français"... Comment les éliminer, tous... de gauche à droite ? Y en a-t-il un de sincère parmi eux ? Bah, non évidemment ! Et qui accorde du crédit à ces récupérateurs ? Boh, pas grand monde à mon avis... Nous sommes encore et toujours dans le pathos ! J'en ai marre de ce spectacle de merde qu'ils nous imposent (car je le fuis... et il me revient par votre intermédiaire, Daniel)... Va-t-il falloir que je cesse de vous lire pour ne plus avoir ce goût amer dans la bouche ?

Bon ! Bébel c'était toute une époque, bien lointaine, mais passionnante.


Je pense que la mort de Carrie Fischer, à jamais la princesse Leia, la combattante de Star Wars qui jamais n'accepta la défaite, m'a beaucoup plus affectée.
Parce qu'après tout, elle était Leia, et à jamais, parce qu'aucun autre rôle n'a brouillé notre vision d'elle.

L'incarnation parfaite...


Bébel était un mercenaire...



Les Invalides pour Belmondo....


Delon est entrain  de répéter pour le Panthéon !

Au fait, Theodorakis est mort.

Les polémiques sur les hommages quand une star meurt, c'est une grande tradition nationale. 

Son sobriquet de "Bébel" parait étrange si l'on songe à l'mage de costaud-macho curturiste à gros biceps qu'il s'est forgée.

Quoique... Si on songe au timbre de sa voix qui rappelle le chant de la brebis ...

La disparition de Jean-Paul Belmondo m'a ému. Il m'a accompagné, bien sûr de loin, pendant 60 ans de ma vie.

.

L'occasion d'une pensée aux autres grands acteurs récemment disparus (je ne parle ici que des hommes) et qui me manquent eux  aussi: Blier, Galabru, Marielle, Noiret, Piccoli, De Funès, Serrault, Carmet, Rochefort... et d'autres encore.

en regardant les photos des journaux representant un Belmondo d' il y a 50 ans pour la plupart..; j' ai relu l' acteur d ' Harcourt  dans les mythologies de Roland Barthes .....

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Merci, pour une fois, de penser à nous, toutes et tous ceux qui n'avons rien à foutre des morts de telle ou tel relique décatie. Que ce soit Johnny, Belmondo ou tous les autres, pourquoi je devrais m'attrister de la mort d'un inconnu ? Pourquoi cette injonction à trouver immédiatement mille qualités (qu'ils avaient peut-être, là n'est pas la question) à n'importe quel connard dont le hasard, la fortune ou la classe sociale a imposé la gueule à la téloche ?


Je me suis fait traiter d'inculte il y a quelques mois dans les commentaires d'une chronique précédente, parce que je découvrais un quelconque acteur avec sa mort. Ravi de voir que cette fois notre indifférence est ramenée à sa banale normalité.

Belmondo ? Un acteur médiocre.

Il l'a compris assez vite d'ailleurs. Après avoir contribué à gâcher des films qui auraient pu être de bons films, tels que Stavisky et La Sirène du Mississipi (qui ont été des flops, le public de Resnais et de Truffaut ne s'y étant pas trompé), il a entamé une carrière pépère en faisant du Belmondo dans des films où on lui demandait de faire du Belmondo.

La presse française et le gouvernement bébêlent en choeur.....

C'est étrange ces morts de personnalités déjà âgées, voire très âgées, qui quelque part sont déjà morts artistiquement parlant. La tragédie, c'est quand l'artiste nous quitte en pleine force de l'âge, alors que ses fans attendaient un nouveau film, un nouvel album, etc. (ex : le club des 27, Balavoine, Coluche, Desproges, voire Eastwood qui a 90 ans continu à sortir des films.)


En revanche l'œuvre de Belmondo, qui ne tourne plus depuis longtemps, s'est  comme séparée de sa personne physique. Bébel passe à la télé très régulièrement. Le fait que son cœur ait cessé de battre ne change rien pour nous. Le manque au quotidien concerne sa famille, ses proches, mais pas nous. Rien de triste pour moi. Le singe en hiver est toujours et sera toujours là.



Adieu Bebel je t'aimais bien.

Je ne comprends pas bien cette nostalgie des droitards, on a des acteurs merveilleux aujourd'hui (et des actrices aussi, mais ce n'est vraisemblablement pas le sujet), on ne va pas tous les citer, mais entre Omar Sy, François Civil ou Pierre Niney qui, comme Bebel réussissent autant dans la comédie que dans l'action que dans le drame, je ne vois pas quoi regretter, si ce n'est peut-être un certain virilisme qui n'aura pourtant pas attendu OSS 117 pour s'autoparodier, notamment dans le Magnifique ou James Bond lui-même que ce soit dans les Diamants sont éternels ou la période Roger Moore...  Bref, la tristesse, bien sûr, les regrets, pas sûr.

On attend toujours de Niney, de Sy ou de Cluzet des chefs-d'œuvre... Vous me direz que ce n'est pas de leur faute si aucun réalisateur ne peut décemment les diriger et les filmer ; c'est totalement vrai, mais disons que Bebel à moins de difficulté à briller dans des films fragiles que les sus-mentionnées.


Maintenant est-ce que le cinéma français populaire peut encore fournir des chefs d'œuvre... Suffit de voir les Top 10 des 30 dernières années... 

Ça dépend de ce qu'on appelle chef-d’œuvre. Les trois ont participé à d'excellents films, après le chef-d’œuvre, c'est le truc intemporel, mais au rythme de sortie des films (même avant le covid) et les modes de production actuels qui évitent la prise de risque, c'est sûr que d'excellents films avec des budgets ambitieux, ça arrive peut-être moins souvent qu'à cette époque précisément où peut-être un film avait moins de concurrence et pouvait à la fois marquer les esprits des spectateurs, être reconnu par la critique et la profession sur le moment et pas une génération après (bien que je ne sois pas sûr que c'était le cas des films de Belmondo), bref. Omar Sy a fait Intouchables (19M d'entrées je crois, c'est assez populaire je pense, après je suis pas fan perso), François Civil a récemment sorti Bac Nord, mais y'a aussi le Chant du Loup et Niney ben il a pas mal de bonnes comédies à son actif, il ne participe pas au meilleur OSS malheureusement pour lui, mais La Promesse de l'aube est vraiment excellent. Bon, j’aurais pu citer aussi Pïo Marmai qui a quantité d'excellents films derrière lui et pareil dans plusieurs genres. Et ça, c'est un peu (re)nouveau dans le cinéma français je trouve, y'a de moins en moins les drames et le reste, ce qu'on voit d'ailleurs avec la palme d'or cette année, mais c'est un petit film. Bref, les barrières tombent, le chef-d’œuvre est peut-être sur une étagère à attendre son créneau pour sortir.

Il me semble que les principaux films de Belmondo sont entrés dans l'histoire des formes, de l'esthétique et du cinéma pour des raisons tout à fait claires (Nouvelle Vague, style de jeu et de carrure assez inédit pour l'époque, cascades, collaborations avec de grands auteurs de cinéma des années 60 surtout).

Je ne crois pas me tromper en disant que Intouchables, malgré son score de 19M, ne va jamais rentrer dans l'histoire ni des formes d'art, ni du cinéma, ni de quoi que ce soit, mise à part peut-être dans les notes de bas de pages de quelques papiers de sociologues qui vont réétudier pour la énième fois la représentation du conflit de classe au cinéma, du jeune de cité ect ect nous connaissons parfaitement la chanson (puisque ce genre de film ne sert qu'à ça au final).


A ce compte-là on peut citer Boon qui a pulvérisé le box office avec ses 20M pour les Chtiis... Personne de censé ne va défendre son travail ou sa "contribution" au cinéma contemporain. Est-ce qu'Intouchable ou les Chtiis ou Qu'est ce qu'on a fait au Bon Dieu, 3 gros cartons, vont être revus dans 20 ans comme best-of de la comédie française des années 2010 qui peuvent trôner sur les étagères aux côtés de Rabbi Jacob (autre grand succès) ou La Grande Vadrouille ? Absolument pas, on dira que ces films sont le témoignage du climat politique de leur époque, à savoir un rapport entre les personnages qui pue le rance, la démagogie, le mépris, la beauferie, le "populisme" très bas de plafond, sans aucun recul sur le sujet, ni auteur, ni volonté de cadrer les rapports politiques au sein du peuple français intelligemment, ni quoi que ce soit... Soit le total inverse de la tendance de la grande comédie populaire française des années 60 et début 70.

Bac Nord que vous évoquez entre selon moi parfaitement dans ce modèle ; jamais ce film n'existera en tant que tel, c'est à dire en tant qu'objet purement filmique, puisqu'il ne propose strictement rien de neuf ou de stimulant politiquement, son souvenir ne sera perpétué qu'à cause du petit score rondouillet qu'il est en train de se faire grâce à une polémique à 7 mois des présidentielles. Le personnage de Civil est loin d'être la priorité du film, qui se concentre avant tout sur la crise d'égo de Lellouche.



Je ne vois pas très bien la cause de votre rejet du drame... Le cinéma français (et européen généralement) s'est bâti sur l'intime, il regorge de drames qui ont fait son prestige, le problème n'est donc pas le genre. On peut aussi au contraire faire de l'horreur, qui n'est pas un genre de prédilection français, qui peut être totalement nul. Le problème est l'absence de gens qui ont des choses à montrer, des auteurs quoi.

Hé bé. Beaucoup d'interprétation dans cette réponse. Alors, j'ai précisé qu'Intouchable c'était pas ma came à peu près pour les raisons que vous évoquez, mais il a eu un accueil public et critique assez honorable, ce qui est rare, et ça me paraît assez injuste de le comparer au travail indigent de Dany Boon et je ne me permettrais pas de dire du mal des Tuches ou autres Clavier parce que je ne les ai pas vus parce que... Je me doute de ce qu'il y a dedans et ça me parle pas, à peu près encore pour les raisons que vous évoquez. 

Ensuite, je ne dis pas que c'est un chef-d’œuvre, je pense pas que les Toledano / Nakache révolutionnent quoique ce soit, leur cinéma est assez classique et souvent maladroit, voire pire. Mais j'ai commencé par me demander ce qu'était un chef-d’œuvre. Difficile de dire ce qui traversera les décennies, tous les films de ces décennies nouvelle vague, nouvel Hollywood, tout ça, tout ça, effectivement fertiles en créativité ont plutôt été considérés comme des gros navets avant de devenir effectivement des films qui marquent l'histoire courte du cinéma. De plus, bon... L'art ça reste subjectif au bout d'un moment. D'où le Intouchable, il me semble qu'un chef-d’œuvre doit être un minimum populaire, sinon ben j'ai vu beaucoup de chef-d’œuvre sur la décennie qui vient de s'écouler, en France, aux US et en Asie, mais plutôt des films avec des budgets de petits films.

En gros, je comprends votre déception, je la partage. À part peut-être un ou deux, la plupart des excellents films sortis cette décennie, personne ne les a vus. À l'inverse les films populaires sont paresseux, n'inventent rien ou pas grand-chose voire se vantent d'avoir tout fait comme avant (oui JJ Abrams, je pense à toi) et vont même jusqu'à effacer la moindre trace de l'auteur pour des séries lisses et sans âme.


Bref, je ne sais pas quelle est votre définition du chef-d’œuvre, mais je pense effectivement que ce n'est pas la bonne époque pour qu'un chef-d’œuvre émerge, mais ça ne veut pas dire qu'il n'y a rien eu de neuf dans cette décennie ou rien d'excellent. Julia Ducourneau, Damien Chazelle, Nolan quand il écrit pas tout seul, les soeurs Wachowski, Bong Joon Ho, Wong Kar Wai, Michel Gondry et tant d'autres ont fait de vraies propositions de cinéma ces 20 dernières années et j'en oublie sans avoir tous et toutes les moyens de faire des films marquants et populaires. Et vous pourrez me dire qu'ils n'inventent rien, qu'ils/elles recopient Demi ou Cronenberg, ben je suis prêt à parier que je peux trouver une génération de réalisateurs roumains qui ont inspiré la nouvelle vague et on ne crée jamais à partir de rien. C'est un serpent qui se mord la queue.


Enfin, j'ai pas de problème avec le drame, mes films préférés en sont, je soutiens juste que le pur drame familial parisien était un peu devenu la seule forme "autorisée" dans le cinéma "sérieux" français qui a pu parfois tourner en rond. J'ai l'espoir que le genre décoince un peu tout ça, comme j'ai déjà pu le constater dans un film comme Jusqu'à la garde, où le drame est de très bonne facture, mais passe dans une autre dimension et marque beaucoup plus lorsqu'il adopte les codes du film d'horreur pour les dernières minutes. On peut citer aussi le travail de Jordan Peele pour traiter du racisme à travers l'horreur également, Ducourneau pour parler de l'endoctrinement, etc. Encore une fois, je ne dis pas que le genre est forcément bien, on doit sortir un film d'horreur peu inspiré par mois de nos jours, je pense juste que le cinéma français a tout à gagner à se réouvrir aux cinémas étrangers et notamment de genre, mais je crois qu'il est déjà en train de le faire. Et puis, c'est un peu basé sur un constat, beaucoup des chefs-d’œuvre, notamment de Belmondo, sont il me semble, un peu plus que des drames.


Pour finir, mon message initial répondait plus à la question du regret d'une époque où les hommes étaient "des vrais hommes". Je suis en train de me refaire les 007, bon... C'est un peu risible et je maintiens, on a des très bons acteurs aujourd'hui, mais effectivement, il leur manque sûrement un peu de moyen pour faire le film qui a ce truc en plus qui réunit tout le monde pour les "bonnes raisons". Mais ça, ben, je compte pas trop sur Pathé pour que ça arrive. Peut-être aussi que l'époque (en France) où Macron est vu comme un progressiste et Mélenchon comme un gauchiste radical n'est pas propice à un cinéma politique intéressant.

On a aussi Guédiguian, plus récemment Sciamma..., et j'ai vu dernièrement une vraie pépite: Séraphine. Effectivement, seul le temps dit ce qui reste, par définition.

Sciamma ou Guédigian, aussi bons soient-ils, n'attirent pas 2-3 millions...

"drame familial parisien" : bien tourné comme expression 👍

Je crois que je vais reprendre deux fois des moules, tiens…

mince, c'est dans ce billet que j'apprends la mort de Omar...

mythique figure de mon adolescence, dont le charisme et la puissance restera toujours dans un coin de ma mémoire..

bien que je sois attristé par les deux disparitions, c'est toujours plus blessant de voir une vie fauchée avant son terme..

D'après ce que j'ai entendu cette nuit, c'est El Senior Presidente Emmanuel I (ou Napoléon IV) qui va organiser une cérémonie d'hommage.


Remercions le ciel (if any) d'avoir ainsi hérité d'un président omniscient, omniprésent, efficace, évolutif, performant, opérationnel, bienveillant( non, pas bienveillant)  et j'en oublie sûrement.


Ah si, j'ai oublié omniprésent, omniprésent et omniprésent.

"Malheureux le pays qui a besoin de héros." Bertolt Brecht

J'ai remarqué que les nécrologies d'artistes "  à bout de souffle " étaient toujours dithyrambiques.


J'attends  ( sans impatience excessive ) le jour où l'on présentera Bernard Tapie  comme le digne successeur de l'abbé Pierre ...


( vous m'avez rappelé, ce matin, Jean Maitron, qui a été mon prof' de français, au lycée. C'était un homme remarquable, un vrai " Professionnel ", pas un " Guignolo " . Certains, plus que d'autres , mériteraient les honneurs de la République. )

La mort par vraisemblable overdose de Michael K. Williams, le Omar de The wire, autre justicier déjanté, flic et voyou à sa manière, faisant sortir du bois d'autres attristés, restés silencieux sur Bebel 


Je dois avouer que je suis de ceux-là, et ce,  bien que Bebel ait marqué mon adolescence, bien qu'ayant revu récemment les Borsalino; le très bon Léon Morin et le mythique A bout de souffle ( que je n'aime décidément pas ) ... 


mais moi non plus je ne suis pas là pour parler de moi, même si chacun ira, je pense, de son souvenir  comme quand un monstre de cinéma nous quitte


Salut Bebel et merci


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