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Aujourd'hui comme hier, Josyane Savigneau soutient Matzneff

Parmi les plus solides soutiens de Gabriel Matzneff dans les" milieux littéraires", l'ex-rédactrice en chef du Monde des livres, Josyane Savigneau. A l'époque, elle s'est vue régulièrement reprocher de faire la promotion d'un cercle restreint d'auteurs, avec la complicité de son ami Philippe Sollers. Lequel est aussi un des éditeurs de l'écrivain pédophile.

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Les contents (André Markovicz)


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Une bonne occasion pour relire Monique et Michel  Pinçon-Charlot ainsi que Pierre Bourdieu : l'appartenance de classe (caste ?) détermine et mine tout.

Bonsoir Josyane Savigneau


Que ce monde est méchant, qu'ils sont moches ces réactionnaires, vous et Philippe Sollers êtes des êtres libres, vous comprenez vraiment l'art, pas comme ces petits délateurs et ces bourgeois étriqués.


Mon orang-outang domesti(...)

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Que penser des cas lang et hollande et j'en passe et des meilleurs... ? Avez vous des infos ? https://affairesfamiliales.wordpress.com/tag/villa-majorelle/

La chasse aux sorcières continue sur Arrêt sur Images ! Après Matzneff traîné dans la boue par une meute de chiens (et surtout de chiennes) enragés, voici Josyane Savigneau prise pour cible par les salopards qui travaillent sur ce site et  qui se font passer pour des journalistes ! Nul doute que si Arrêt sur Images avait existé pendant l'Occupation, ils auraient participé à la dénonciation des Juifs et des communistes comme ils participent aujourd'hui à celles des "pédophiles" (sic) alors que c'est le terme d'éphebophile qu'il faudrait employer. Heureusement que mon abonnement à ce site de merde est bientôt terminé ! Hors de question que je continue à subventionner ce repère de gauchistes arriérés mentaux qui hurlent avec les les oups et dechiquètent leurs proies lâchement, bien planqués derrière leur écran d'ordinateur ! 

Il est temps que Savigniot et ses acolytes  se téleportent dans un pays digne de leur génie et leur clairvoyance. 

Soutiens,  complaisance, entre soi , ça continue .

Mais autour ça craque aussi, ça se lézarde, ça prend l'eau, ça laisse échapper les puanteurs .

Je me demande combien ils sont à être dans leurs petits souliers, à se demander quand arrivera leur tour de voir étalées leurs immondices et le moment de les assumer . 

Il y a des gens comme ça.


Ils s'attirent tout de suite notre sympathie inversée.


Prenez Philippe Sollers. Lors d'un "Apostrophe" de sinistre mémoire, il déclara:


"Ceux qui ne m'aiment pas c'est parce que ils ne s’aiment pas"


"Fatuité" quand tu nous tiens ...


Quant à Gabriel Matzneff, je n'ai pas attendu Mme Bombardier pour éprouver un profond dégout à son encontre. 


Ici, ce n'est pas "germanopratin", c'est germanoprêtàgerber !

La fidélité est un vilain défaut.

La vraie honte, elle est très bien décrite par André Markovicz dans son texte intitulé LES CONTENTS (sur FBK). A lire absolument.


Les contents (André Markovicz)


Dans l’extrait d’Apostrophes qui tourne en boucle ces derniers temps sur internet, ce qui me frappe, c’est la toute fin de l’émission. Quand Matzneff est réellement surpris de la violence de l’attaque de Denise Bombardier, mais, en fait, quand il est surpris par deux autres choses. La première, c’est que visiblement à l’inverse de tous les autres invités, à commencer par Pivot lui-même, elle, elle ne tombe pas sous son charme et elle ne sourit pas quand il parle. Elle ne l’admire pas. Parce que, tous les autres, finalement, ils sourient, d’un sourire gentil : « le gentil farfadet que voilà... » ou « celui-là alors... ». Et puis, il est surpris par l’attaque elle-même : comment se fait-il que la vie, la société, vienne le juger, lui — pas lui Gabriel Matzneff, non. Lui, l’écrivain. Lui, le grand écrivain. L’esthète. La littérature. « Comment peut-on ne pas m’aimer ? » Evidemment que la littérature justifie tout, dit-il. Et le plus important est la surprise de Matzneff à ce moment-là : que peut-on me vouloir à moi, qui écris aussi bien ? Je dis tout sur moi, je suis sincère, et j’écris bien. C’est ça, n’est-ce pas, qui justifie l’ensemble, et appelle le sourire de mes convives — il s’agit, réellement, d’une atmosphère de salon, juste avant un dîner. Comment pourrait-il en être autrement ?


Or qui a dit que Matzneff était un écrivain ? Je veux dire, vous avez lu un jour un seul de ses romans, vous avez essayé ? — Ses romans sont publiés, depuis des décennies, aux éditions de la Table ronde — un éditeur de droite dure. Personne, je crois bien, ne les lit. Mais, ses journaux, ils paraissent tous chez Gallimard, et ce n’est pas aujourd’hui que ça a commencé. C’est-à-dire que, tant qu’à dire les choses, celui qui devrait être poursuivi pour complicité de viol et éloge de la pédophilie, n’est-ce pas, en toute logique, c'est son éditeur. Mais, bon, pour moi, ici, il ne s’agira pas de morale ou de justice. — Ses journaux, que j’ai feuilletés il y a des années de ça, qu’en dire ? Mais c’est absolument, désespérément nul. Nul, creux, vaniteux, idiot — ça n’existe tout simplement pas. Ça existe, je dirais, parce que c’est tellement ridicule qu’on se sent souillé quand on le lit, — quand on en est témoin. — Ce sentiment du ridicule senti et qui vous transperce, Dostoïevski en parle. Mais voilà, on dit que, la langue de Matnzeff, « c’est une belle langue ». —Pardon pour l’image. Disons, « C’est bien écrit... »


Un bavardage content, qui existe et qui, aussi bien, pourrait ne pas exister. Où chaque page, chaque journée, effacent la précédente, sans jamais rien changer. — Avec une constante : le « je » qui parle est content. Content d’être adoré par des jeunes adolescentes, mais pas seulement — par ses collègues écrivains, auxquels, comme le genre l’y invite, il décoche des petites piques, nous dirons de « petites vacheries entre copains », parce que, et oui, l’essentiel est bien là, tout se passe entre copains. Et nous faisons du style. Et c’est si beau, le style.

C’est ce sourire content qui m’a toujours frappé. Et c’est un sourire que je perçois, sous différentes formes, parfois moins fort, parfois plus fort, chez toute une série d’autres écrivains français. Parce que le sourire peut changer, mais pas le contentement.


Je m’étais déjà interrogé, à propos de d’Ormesson et des écrivains cités comme modèles de l’esprit français par notre président. Et, bizarrement, je me dis que c’est réellement une caractéristique de ce qu’on appelle l’esprit français, ce contentement à se regarder si beau dans le miroir et faire des phrases dessus. J’ai beau chercher, je ne trouve pas ça dans la littérature russe — non, vraiment. Et Dieu sait Tolstoï a écrit des journaux... Le seul, peut-être, c’est Edouard Limonov, qui est un vrai fasciste. Mais Limonov, comme écrivain, ce n’est juste rien du tout.


Mais regardez, je ne sais pas, Léautaud — il est, vraiment, considéré comme un écrivain. Il écrit, il écrit, il écrit. Moi je et mes chats. Mais il écrit, et il fait des volumes, et il est un « grand écrivain ». Et lui aussi, il fait du style. Ou, d’une autre façon, Jouhandeau. Cette espèce de saloperie absolue — là encore, d’ailleurs, publiée chez Gallimard. Matzneff, aujourd’hui, il est très malheureux, nous savons bien, il va même perdre les subsides que le CNL lui donnait tous les ans, parce qu’il est un vieillard nécessiteux (!...) — du fait que personne, dit-il lui-même, n’achète ses livres. Mais Jouhandeau, lui, il prospère : et Guéret est très très fière de son auteur, et organise, si je ne me trompe pas, un festival de littérature où sont présents beaucoup de mes amis, ou de gens qui sont publiés par les mêmes éditeurs que moi, et, visiblement, ça ne dérange personne que, non seulement ce type soit un antisémite acharné (dans ses livres comme dans ses lettres), mais qu’il passe son temps à faire des phrases sur sa vie, sur des centaines et des centaines de pages, toujours pareil, à ragoter, à se complaire, à s’admirer, finalement, même en se détestant — mais il ne se déteste guère. Et là encore, comme la crapule qu’il a toujours été, à être content. Absolument certain, comme aujourd’hui Matzneff, que Dieu reconnaîtra les siens, puisque la littérature est le sommet de la création, et qu’il est lui, un créateur de ce sommet.


Et combien d’autres écrivains, hommes et femmes, chez nous, font ça, une carrière à écrire sur ça — le potin et la joie d’être soi, ou la joie d’être si laid et d’être soi (c’est absolument la même chose), la joie d’avoir pour amis des amis qui vous ont pour ami et qui sont contents d’être contents et de vous voir content. Oui, l’éternel ragot.


Et, il faut bien le dire, souvent, c’est ça, ce qu’on appelle « notre littérature » et que j’aurais tendance à appeler « notre honte » ...

Une fois encore la posture de la victime par Savigneau lui évite de rendre compte sur les faits, élude les questions .

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En fait si l'on écoute cette rubrique de France Inter tout ça c'est la faute au hasard car ces deux médaillés contestés ont certainement dû œuvrer pour la France s'ils ont reçu la Légion d'Honneur

et le fait qu'is l'aient eu cette année c'est faute à pas de chance


Vraiment cette année commence sous de mauvais augure, la chance n'est déjà pas au rendez-vous

bonjour, je précise comprendre l'axe de votre article et de la ligne éditoriale d'arrêt sur image ; média que je te trouve précieux. Ceci dit, je me sens vide à sa lecture. Je ne lis qu'un stérile débat d'éditeurs/auteurs sur le sujet...je comprends qu'il s'agisse du sujet mais, ces références au point Godwin me semblent détourner le débat d'une manière - un peu - malsaine (lisez les déclarations antisémites en rapport au sujet Polanski). Je précise être un homme, j'ai vécu avec des femmes ayant été victimes d'abus et, je trouve important d'élever ce débat sur le sujet essentiel : le délai de prescription pour les viols et l'accompagnement des enfants victimes par un service de police spécifique et adapté. Regardez les reportages d'Arte sur le sujet pour vous en convaincre. Désolé pour ce message abrupte s'il vous semble injuste. s.

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"Sollicitée par ASI, Josyane Savigneau a décliné, expliquant que "de toute façon ce sera de la calomnie (...)"

...en général ou bien @si se retrouve amalgamé à 'lémédias'; ça, ça serait vraiment trop rageant, non?

Les Français ont toujours été délateurs nous dit cette dame

et elle craint le lynchage médiatique


Elle met donc sur le même plan :

la dénonciation à la Police de Juifs Français et non Français pour la simple raison qu'ils étaient coupables d'être Juifs

et

la dénonciation d'actes pédophiles dont s'est vanté un manieur de mots, loin d'avoir (si j'en crois ce qui est dit ici et là) les qualités littéraires d'un Camus ou d'un Proust


La première dénonciation a conduit des millions de femmes, enfants et hommes à la mort !

La deuxième dénonciation ne pourrait conduire qu'au lynchage médiatique d'un auteur coupable d'avoir ruiné la vie de jeunes adolescents


et cette dame collabore à la "Radio Communauté Juive " !!! C'est le monde à l'envers


Bonsoir Josyane Savigneau


Que ce monde est méchant, qu'ils sont moches ces réactionnaires, vous et Philippe Sollers êtes des êtres libres, vous comprenez vraiment l'art, pas comme ces petits délateurs et ces bourgeois étriqués.


Mon orang-outang domestique, en fait c'est un ami, souhaite absolument vous rencontrer, vous et Philippe. Il faut que je vous prévienne, il aime beaucoup Georges Brassens, particulièrement le gorille. C'est sa chanson préférée, malheureusement, il déteste les juges mais adore les écrivains et les intellectuels parisiens, particulièrement Gabriel M, dont il aime l'ensemble de l'œuvre.


Je peux donc vous laisser son N° de téléphone portable, mais envoyez lui plutôt un SMS. Il fait des complexes à cause de sa prononciation.


Donc, vous et Philippe adorerez l'expérience, prévoir éventuellement un passage à l'hôpital après l'expérience, il y a de très bon proctologues reconstructeurs.


Amitiés à tous les deux.

Il y a des milieux auxquels on ne regrette pas de ne pas appartenir. 

Un article bien intéressant sur cet étrange microcosme, merci. 

Pour info : coquillette dans l'avant-avant-dernier paragraphe : Sollars au lieu de Sollers.

Une bonne occasion pour relire Monique et Michel  Pinçon-Charlot ainsi que Pierre Bourdieu : l'appartenance de classe (caste ?) détermine et mine tout.

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