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Affaire "Le Point" : le passif du journaliste Aziz Zemouri

Les abonné·es d'"Arrêt sur images" connaissent bien Aziz Zemouri, condamné à cinq reprises pour diffamation depuis son tout premier reportage télé en 1995. C'est lui qui a écrit l'enquête du "Point" accusant le couple de députés LFI Alexis Corbière et Raquel Garrido d'employer une femme de ménage "sans titre de séjour et soumise à des cadences infernales", un article dépublié depuis, qui a fait l'objet de plusieurs contre-enquêtes et d'excuses de la part du directeur de la publication du "Point". Aziz Zemouri a été cinq fois condamné pour diffamation dans le cadre de son travail. Notre article comprend un extrait de notre émission "Arrêt sur images" du 30 septembre 1995, où l'on voit Julien Dray défendre a priori Aziz Zemouri à propos d'un reportage sur le trafic d'armes en banlieue.

Commentaires préférés des abonnés

C'est à leur odeur que j'ai reconnu les éminents Enthoven, Naulleau,  et la  "  belle  " Caroline Fourest.


Ils ont relayer avec délice ces délicates informations.


On les imagine se lécher les babines et se gratter le cul avec plaisi(...)

Je veux bien que la rédac du Point soit bouleversée. Moi je suis bouleversé à chaque fois que je vois leurs unes me dégueulant littéralement dessus quand je passe à proximité d'un marchand de journaux. Pouah !

"L'ensemble de la rédaction est profondément affectée par le manquement aux règles élémentaires de déontologie journalistique. La SDR du Point est fondamentalement attachée à la nécessaire vérification de toute information avant public(...)

Derniers commentaires

c'est le genre d'article qui devrait mettre un journal sur la paille mais pour le point c'est presque business as usual ...... 

au-delà du cas de Zemouri, j'aimerais bien savoir qui est derrière ça, qui a manifestement fabriqué les "preuves" de SMS, et dans quel but

J'ignorais jusqu'à présent l'existence de ce "journaliste" Aziz Zemouri. Il a très bien fait de se faire connaître et le magazine Le Point a aussi très bien fait de publier son "article" qui a permis de me le faire connaître.

Mais tout de même, ce monsieur déjà condamné 5 fois pour diffamation peut-il écrire des articles pour des journaux autres que Le Point (que je n'ai jamais lu) ?

Ce monsieur dispose-t-il toujours de sa carte de presse de journaliste ?


En tout cas, merci à vous et à Mediapart

Avoir Julien Dray comme témoin de moralité est le pire des déshonneurs.

Le point est à la déchetterie ce que la déchetterie est au point.

Petit rappel : c'est déjà le Point qui il y a qq temps avait fait un article pour s'en prendre à  l'inspectrice du travail qui contrôlait le chantier de ND de Paris en disant qu'elle faisait du zèle volontairement pour retarder le chantier et nuire à  Macron. On lui reprochait aussi d'être proche de Filoche. D'ailleurs le DGT au ministère du travail de l'époque Yves Struillou avait envoyé à Gernelle une longue mise au point pour défendre cette inspectrice. J'ignore si le Point à publié ce courrier du ministère du travail.

Mentez ! Mentez, il en restera toujours quelque chose !

Le Point est un journal d'opinion de droite libérale, décrédibiliser les dirigeants de LFI, c'est sa vocation.

Donc il emploie un journaliste véreux pour faire ses basses besognes, quitte à le jeter si besoin est.

On s'excuse sur Twitter, après que le truc s'est bien répandu.

Et le tour est joué....

Gernelle est un as de la mauvaise foi, j'entends régulièrement ses éditos sur France Inter. C'est à rigoler comme il est prêt à raconter les choses les plus malsaines en faveur de son camp, il fait des épouvantails des anti-libéraux, tous les arguments les plus fallacieux sont de mise.


Vous pensez vraiment que la publication de l'article de Zemouri était une erreur?

Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose.


Il faut détruire Carthage...


J'ai du louper la contrition d' Etienne  sur rance inter . Plus c'est gros plus ça passe , ils doivent avoir un de ces fondement....

Cette complicité poltico médiatique rappelle encore une fois 1936 ( Plutôt Hitler que le Front populaire).

1936 où la presse de caniveau (avec la complicité de pas mal de politiciens) avait poussé Roger Salengro au suicide (  Gringoire ...) . Les salauds ne meurent jamais !

Merci


Votre enquête et le lourd passif de ce journaliste posent la question de la raison d'être d'un journal comme le Point. Journal banalement à droite et sans intérêt vu la pléthore de l'offre en la matière, il semble n'exister que pour ses atout-propres : 

-les "coups" d'un journaliste connu pour relayer les thèses des syndicats de police, et dont chacun sait la déontologie fragile, mais c'est pas grave tant que ça tabasse la gauche, oh ca frotte certes un peu en rédaction mais on passe entre les gouttes on sert les dents et on prépare le prochain numéro,

-pour les unes droitières ordurières (type "Mélenchon, l'autre le Pen" entre la présidentielle et les législatives), qui sont des symptômes de l'abaissement du débat et qui peuvent orner sans vergogne les kiosques et polluer l'espace public. 


Et spéciale dédicace à Géraldine Jeanne D'Arc Woesnner, journaliste au même Point, qui vient nous faire son numéro de chevalier blanc en plateau sur LCI, "oh-la-la-on-est-désolé-on-le-vit-mal-en-interne-l'éthique-toussatoussa" et bien enfoncer le confrère alors qu'elle s'est fait poisser il y a moins d'un mois sur une collection de fake-news en chapelet de son cru. Y'en a qui sont pas gênés par leur reflet, comme disait ma grand-mère. 


Bref, raison d'être de ce journal = journalisme de ragot + unes-tract + logorrhée libérale réactionnaire. Mais le truc continue a exister, personne n'achète mais c'est perfusé d'argent public sinon ce serait pas drôle, et contrôlé par la famille Pinault. A part ça, tout va bien pour la presse en France. Est-ce que c'est complotiste de dire que ceci semble expliquer cela ? Blague à part, chers auteurs du papier, pensez-vous qu'à la fin des fins, ce "journal" a d'autres raisons réelles d'exister que ça? Suis-je trop sévère ? 


NB : Géraldine Woessner dément que l'article ait été mis sur le web pour buzzer vu qu'il était tout pourri. Je ne sais pas si je la crois mais je le note, elle est membre de la société des journalistes du journal et ses propos l'engagent. Il est vrai que cette allégation est absolument dingue, si elle était vérifiée (vérifiable?). Je ne suis pas un perdreau de l'année, je vois bien ce que peut être le cynisme dans une rédaction, mais si la logique des gens aux commandes du bouzin c'est "en cas d'article merdique, on le met sur le web", c'est sûr que je plains le reste  de l'équipe de subir cette gestion...

Euh sinon, depuis le temps... comment ça se fait qu'il exerce encore cette profession? Prêt à parier qu'il doit avoir un sacré réseau...

et les journalistes sont toujours aussi étonnés qu'on ne fasse pas confiance à leur profession ! (cf. un 7-9 de France culture ces derniers jours). 

"L'ensemble de la rédaction est profondément affectée par le manquement aux règles élémentaires de déontologie journalistique. La SDR du Point est fondamentalement attachée à la nécessaire vérification de toute information avant publication, et ne saurait tolérer que la réputation du journal soit  entachée par des manquements individuels."

Contrairement à ce que veulent faire croire la SDR et Géraldine Woessner, il ne s'agit pas du tout d'un manquement individuel. Une fois de plus, la SDR essaie de couvrir la hiérarchie du journal. Certes, il y a eu un manquement individuel, mais la direction du Point était trop heureuse d'avoir l'occasion de se payer le couple maudit d'islamogauchistes, wokiste, anti-républicain, chaviste, poutinien ou que sais-je encore. Je maintiens que les SDR, dans la plupart des rédactions, sont des alliés des directions, d'ailleurs les chefferies éditoriales en font souvent partie. Journalistes, faites avant tout confiance aux syndicats.

"artifices grossiers". Voilà, c'est ça. 


Alors maintenant, si le type n'est pas licencié pour faute lourde, je me reconvertis en journaliste véreux du Point avec emploi à vie quelles que soient mes mensonges et manipulations. Mais il faut aller plus loin. Qui a autorisé la publication d'un truc pareil ? Ce que je sais, c'est que dans n'importe quelle entreprise, des têtes tomberaient immédiatement.

On en arrive donc à la situation suivante: l'obligation de fouiller les poubelles de journalistes qui fouillent les poubelles des autres ... grandiose !

Cela me fait inévitablement penser aux "flics" américains et leur manie de planter un peu d'beuh dans la voiture du pauvre type qu'ils viennent d'arrêter pour une ampoule grillée...

Ça doit pas être facile le métier de journaliste parce qu'on a affaire avec le vrai et le faux, avec la nature humaine, avec le dit et le non-dit, avec la responsabilité de ce qu'on publie.

Non, ça doit pas être facile. C'est pour ça qu'on ne devrait pas pouvoir confier cette profession à n'importe qui.


Ce journaliste me semble trainer un certain nombre de casseroles qui devraient faire un tintamarre à même d'alerter les rédactions les plus sourdes !!


Question d'un simple lecteur: n'y a-t-il pas un collège de journalistes, ou une instance ad hoc pour juger de la compétence, de la déontologie des membres de la profession, comme il y en a en médecine ou chez les avocats.

C'est pas facile de piloter des avions, de conduire des bus... Mais on contrôle régulièrement les compétences et les aptitudes des pilotes et des chauffeurs.


Ça n'existe pas dans le journalisme?



Je veux bien que la rédac du Point soit bouleversée. Moi je suis bouleversé à chaque fois que je vois leurs unes me dégueulant littéralement dessus quand je passe à proximité d'un marchand de journaux. Pouah !

C'est à leur odeur que j'ai reconnu les éminents Enthoven, Naulleau,  et la  "  belle  " Caroline Fourest.


Ils ont relayer avec délice ces délicates informations.


On les imagine se lécher les babines et se gratter le cul avec plaisir.

" Ces Messieurs, les journalistes ( ou  folliculaires) , ressemblent assez aux chiffonniers qui vont ramasser des ordures , pour faire des papiers "  ( Gernelle ou Voltaire )

L'archive avec Julien Dray est savoureuse.

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