Pour en finir avec les cartes du vide démographique
Quand on fait une illustration, on choisit ce que l'on montre, et surtout ce que l'on ne montre pas.
On filtre la réalité, on la simplifie pour ne garder que ce qui permet de se repérer, de comprendre, et de faire joli (parce que c'est important aussi). L'avantage de tout ça, c'est qu'on peut choisir de représenter des choses réelles, tangibles. Comme des vaches par exemple.
Ou bien avec des choses moins concrètes. Comme une carte des gens qui ne sont pas là.
Personne ne vit ici
Ce mème cartographique de 2009, mais qui reparaît régulièrement, est parti...
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