Carla, mon cerveau et la popularité
L'année 2008 m'a posé, d'entrée de jeu, une sorte de problème. Un gros problème.
Cela
se passait vendredi, au coin de la rue, à la maison de la presse. Je
faisais paisiblement le tour du rayon des magazines et, bien entendu,
je ne voyais que les visages radieux de notre Président et de sa compagne.
Mais
à la limite, le problème n'est pas là. A la rigueur, on peut très
bien vivre en ne voyant partout que le visage d'une sorte de personnage
ubiquitaire qui rythme nos vies dans un feuilleton sur papier glacé.
Pourvu qu'on supporte ce personnage, ou qu'on soit enclin au second
deg...
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