Supprimons les bancs publics !
Il est des journaux vers lesquels on ne se précipite pas dès potron-minet, qu'on feuillette rarement en trempant sa tartine beurrée dans le café au lait. Les Échos en font partie, et peut-être est-ce une erreur. Car en page 14 de l'édition de ce jour, sous l'éditorial de Dominique Seux, rédac-chef de son état, figure un billet intitulé Les bancs publics ont soudain disparu. Il est signé Favilla, qui est un pseudonyme collectif.
On y apprend que dans "un village de Provence où il fait bon vivre", où "on croirait entendre encore [Daudet] sous les platanes de la rue principale, (…) le cours vient d'être réaménagé".
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