"Aurait-on à ce point parlé des dépenses engagées par Fernand Koekelberg, ex-commissaire général de la police belge, au Qatar, à l’occasion du congrès annuel d’Interpol, si l’intéressé avait décroché le poste de vice-président du comité exécutif de l’organisation ? On peut en douter", écrit l'éditorial de La Libre Belgique.

"Les sommes dépensées dans l’opération de lobbying sont importantes mais les adversaires norvégien et français de M. Koekelberg, dont les compétences étaient incontestables, n’ont pas lésiné, eux non plus, sur les moyens de séduire les instances chargées de désigner l’élu. Il faut avoir les moyens de ses ambitions et la Belgique la joue parfois petits bras quand elle convoite une haute fonction internationale."

La Libre Belgique mardi 8 mars 2011