"Cette opération vient renforcer un opérateur déjà en position dominante, faisant donc peser des risques sur le marché général de la télévision gratuite en France. (...) Nous avons demandé par écrit, à la fin du mois d'août 2009, à être entendus en séance plénière comme c'est habituel pour la plupart des questions intéressant le secteur. Nous avons dû réitérer cette demande, restée sans réponse, et avons dû attendre jusqu'au 23 mars pour enfin être auditionnés en séance plénière, soit… une heure avant que la décision du CSA ne soit prise !" explique Tavernost, patron du groupe M6.