Illustrer Jane Birkin : ex-femme des sixties... et d'après
Faut-il représenter nos icônes à leur âge de gloire ou avec leur dernier visage ?
Pour raconter Jane Birkin, on commence souvent par le son. Sa voix, son verbe. "À tout jamais, on devra à Jane Birkin l’invention d’un «créole» particulier", écrit le Monde, "ce que son ami écrivain Olivier Rolin appelait un français «qui sort de ses gonds»." En accroche, Libération décrit aussi "cette voix aiguë – qu’elle entraînera le plus haut possible dans le chant -" et "reconnaissable entre mille". Pour France 2, "un filet de voix cristallin, un accent charmant et un Français bien à elle". Cet accent "irrésistible", amorce encore le Point, est bel-et-bien "sa marque de fabrique". L'image de "Jane B." - pourtant tout aussi mythique - ne vient qu'après. Les yeux de chat (malicieux, en amande, aux cils longs), la...
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