L'article commençait bien pourtant : "L’histoire se passe en coulisses pour l’instant. Les primaires socialistes ne s’ouvriront que dans un an. Mais c’est dès maintenant qu’il faut préparer le terrain". DSK a-t-il décidé d'y aller ? Non car paraît-il que "loin de la France, il est dans l'impossibilité d'émettre le moindre commentaire sur la vie politique nationale". Mince, on ne saura rien de ce côté de l'Atlantique. Et ses partisans ? "Nous disons que la situation appelle DSK, même si cela ne fait pas de lui un candidat", explique un proche du directeur du FMI. Et à la direction du PS, connaissent-ils les intentions des partisans de DSK ? "Le message qu’ils font passer, c’est que DSK est déterminé. Donc qu’il faut attendre". L'un de ses proches, Jean-Christophe Cambadélis, confirme : "Il ne faut pas bousculer les rythmes". A LCI, Cambadélis s'est même risqué... à ne rien dire de plus (d'où l'intérêt pour Le Figaro de reprendre la citation) : "Je ne peux pas vous le dire [s'il sera candidat]. Il faudra lui poser la question. C’est lui qui décidera. Je pense que ce n’est pas anormal, s’il souhaite - ce qui n’est quand même pas certain - être candidat à la présidentielle, de se décider par lui-même".