Dans son récit, en plus de l'interview de la jeune femme, TF1 diffuse, dans son reportage, un interview de la directrice adjointe de l'hôpital, qui assure que le personnel présent à ce moment-là "était conforme à la réglementation en vigueur". La chaîne ne mène pas davantage mener l'enquête. Visiblement à tort. En effet, la journaliste de France 2, de son côté, préfère donner la parole au délégué CGT de l'hôpital, qui explique... qu'il manquait en réalité une auxiliaire puéricultrice ce jour-là ! "Il n'y avait que deux sages femmes pour trois accouchements, donc forcément, on est au delà des limites de sécurité", explique ce délégué CGT au micro de France 2. |
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(Vigie : Lucie Desvaux)
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