À Europe 1, la peur de "chefaillons" aux ordres
À la tribune, le meilleur mot n'est pas venu d'un journaliste, mais d'une économiste des médias : "Il faut arrêter d'écouter le monde changer, mais changer le monde pour continuer à vous écouter", a lancé Julia Cagé. Soit un joli pied de nez au slogan publicitaire d'Europe 1, ("Écoutez le monde changer") mais aussi la thèse que défend Cagé dans son dernier livre L'information est un bien public. Elle y défend un projet de "loi de démocratisation de l'information", permettant aux journalistes d'avoir davantage de poids dans les instances de direction de leurs médias, pour faire le poids face aux actionnaires.
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