Bild contre le défaut partiel grec
"Le temps est venu pour que les (petits) investisseurs privés renoncent à une partie de leurs créances. Cela vaut aussi pour Bild. Mais nous disons : non", affirmait le quotidien, repris par l'AFP et L'Express.fr. "En décembre 2011, Bild avait acheté des obligations grecques pour un total de 4815 euros. Pour le journal, l'opération d'effacement d'une partie de la dette d'Athènes signifierait une perte de près de 38% sur sa mise. "Bild dit non» et égrène trois raisons: «C'est de la poudre aux yeux: les évolutions attendues jusqu'en 2042 sont irréalistes», «Ce n'est pas cela qui va remettre sur pied la Grèce», «De nouvelles élections vont avoir lieu en Grèce en avril»." Bild 7 mars 2012 |
Cet article est libre d’accès
En vous abonnant, vous contribuez
à une information sur les médias
indépendante et sans pub.
Déjà abonné.e ? Connectez-vousConnectez-vous