Rhooooooo…. Z’ont pas encore compris, tous ces journaleux et éditocrates, que tout le monde s’en fout, de leur com et commentaires…??? Les casseroles, c’est bien plus festif pour dire STOP !

Au milieu des années 2000,  le Plan B, journal malheureusement disparu, (où on pouvait lire des articles de vrais journalistes comme G Balbastre, O Cyran, P Rimbert, J Brygo et tant d’autres) décernait une « Laisse d’or » au journaliste le (...)

 Tous ces éditorialistes dégagent une odeur assez forte ; notamment,  celle qui pue la cabanna au fond du jardin 

J’ai du rater un truc… le rôle des médias n’est-il pas de rendre compte en toute impartialité des faits ?

Genre ´

-le President se déplace.

- Les manifestants sont gardés à bonne distance.

Voilà l’info est passée, on passe à un autre sujet. Mais non on se permet de critiquer les modalités de la manifestation…

Et après, les mêmes journalistes  se demandent pourquoi les personnes se détournent des médias pour aller s’informer ailleurs ? Pourquoi le « complotisme » monte-t-il ? Sont tebés ou tellement imbu de leur personne ?

Ex : sur FRANCE INFO suite à la visite du Président dans un LP, on a droit à tout un article sur « que faut-il retenir des propositions sur l’enseignement professionnel ? » J ai envie de dire si je veux le savoir, je vais sur les sites gouvernementaux…

Par contre rien sur le maintien à bonne distance des manifestants, pas d’images, pas de son… une petite phrase vite fait à la radio mais pas dans les articles ( ce qui reste et peut être lu et relu facilement)

il me fatigue le macron, il fatigue tout le monde

même les étrangers qui dès qu'ils voient son nom se demandent quelle Sonnerie il a pu encore dire ou faire

Il faut les chercher ceux qui pensent que ""c'est une star" et qu'il "est connu mondialement" autrement que comme une espèce de Gaston Lagaffe

Quant à l'interview de quatre pages dans Le Parisien, qui a pu le lire, comme SherlockCom, je me pose la question au point que je doute qu'il existe un tel lecteur sauf si on l'a payé pour le faire

Qu'il mouille tout ce qu'il veut, il est devenu un déclencheur de casserolades, il a tout perdu et surtout le peu d'honneur que ce menteur avait encore dans l'esprit de ce qui le défendent aujourd'hui contre paiement ou intérêt financier

Bonne recharge de batterie de casseroles SherlockCom, et merci de nous faire sourire en pointant leurs inepties

- Une pente rude, mais Macron a toutes les qualités pour y parvenir, selon Doukhan l'alpiniste. Il est notamment très à l'écoute, comme chacun sait : "Il est avide d'entendre les désaccords. Il est toujours dans la même logique, il veut convaincre. Il a toujours une volonté de convaincre, si possible les personnes, les unes après les autres."

- Selon Christophe Barbier, Macron doit "reconstituer son socle autour de cette notion de courage, "je vais au contact", "je suis le patron de cette entreprise France et je vais voir mes usagers, mes clients, mes consommateurs".

Ici, je suis dubitatif sur l'erreur d'analyse de Christophe barbier, pourtant si prompt à défendre les patrons... Macron est le directeur général de l'entreprise France, nous ne sommes pas ses usager.es, client.es ou consommateur.rices, nous sommes ses patron.nes...

- il ne faut jamais s'habituer à la violence quand elle vise des élus, quels qu'ils soient, du président de la République au moindre conseiller municipal […] car quand on s'en prend au premier d'entre eux, on s'en prend au dernier d'entre eux également."

C'est valable aussi pour les élu.es de gauche qui se font maltraiter par la police ou pas? 

Et quand on n'est pas élu.e, a violence est-elle acceptable? légitime de fait? souhaitable?

- "Les casseroliers, qu'est-ce qu'ils pensent? Parce qu'ils tapent dans des casseroles, le texte va être retiré ? Heureusement que non ! Peu importe de ce qu'on pense du texte, une démocratie, c'est une démocratie."

1/ Le vote est-il la démocratie? Si un moyen d'expression populaire est indispensable à l'approche démocratique, dont le vote est l'un des éléments fondateurs, limiter la démocratie à ce seul outil est l'équivalent politique de "le tri, c'est l'écologie". Si l'expression du peuple ne peut se faire que dans une urne, cette urne aura plutôt tendance à symboliser la mort à petit feu des principes d'expressions démocratiques.

2/ Ce n'est pas parce qu'une loi est passée de manière légale qu'elle est politiquement légitime et donc démocratique. Si demain EM nous oblige à nous mettre une plume dans le cul tous les premiers mardis du mois, en passant par le 49.3 et que le conseil constitutionnel valide, par absence de vice de forme (parce que le conseil constitutionnel n'est pas politique hein...), il n'est pas impossible que nous jugions cette loi illégitime... 

S'il avait un peu plus mouillé le maillot il aurait moins mouillé ses couches (c'est lamentable)

Conclusion : il faut brûler des effigies de Macron pour qu'il puisse regagner (un peu) de popularité. Alors pourquoi criminalise-t-on ceux qui le font ? La logique m'échappe...

Après avoir lu les bonnes feuilles du nouveau chef-d'oeuvre de Not' Plus Grand Ministre de l'Economie ( depuis des siècles et des siècles ),  je suis amené à   m'interroger :  les éminents éditorialistes  décrits , avec brio,   par Sherlock,  n'auraient-ils pas un anus particulièrement dilaté ?

"Un capitaine qui entre à la fin du match"

"L'objectif pour Emmanuel Macron, c'est de ne pas être une cible immobile"

"que la chimie de l'air se modifie"
"quand on s'en prend au premier d'entre eux, on s'en prend au dernier d'entre eux également"
"Il y a une forme de dialectique qui peut lui permettre, en recueillant toutes les flèches tel un Saint-Sébastien moderne, peut-être de regagner un peu de popularité"

De l'art des images creuses.

Et pour finir, l'apothéose :

"Quel est le but de tout ça ? C'est de la sédition"

Bref, comme on disait entre 1976 et 1983 dans un pays d'Amérique du sud : "il faut mettre au pas tous ces subversifs". Surtout si en plus, comble de la violence extrême, ils se permettent de bruler des effigies.

Car comme dit en creux ce bon Aphatie, quoiqu'on pense de ce texte, maintenant, il est temps de fermer son bec.

Au-delà de la simple propagande, c'est effarant de voir la pauvreté des discussions. Payés si cher pour débiter de telles platitudes pseudo-psychologisantes sans la moindre forme d'analyse... Les mêmes qui pensent que les Français ne bossent pas assez et qu'il ne faut pas augmenter les salaires... Foutez-moi ça à la poubelle (ou pire)

Un grand philosophe a dit un jour " on peut tromper 1 personne 1000 fois, on peut tromper 1000 personnes 1 fois mais on ne peut tromper 1000 personnes 1000 fois" Ça résume bien la situation de notre Jupiter national aujourd'hui, je trouve.

Merci beaucoup à Vous Deux pour cette sublime chronique des plus instructives.

Je constate que plusieurs ancien.n.e.s journalistes de CNEWS sont parti.e.s sur BFM et/ou sur LCI.

Il s'agit, notamment, pour BFM de :

Jean-Sébastien Ferjou  mentionné dans cette chronique ;

Sami SFAXI ;

et pour LCI de :

Claire - Elisabeth BEAUFORT ;

Damien FLEUROT.

Des casseroles sont-elles aussi à prévoir chez M. BOLLORE dans son management ?

J'ai un sujet pour un éditorialiste qui n'en veut , actions Pfizer , pression vaccinale , prise illégale d'intérêts . Faut pas nous chercher les toutous a son pépère ....Vous allez prendre un coup de pompe dans les chicots ...

Les mêmes éditocrates qui font de la retape pour Macron et sa politique libérale ne ratent jamais une occasion de louanger un grand homme de gauche. Étonnant, non, comme dirait Jean-Michel Aphatie ?

"Saint Sébastien moderne" ! Jusqu'où iront les éditocrates pour être bolloré-compatibles ? C'est à se tordre de rire !

Merci. Sur une échelle de dilatation de 10, ils sont manifestement à 9,98.

Bonne pause. :)

"Il n'a pas de ministre politique, il n'a pas de ministre qui aille au contact des Français."

Il a des flics, pour aller au contact, et ils ne s'en privent pas.

"il ne faut jamais s'habituer à la violence quand elle vise des élus"

Mais quand elle vise des électeurs, pas de problème ?

PS. Je trouve que cette chronique a des airs de Samuel Gontier.

Merci d'être encore là...

J'attends le 28 mai  :-))

"...les casserolades fascisantes..." propos tenus par le chiot de garde des matins de France-Culture ce 27 avril en question à Barbara Stiegler qui en a profité pour demander à ce triste sire ses sources quant à l'emploi de ce qu'il affirme avoir entendu. Magnifique moment de gêne et rattrapage in extremis. 

Madame Stiegler a pris soin de répondre en exigeant de la précision sur les questions afin de pouvoir donner une réponse claire mais surtout de mettre à mal la continuelle propagande induite dans les questions de ces serviteurs zélés de la grande bourgeoisie.

En autre invité le maître d'école philosophe le bellâtre Raphaël Enthoven qui pouvait donner à Madame la Professeur des notions nébuleuses d'analyse libérales (aussi profond que du macron ) 

Dommage que ce débat n'ait pu se tenir en présentiel et que plusieurs coupures de lignes ont empêchées Madame Stiegler à tout entendre ou s'exprimer plus facilement.

La profonde analyse de Mr Enthoven expliquant combien il était stupide de taper sur des casseroles ! c'était pas mal aussi. Madame Stiegler lui a rétorqué combien il était méprisant de tenir de tels propos et qu'elle même était fière de le faire.

On lui pardonnera la lassitude de sa réponse quand le maître d'école lui a expliqué que c'était l'acte qui est stupide et non les personnes !

Si Macron aurait dû se mouiller davantage, c'est bien sûr pour faire de la pédagogie. Parce que les Français sont des cons, ils ne comprennent rien à rien. Il faut mieux expliquer. C'est François qui nous le dit. François, un allié de la macronie à qui il vaut mieux ne pas tourner le dos.  

 Tous ces éditorialistes dégagent une odeur assez forte ; notamment,  celle qui pue la cabanna au fond du jardin 

Je comprends que Not' Président hésite à se mouiller.

S'il mouille trop, il risque de subir les privautés de B. LeMaire ( dit LeMaire 2)  :  le grand spécialiste des anus gonflés.

Au milieu des années 2000,  le Plan B, journal malheureusement disparu, (où on pouvait lire des articles de vrais journalistes comme G Balbastre, O Cyran, P Rimbert, J Brygo et tant d’autres) décernait une « Laisse d’or » au journaliste le plus servile.

Aujourd’hui parmi cette meute que vous citez, l’attribuer deviendrait un exercice difficile tant la concurrence est rude.

Nos journaliste font ils de l'information ou de la propagande ?

"Macron sac à m... " c est pas un des ses CRS qui avait avait lancé à un manifestant cette vilaine phrase que je n'approuve pas bien sûr. Je ne sais pas si son préfet/laquai Nuniez a sanctionné le play mobil de sa petite troupe. Ça c est de l'info aussi...  

Rhooooooo…. Z’ont pas encore compris, tous ces journaleux et éditocrates, que tout le monde s’en fout, de leur com et commentaires…??? Les casseroles, c’est bien plus festif pour dire STOP !