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Les médias US au front contre Trump
Après le Washington Post, le New York Times. Depuis plus d'une semaine, la presse américaine enchaîne les révélations embarrassantes sur Donald Trump. Dernière en date: le président américain aurait suggéré à son ancien directeur du FBI, limogé par ledit président la semaine dernière, qu'il abandonne l'enquête contre l'ancien conseiller à la sécurité nationale Michael Flynn, soupçonné de liens avec la Russie. L'éventualité d'une destitution (la fameuse procédure d'impeachment) fait son apparition.
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Derniers commentaires
On assiste en direct a un putsch médiatique dans la soit-disant plus grande démocratie de la planète. Mais ce qui m’effraie le plus, c'est cette complaisance(pour ne pas dire complicité) médiatique européenne, y compris "d’ArrêtSurImages" qui donne crédit a une affaire (russe) complètement bidon.
Le pire c'est qu'ils vont reussir a destituer Trump sur une affaire (russe) cousue de fils blanc sans la moindre preuve sérieuse.
Et comme le dit clive..
"ça commence à gonfler grave de devoir jouer les avocats du diable.."
Le pire c'est qu'ils vont reussir a destituer Trump sur une affaire (russe) cousue de fils blanc sans la moindre preuve sérieuse.
Et comme le dit clive..
"ça commence à gonfler grave de devoir jouer les avocats du diable.."
Avec l'élection incroyable de celui que l'on verrait bien là où il doit être, à savoir en consultation dans un centre de psychiatrie, certains ajouteront infantile, avec l'incroyable engouement que déchaîne à sa défense, outre ceux qui ont voté pour lui, ceux qui pour des raisons collatérales prennent sa défense dans un aveuglement aussi incroyable que son élection, la morale de La Fontaine prend toute sa puissance et au temps raccourci à l'extrême dans lequel nous plonge ce fou, il faut savoir opposer la vertu du temps prolongé
"Patience et longueur de temps
Font plus que force ni que rage."
ou comme l'écrivait H. W. Longfellow "Don't cross the bridge til you come to it."
"Patience et longueur de temps
Font plus que force ni que rage."
ou comme l'écrivait H. W. Longfellow "Don't cross the bridge til you come to it."
c'est bien, que les journaux fassent leur taff, obstruction a la justice..... la coupe est pleine. Entre son incompétence crasse et ses conflits d’intérêts multiples il est vraiment temps de dégager Trump.
la nomination de Robert Mueller pour continuer l’enquête laisse entrevoir une porte de sortie a cette incroyable mascarade. Dommage qu'il faille attendre les élections de mi mandat dans 18 mois pour également dégager Matt Ryan du congres.... quand je vois les dégâts en 100 jours je ne suis pas sur que le pays puisse tenir 18 mois.
la nomination de Robert Mueller pour continuer l’enquête laisse entrevoir une porte de sortie a cette incroyable mascarade. Dommage qu'il faille attendre les élections de mi mandat dans 18 mois pour également dégager Matt Ryan du congres.... quand je vois les dégâts en 100 jours je ne suis pas sur que le pays puisse tenir 18 mois.
Il manque une chose essentielle dans l'article ci-dessus. C'est la chose qui fait le sujet de cet article:
http://thefederalist.com/2017/05/16/tips-for-reading-washington-post-stories-about-trump-based-on-anonymous-leaks/
Le Washington Post, probablement le plus anti Trump de tous les médias (moins de 10% de voix pour Trump a Washington DC) a accumulé des "scoops" basés exclusivement sur des sources anonymes, qui se sont révélés dans deux cas complètement faux (au point que le soupçon d'invention délibérée est plus crédible que la simple erreur) soit invérifiables et au final sans portée. Et je ne cite pas les autres fake news du WP reprises par Le Monde ici et qui ont pour le coup été correctement couvertes comme telle sur @si.
Il me semble que l'objet de la couverture de l'affaire par @si ne devrait pas être un pronostique sur l'avenir de Trump mais sur l'évolution (et ici il faut bien le dire, la dégradation) des pratiques journalistiques. Quoi qu'on pense de Trump, depuis des mois nous avons semaines après semaines des pétards semi mouillés ou trempés basés sur des sources quasi systématiquement anonymes qui s'avèrent régulièrement être fausses, et dans tous les cas sans réelles conséquences (alors qu'elles sont présentées comme disruptives). La quasi intégralité de ce qui est reproché à Trump repose sur des interprétations de mots dont on est en outre souvent absolument pas surs qu'ils ont bien été dit dans ces termes. Les délits de Trump, le jury délibère encore, mais il n'y a pas moyen de nier le fait que la presse d'opposition fait absolument feu de tous bois, ce qui lui est tout de même reproché assez distinctement par la partie encore sensée des opposants à Trump qui voient bien que non seulement ça agace les citoyens qui aimeraient à tout prendre que leur gouvernement puisse gouverner, mais qu'à force de crier au lit il risque d'arriver que Trump fasse un jour un truc vraiment grave mais qu'à ce moment là plus personne n'y prête attention dans l'opinion.
http://thefederalist.com/2017/05/16/tips-for-reading-washington-post-stories-about-trump-based-on-anonymous-leaks/
Le Washington Post, probablement le plus anti Trump de tous les médias (moins de 10% de voix pour Trump a Washington DC) a accumulé des "scoops" basés exclusivement sur des sources anonymes, qui se sont révélés dans deux cas complètement faux (au point que le soupçon d'invention délibérée est plus crédible que la simple erreur) soit invérifiables et au final sans portée. Et je ne cite pas les autres fake news du WP reprises par Le Monde ici et qui ont pour le coup été correctement couvertes comme telle sur @si.
Il me semble que l'objet de la couverture de l'affaire par @si ne devrait pas être un pronostique sur l'avenir de Trump mais sur l'évolution (et ici il faut bien le dire, la dégradation) des pratiques journalistiques. Quoi qu'on pense de Trump, depuis des mois nous avons semaines après semaines des pétards semi mouillés ou trempés basés sur des sources quasi systématiquement anonymes qui s'avèrent régulièrement être fausses, et dans tous les cas sans réelles conséquences (alors qu'elles sont présentées comme disruptives). La quasi intégralité de ce qui est reproché à Trump repose sur des interprétations de mots dont on est en outre souvent absolument pas surs qu'ils ont bien été dit dans ces termes. Les délits de Trump, le jury délibère encore, mais il n'y a pas moyen de nier le fait que la presse d'opposition fait absolument feu de tous bois, ce qui lui est tout de même reproché assez distinctement par la partie encore sensée des opposants à Trump qui voient bien que non seulement ça agace les citoyens qui aimeraient à tout prendre que leur gouvernement puisse gouverner, mais qu'à force de crier au lit il risque d'arriver que Trump fasse un jour un truc vraiment grave mais qu'à ce moment là plus personne n'y prête attention dans l'opinion.
Si le problème des révélations de Trump était la mise en danger des sources, en quoi relayer dans la presse des informations qu'il n'aurait communiqué qu'à l'ambassadeur russe diminue t il le danger pour les sources?
Quelles sont d'ailleurs leurs sources sur les révélations de Trump lui même?
Quelles sont d'ailleurs leurs sources sur les révélations de Trump lui même?
Franchement, il y a vraiment quelqu'un qui croit à ces conneries?
Sont ils vraiment conscient de ce qu'ils sont en train de faire.
De deux choses l'une, ou Trump sort renforcé (après un nettoyage sauvage de son Opposition) ou il est détruit, mais alors bonjour les Etats Désunis d'Amérique.
Se rendent ils compte de la situation révolutionnaire dans laquelle ils sont?
Sont ils vraiment conscient de ce qu'ils sont en train de faire.
De deux choses l'une, ou Trump sort renforcé (après un nettoyage sauvage de son Opposition) ou il est détruit, mais alors bonjour les Etats Désunis d'Amérique.
Se rendent ils compte de la situation révolutionnaire dans laquelle ils sont?
C'est marrant quand le même bonhomme décide devant un gâteau au chocolat d'envoyer 56 missiles qui feront une trentaine de morts pour un résultat stratégique nul, les médias n'y trouvent rien à redire, au contraire...
Alors un bout de phrase dite à un responsable qui s'empresse de le livrer à la presse, c'est vachement plus grave...
Et que l'ex chef du FBI soit vent debout avec ses services et la presse contre le président élu, c'est ce que Guetta a appelé les contre-pouvoirs, qui ne sont rien d'autre que le "deep state" dont on nous a dit qu'il n'existait pas et que c'était un truc de complotistes.
(ça commence à gonfler pas mal de devoir jouer les avocats des diables...)
Alors un bout de phrase dite à un responsable qui s'empresse de le livrer à la presse, c'est vachement plus grave...
Et que l'ex chef du FBI soit vent debout avec ses services et la presse contre le président élu, c'est ce que Guetta a appelé les contre-pouvoirs, qui ne sont rien d'autre que le "deep state" dont on nous a dit qu'il n'existait pas et que c'était un truc de complotistes.
(ça commence à gonfler pas mal de devoir jouer les avocats des diables...)