Vu qu'on parle de néo-nazis ces temps-ci, il y avait eu une polémique il y a quelques années sur des livres scolaires du Gujarat, sous l'ère Modi, où Hitler était présenté d'une manière relativement positive. C'est d'ailleurs aussi dans ce coin que s'était monté un café nommé "La croix d'Hitler". L'article explique qu'en Inde il y aurait un malentendu sur Hitler avec une méconnaissance du fond historique et juste la vague idée d'un personnage célèbre (c'est bon pour le business...) proche de la culture indienne puisqu'il a la swastika comme symbole...

inférieure que?
elle s'est affrontée à?
mauvais traitements de ses collègues?
sa tête décapitée?
son éditeur?
David?

Aïe aïe aïe, pauvre Jill!

Au sujet des écolières nigérianes, ce texte circule sur les réseaux asociaux. Si un aimable journaliste voulait vérifier la crédibilité de l'auteure , ou approfondir le sujet, il ferait œuvre utile :
Votre #bringbackourgirls ne fait qu'empirer les choses

Si cela se confirme, la montée des néo-fascismes dans le monde entier fait irrésistiblement penser à l'une des thèses-clés du chef-d'œuvre de Karl Polanyi, écrit dans les années quarante: " la grande transformation" ( que Jacques Généreux reprend dans sa " grande régression"): Les fascismes seraient de sourdes et spasmodiques réactions convulsives des populations contre l'imposition par la force du " marché auto-régulateur". La cause profonde du fascisme, c'est le libéralisme.