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La presse étrangère, affamée de photos du couple Macron

Portraits radieux du couple Macron, photos glamour, récits éblouis de leur "romance"... une partie de la presse étrangère cède à un mal étrange : la "Brigitte" mania.

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La presse étrangère ne doit pas connaître le nom de Gabrielle Russier, mais la plupart des français d'un certain âge, eux, le connaissent.
La première fois que l'histoire du couple Macron est apparue dans la presse, je me suis dit qu'on avait fait du chemin et que la cause des femmes, quoi qu'on en dise, avait bien progressé. Oui, les français semblent indifférents au fait qu'une professeur puisse épouser son ancien élève de 24 ans plus jeune, ce n'était pas le cas il y a une cinquantaine d'années où on mettait cette femme en prison et où on la poussait au suicide. Pardon Gabrielle, merci Brigitte.
J'ai découpé une photo de Macron parue dans "Le Parisien " du 7 juin 2016 (sans Brigitte).Elle illustrait la question du jour "les gestes de colère envers les ministres vont-ils trop loin?" à laquelle les lecteurs répondaient NON à plus de 60%...Et elle annonçait une VIDEO: Loi Travail,en déplacement à Montreuil,Macron reçoit un oeuf sur la tête www.ina.fr/video/S571925_001
cf. votre mariage au Touquet


En 1837, Alphonse Jean-Baptiste Daloz, notaire, acquiert le domaine du Touquet, constitué alors de terrains dunaires à l’embouchure de la Canche, il y plante des pins et autres essences et le domaine ainsi boisé offre vers la fin du siècle un site idéal, de mer et de forêt, qui inspire au directeur du Figaro (Hyppolite de Villemessant) et ami du notaire la vocation nouvelle et le nom attractif de Paris-Plage. A la fin du XIXè siècle, l’enthousiasme pour la région d’un homme d’affaires anglais (Sir John Whitley), adepte de la mode balnéaire, suscite la création du Touquet Syndicate Limited, lequel étend le domaine urbanisé, multiplie les équipements, développe les activités et la fréquentation hôtelière dès le début du XXe siècle. La prospérité du Touquet devient indissociable de la présence britannique et l’évolution constante de la station se retrouve dans la diversité de son architecture. A partir de là, Le Touquet connaît une renommée mondiale. L’entre-deux-guerres marque le passage de la station balnéaire à une cité plus mondaine, dédiée aux sports et à l’élégance. A l’Arcachon du Nord que vantaient les campagnes publicitaires d’avant-guerre, succède le Jardin de la Manche où les villas se dressent au bord d’allées en forêt, au sommet des dunes et dans les creux boisés. En 1932, quand on fête les 50 ans du Touquet, on peut présenter une ville complète ordonnée avec tous les services mêlée à une résidence de rêve grâce à l’aménagement des sites naturels et au bon goût des architectes. Ces derniers qui aspirent à une relation plus intime entre l’architecture et le milieu naturel, s’efforcent de formuler l’identité architecturale du Touquet. Parmi eux, Louis Quételart occupe sur le terrain et dans les débats une place particulière puisque sa manière se confond avec ce qu’il est convenu d’appeler « Le Style Touquettois Moderne.
Le choquant dans la presse people, c'est qu'il n'y a personne pour remarquer que "Brigitte" ne s'est pas fait refaire ses racines pour aller voter dimanche. C'est super négligé. Ou alors c'est pour faire croire que ce n'est pas une perruque? On met une perruque à racines noires? à 63 ans?
On semble bien partis pour 5 longues années de story-telling...

Imagine-t-on le Général de Gaulle se promenant à Colombey, main dans la main avec Madame Yvonne, en amoureux?...Madame Yvonne atrocement maquillée?
La politique est devenue cette chose répugnante, ce plat indigeste "à la sauce paparazzi."

Quelle indécence...

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