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Jouets chinois dangereux: les JT n'ont jamais entendu les excuses de Mattel
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C'est une vrai question de savoir pourquoi certaines informations sont mises en avant et d'autres n'arrivent pas jusqu'aux télévisions.
Par exemple, nous sommes inondé d'informations sur le lait frelaté en Chine alors que nous ne sommes pas directement concernés : Google-actualités renvoi 148 pages pour "lait frelaté".
Par contre, nous sommes très peu informé sur l'huile frelatée en Europe alors que cela nous touche directement : Google-actualités ne renvoi que 1 page pour "huile frelatée".
Mais le cas le plus incompréhensible pour moi est la couverture des émeutes de Lhasa le 14 mars 2008.
Le monde entier cherchait à savoir ce qu'il se passait, je suppose que toutes les agences de presse du monde se battaient pour avoir des informations fraiches, tout le monde se plaignait de ne pas avoir d'information en raison d'une supposé interdiction d'accès aux journalistes, et pourtant il y avait des journalistes occidentaux sur place pendant une semaine tels que James Miles (The Economist) , ou Georg Blume (Der Spiegel) qui publiaient des articles jour après jour sur ce qu'ils voyaient. Comment se fait il que leurs articles n'aient pas été repris dans le monde entier en tant que correspondants exclusifs des médias occidentaux présents à Lhasa ?
Il me semble impossible que cette information soit passée inaperçue, il y a donc eu un blocage quelque part, dans toutes les agences de presse, ou dans tous les journaux télévisés. C'est d'autant plus grave est que la version des faits relatés par ces journalistes (les seuls correctement informés) est totalement contraire avec la version diffusée dans les médias principaux, il y a eu grossièrement une erreur de casting entre les bons et les méchants. Seul deux journalistes français ont pris conscience du problème, il s'agit de Bruno Philip du Monde qui parle d'un "manque de professionnalisme ahurissant", ainsi que sur notre site préféré ASI. Cette analyse très critique du traitement médiatique de l'information n'a quasiment pas été reprise par les autres médias, et Jean-Luc Mélenchon est le seul homme politique à avoir réagit après avoir vu l'émission d'ASI.
Comment les agences de presses et les médias fonctionnent ils pour qu'une telle information de première importance n'arrive pas jusqu'à nous, et qu'une telle désinformation puisse ainsi exister ?
Pour bien comprendre le problème, il faut lire les références de ce paragraphe de la page Troubles au Tibet en mars 2008 sur wikipédia : Journaliste et touristes présents
Voir aussi : Présentation des événements par les médias occidentaux
Par exemple, nous sommes inondé d'informations sur le lait frelaté en Chine alors que nous ne sommes pas directement concernés : Google-actualités renvoi 148 pages pour "lait frelaté".
Par contre, nous sommes très peu informé sur l'huile frelatée en Europe alors que cela nous touche directement : Google-actualités ne renvoi que 1 page pour "huile frelatée".
Mais le cas le plus incompréhensible pour moi est la couverture des émeutes de Lhasa le 14 mars 2008.
Le monde entier cherchait à savoir ce qu'il se passait, je suppose que toutes les agences de presse du monde se battaient pour avoir des informations fraiches, tout le monde se plaignait de ne pas avoir d'information en raison d'une supposé interdiction d'accès aux journalistes, et pourtant il y avait des journalistes occidentaux sur place pendant une semaine tels que James Miles (The Economist) , ou Georg Blume (Der Spiegel) qui publiaient des articles jour après jour sur ce qu'ils voyaient. Comment se fait il que leurs articles n'aient pas été repris dans le monde entier en tant que correspondants exclusifs des médias occidentaux présents à Lhasa ?
Il me semble impossible que cette information soit passée inaperçue, il y a donc eu un blocage quelque part, dans toutes les agences de presse, ou dans tous les journaux télévisés. C'est d'autant plus grave est que la version des faits relatés par ces journalistes (les seuls correctement informés) est totalement contraire avec la version diffusée dans les médias principaux, il y a eu grossièrement une erreur de casting entre les bons et les méchants. Seul deux journalistes français ont pris conscience du problème, il s'agit de Bruno Philip du Monde qui parle d'un "manque de professionnalisme ahurissant", ainsi que sur notre site préféré ASI. Cette analyse très critique du traitement médiatique de l'information n'a quasiment pas été reprise par les autres médias, et Jean-Luc Mélenchon est le seul homme politique à avoir réagit après avoir vu l'émission d'ASI.
Comment les agences de presses et les médias fonctionnent ils pour qu'une telle information de première importance n'arrive pas jusqu'à nous, et qu'une telle désinformation puisse ainsi exister ?
Pour bien comprendre le problème, il faut lire les références de ce paragraphe de la page Troubles au Tibet en mars 2008 sur wikipédia : Journaliste et touristes présents
Voir aussi : Présentation des événements par les médias occidentaux