Question d'accord : "l'employée a été licenciée, mais s'est plaint auprès du Bureau de Conformité.
Je crois que c'est "s'est plainte", et avec la règle normale.
Cf Académie Française : "On dit, on écrit : Je les ai plaints de tout mon cœur / Elle s’est plainte de la tête / Elles se sont plaintes qu’on les a fait attendre"

Le cas soulève la question des rapports entre les journalistes et leurs sources.

Un journaliste qui dévoilerait une affaire grâce à ses liens avec des membres de la mafia verrait son travail remis en doute ?

Les écoles de journalistes instillent dans l'esprit(sic) des petits cons quelles formatent que l'information est un service marchand dont les techniques de production, de distribution, de segmentation ne diffèrent en rien de la règle générale à toute marchandise. Cette fluidité vertueuse ne nécessite aucun organisme plus ou moins cryptoétatique dépensier, capricieux et irrationnel. Grâce au cap qu'impose la pub, d'obligatoires "issues""se dégagent spontanément, tous ancrés sur le réel, le vrai, celui qui ne fait pas de politique. La France de JP Pernaut, par exemple tranche nettement sur les torchons soi-disant indépendants comme Chalie ou le Canard, noyautés par des groupuscules farfelus d'un autre âge.On reconnaît les feignants et les jaloux à leur haine de la pub, sans laquelle, pourtant, le dynamisme de nos consommateurs s'effondrerait comme la consommation de clopes depuis les paquets à la nord-coréenne.
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Le cas soulève la question des rapports entre les journalistes et leurs sources.
Si je peux me permettre, la question des rapports entre les journalistes et leurs sources n'a pas attendu ce cas pour être soulevée (ou posée?).

Les journalistes doivent-ils prendre en compte toutes les informations, quelle qu'en soit la source ?
En voilà une question qu'elle est bonne! Qu'en dit la charte de Munich? Qu'en dit-on dans les école de journalisme?