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"Ebdo" : Thierry Mandon, directeur général ou ancien ministre ?
Directeur de journal... et ancien ministre. C'est la double casquette de Thierry Mandon, ancien secrétaire d’État chargé de l'enseignement supérieur et désormais directeur général d'Ebdo,
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Derniers commentaires
ne craignez pas l'idéologie qu'un socialiste ( même ancien ministre ) peu insuffler , influencer , sur un (h)ebdo....
non,non, vraiment , ne craignez rien
non,non, vraiment , ne craignez rien
Quelques infos pour cerner son profil politique :
- avec Matthias Fekl et Christophe Sirugue, il avait lancé un mouvement nommé "Movida" avec cette tribune sur Libé.
Extrait : "Certes, la gauche agit. Elle agit au quotidien à travers les associations, les ONG, à travers les initiatives locales et l’inventivité de nos concitoyens.
Elle agit aussi, quoi qu’on en dise, au pouvoir ! La gauche gouvernementale l’a montré plusieurs fois depuis 2012 à travers la généralisation du tiers payant et de la complémentaire santé pour tous les salariés, le renforcement des services publics de l’éducation, de la police et de la gendarmerie, la mise en œuvre du mariage pour tous, le non-cumul des mandats…
Et pourtant, faute d’idée directrice et de vision du monde, la gauche de gouvernement s’est parfois lourdement trompée, comme ce fut le cas lors du débat navrant sur la déchéance de nationalité.
(...)
Un nouveau socialisme doit aujourd’hui apparaître. Un socialisme qui, fidèle à la tradition de 1789, sera en mesure de répondre aux révolutions écologique, économique et numérique qui se présentent. Un socialisme qui pensera le retour de la puissance publique dans la mondialisation libérale et en Europe. Un socialisme qui imaginera les sécurités de demain dans un monde social de plus en plus volatil. Un socialisme qui refusera toujours d’opposer égalité et liberté, social et sociétal. Un socialisme qui sait que seul le respect et la promotion de la laïcité permettent à chacune et à chacun de partager un monde commun. Un socialisme qui reposera, plus que jamais, sur la promotion de services publics forts et puissants, piliers d’une République sociale et solidaire. (...)"
- dans cet article : "Le secrétaire d’Etat Thierry Mandon soutient Benoît Hamon
Membre du mouvement Movida, Thierry Mandon exclut pour l’instant de se rallier à Emmanuel Macron, préférant le candidat Hamon, qui avance « des réponses de gauche ». (...) On fait de la politique par conviction. Or l’époque n’est pas à la promotion du libéralisme, au contraire. La société a besoin d’une puissance publique rénovée, démocratisée et affirmée"
- dans cet entretien où il est dit "proche de Benoît Hamon" : "(...)On retiendra deux mesures : un transfert massif d’argent en direction des entreprises financé par une augmentation des impôts des particuliers. On ne souhaitait pas le faire, ce fut un choix politique qui a un coût politique : la baisse de popularité du Président. Mais François Hollande a été un grand homme d’État qui a fait face à la réalité économique et à la situation internationale.
(...) la structure actuelle du pouvoir en France est obsolète. Je crois qu’un président de la République qui prétend à lui tout seul régler tous les problèmes, être le super-commandant en chef du pays, est condamné au suicide politique. (...) Il faut trouver des formes interactives entre des partis, des leaders et la société. La crise du parti socialiste renvoie à la crise de la représentation car les citoyens ne veulent plus déléguer les affaires publiques, ils veulent des formes plus partagées d’exercice du pouvoir."
Tout ça m'a l'air finalement cohérent avec le projet de Ebdo. Je vois bien Mandon entre Hollande et Hamon, avec Ebdo s'intéressant à ce qu'il dit de la gauche qui agit "au quotidien à travers les associations, les ONG, à travers les initiatives locales et l’inventivité de nos concitoyens".
A noter que dans les Wikileaks j'avais vu que Macron s'attendait à ce qu'il le rejoigne, peut-être le voyait-il comme promoteur d'une pensée nouvelle sans avoir saisi qu'elle se voulait toujours socialiste (au moins dans les intentions affichées...).
- avec Matthias Fekl et Christophe Sirugue, il avait lancé un mouvement nommé "Movida" avec cette tribune sur Libé.
Extrait : "Certes, la gauche agit. Elle agit au quotidien à travers les associations, les ONG, à travers les initiatives locales et l’inventivité de nos concitoyens.
Elle agit aussi, quoi qu’on en dise, au pouvoir ! La gauche gouvernementale l’a montré plusieurs fois depuis 2012 à travers la généralisation du tiers payant et de la complémentaire santé pour tous les salariés, le renforcement des services publics de l’éducation, de la police et de la gendarmerie, la mise en œuvre du mariage pour tous, le non-cumul des mandats…
Et pourtant, faute d’idée directrice et de vision du monde, la gauche de gouvernement s’est parfois lourdement trompée, comme ce fut le cas lors du débat navrant sur la déchéance de nationalité.
(...)
Un nouveau socialisme doit aujourd’hui apparaître. Un socialisme qui, fidèle à la tradition de 1789, sera en mesure de répondre aux révolutions écologique, économique et numérique qui se présentent. Un socialisme qui pensera le retour de la puissance publique dans la mondialisation libérale et en Europe. Un socialisme qui imaginera les sécurités de demain dans un monde social de plus en plus volatil. Un socialisme qui refusera toujours d’opposer égalité et liberté, social et sociétal. Un socialisme qui sait que seul le respect et la promotion de la laïcité permettent à chacune et à chacun de partager un monde commun. Un socialisme qui reposera, plus que jamais, sur la promotion de services publics forts et puissants, piliers d’une République sociale et solidaire. (...)"
- dans cet article : "Le secrétaire d’Etat Thierry Mandon soutient Benoît Hamon
Membre du mouvement Movida, Thierry Mandon exclut pour l’instant de se rallier à Emmanuel Macron, préférant le candidat Hamon, qui avance « des réponses de gauche ». (...) On fait de la politique par conviction. Or l’époque n’est pas à la promotion du libéralisme, au contraire. La société a besoin d’une puissance publique rénovée, démocratisée et affirmée"
- dans cet entretien où il est dit "proche de Benoît Hamon" : "(...)On retiendra deux mesures : un transfert massif d’argent en direction des entreprises financé par une augmentation des impôts des particuliers. On ne souhaitait pas le faire, ce fut un choix politique qui a un coût politique : la baisse de popularité du Président. Mais François Hollande a été un grand homme d’État qui a fait face à la réalité économique et à la situation internationale.
(...) la structure actuelle du pouvoir en France est obsolète. Je crois qu’un président de la République qui prétend à lui tout seul régler tous les problèmes, être le super-commandant en chef du pays, est condamné au suicide politique. (...) Il faut trouver des formes interactives entre des partis, des leaders et la société. La crise du parti socialiste renvoie à la crise de la représentation car les citoyens ne veulent plus déléguer les affaires publiques, ils veulent des formes plus partagées d’exercice du pouvoir."
Tout ça m'a l'air finalement cohérent avec le projet de Ebdo. Je vois bien Mandon entre Hollande et Hamon, avec Ebdo s'intéressant à ce qu'il dit de la gauche qui agit "au quotidien à travers les associations, les ONG, à travers les initiatives locales et l’inventivité de nos concitoyens".
A noter que dans les Wikileaks j'avais vu que Macron s'attendait à ce qu'il le rejoigne, peut-être le voyait-il comme promoteur d'une pensée nouvelle sans avoir saisi qu'elle se voulait toujours socialiste (au moins dans les intentions affichées...).
Et que dire du bilan de Thierry Mandon comme ex-secrétaire d'état en charge de l'enseignement supérieur et la recherche?
Il était où quand la niche fiscale sarkozyste du fameux "crédit impôt recherche" renforcé sous Hollande avait atteint ou dépassé les 6 milliards pour ne créer aucun emploi, comme son grand frère le CICE?
Il était où quand le budget de l'ESR qui devait "être sanctuarisé" (promesse de campagne de Hollande 2012) a été taillé ?
Il était où quand son propre ministère appliquait la loi dite "Sauvadet" dans les termes les plus restrictifs, poussant son administration à la chasse aux contractuels de façon à virer ceux qui allaient approcher les 6 années de contrats fatidiques (rappel, plus d'1/3 d'emplois précaires dans l'ESR)?
Pour une fois, je suis d'accord avec les propos récents du pervers-pépère DSK: "le parti socialiste disparaît, et c'est une bonne chose!".
Il faut voir ces gens comme ce qu'ils sont, des apparatchiks opportunistes, libéraux dans l'âme mais habillés de rose en période électorale pour diviser et berner les forces progressistes.
Avec un tel directeur, bon courage aux salariés de l'Ebdo, et plus aucune illusion sur la ligne éditoriale à venir.
Il était où quand la niche fiscale sarkozyste du fameux "crédit impôt recherche" renforcé sous Hollande avait atteint ou dépassé les 6 milliards pour ne créer aucun emploi, comme son grand frère le CICE?
Il était où quand le budget de l'ESR qui devait "être sanctuarisé" (promesse de campagne de Hollande 2012) a été taillé ?
Il était où quand son propre ministère appliquait la loi dite "Sauvadet" dans les termes les plus restrictifs, poussant son administration à la chasse aux contractuels de façon à virer ceux qui allaient approcher les 6 années de contrats fatidiques (rappel, plus d'1/3 d'emplois précaires dans l'ESR)?
Pour une fois, je suis d'accord avec les propos récents du pervers-pépère DSK: "le parti socialiste disparaît, et c'est une bonne chose!".
Il faut voir ces gens comme ce qu'ils sont, des apparatchiks opportunistes, libéraux dans l'âme mais habillés de rose en période électorale pour diviser et berner les forces progressistes.
Avec un tel directeur, bon courage aux salariés de l'Ebdo, et plus aucune illusion sur la ligne éditoriale à venir.
le mieux quand on crée un journal c'est de pas trop promettre et de faire preuve d'un peu d’humilité. On jugera sur piece.... comme le media
c est quoi se delire ils ont le droit d être a droite, juste faut le dire , 21 est un mensuel de bobos, aucun petit revenu ne se l achete, c est fait pour l esthetique et la bd, mais n a aucun intérêt pour la gauche. je savais que ce magazine ebdo etait de droite maintenant c est sure, et il peuvent. je suis bien societaire de lemedias qui est de gauche, et le dit. le problème n est pas le positionnement mais la croyance en l objectivite qui est toujours de droite. comme qd qq dit ni de droite , ni de gauche, c est de droite, comme Macron. @SI se droitise depuis que les insoumis sont plus fort, Daniel ne veut pas de la FI au pouvoir en 2022. il est important de se positionner, merci jlm de le faire si bien, lui parle de feminisme a chaue meeting.
au faite et le Venezuela de Maduro ? ca va ou bien c est un faschiste comme tout lesmedias Francais l ont dit ? au point de donner un prix a l extreme droite, donc nos bourgeois valent çeux de 1930, les Plenel, les Schnederman qui d?fendent le droit d ingérence de la CIA. Mais nous font un scketch avec la Russie, pays avec une arm? fantôme, un pib en berne, qui reviens au centre grâce a la crise economique, qui fait que les bobos préfèrent une geurre froide avec un faux ennemie a un chg radicale de politique economique. La Russie est le seul pays a être sortie du communisme sans entrer dans la mondialisation libéral, ils n ont pas brad? leurs entreprises, leur puissance politique, et ça, ca gène le bobo Parisien qui lui est devenus un chien de garde de l oligarchie blanche et mondialis?.
au faite et le Venezuela de Maduro ? ca va ou bien c est un faschiste comme tout lesmedias Francais l ont dit ? au point de donner un prix a l extreme droite, donc nos bourgeois valent çeux de 1930, les Plenel, les Schnederman qui d?fendent le droit d ingérence de la CIA. Mais nous font un scketch avec la Russie, pays avec une arm? fantôme, un pib en berne, qui reviens au centre grâce a la crise economique, qui fait que les bobos préfèrent une geurre froide avec un faux ennemie a un chg radicale de politique economique. La Russie est le seul pays a être sortie du communisme sans entrer dans la mondialisation libéral, ils n ont pas brad? leurs entreprises, leur puissance politique, et ça, ca gène le bobo Parisien qui lui est devenus un chien de garde de l oligarchie blanche et mondialis?.
La seule question qui vaille : les journalistes de l'Ebdo pourront-ils critiquer Mélenchon?
A part ça, je n'ai pas trop bien compris le but de l'article : pub cachée pour l'Ebdo? soutien confraternel à Marianne qui - au bord de l'abîme - craint un nouvel entrant (m... l'Ebdo est-il/elle masculin ou féminine?), ou peut-être tout simplement pub pour l'émission d'Asi du 28 septembre?
A part ça, je n'ai pas trop bien compris le but de l'article : pub cachée pour l'Ebdo? soutien confraternel à Marianne qui - au bord de l'abîme - craint un nouvel entrant (m... l'Ebdo est-il/elle masculin ou féminine?), ou peut-être tout simplement pub pour l'émission d'Asi du 28 septembre?
Bonjour
Je suis loin de défendre l'ebdo, et encore moins un socialiste creux comme Mandon mais entendre dire par des flagorneurs invétérés que critiquer la politique de Macron n'est pas objectif, les bras m'en tombent.
Je suis loin de défendre l'ebdo, et encore moins un socialiste creux comme Mandon mais entendre dire par des flagorneurs invétérés que critiquer la politique de Macron n'est pas objectif, les bras m'en tombent.