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De l'illustration à double détente
La couverture du Monde des religions de janvier-février nous montre la silhouette d'un pistolet automatique dans laquelle s'insère un visage ensanglanté. Le mal au nom de Dieu, les religions sont-elles violentes ? se demande le mensuel.
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Derniers commentaires
Qu'il y ait des gens qui tuent au nom de Dieu est vieux comme le monde, ils n'arrivent pas à assumer un instinct de destruction infantile. Mais ils trouveront autre chose quand ce prétexte ne fonctionnera plus.
Amazon vend ce titre avec cette couverture., moins évocatrice que la votre* qui est un (heureux) raccourci de ceci.
*ah, le petit vide dans la tirette !
*ah, le petit vide dans la tirette !
Je viens de relire un verre à la main.
Petit rouge du soir et...
Quand mon verre est plein, je le vide.
Quand mon verre est vide, je le plains.
Jeu de mots archi connu mais liant ma lecture.
Je remets mes verres pour améliorer ma lecture.
Petit rouge du soir et...
Quand mon verre est plein, je le vide.
Quand mon verre est vide, je le plains.
Jeu de mots archi connu mais liant ma lecture.
Je remets mes verres pour améliorer ma lecture.
Je suppose Alain Korkos qu'il vous est venu l'idée aussi de parler de cette technique en voyant la couverture de la Südddeutsche Zeitung qui a fait scandale Outre Rhin ce week-end
Dans un style très différent, et une technique différente aussi, je ne sais pourquoi votre rubrique m'amène à penser à cette affiche de Tomi Ungerer Black Power/White Power et à ce chocolatier et pâtissier Strasbourgeois (par ailelurs très bon quand il reste dans son corps de métier et ne se mêle pas de faire de l'humour blanc/noir) qui a cru bon de lui redonner vie en associant sa dernière création.
Dans un style très différent, et une technique différente aussi, je ne sais pourquoi votre rubrique m'amène à penser à cette affiche de Tomi Ungerer Black Power/White Power et à ce chocolatier et pâtissier Strasbourgeois (par ailelurs très bon quand il reste dans son corps de métier et ne se mêle pas de faire de l'humour blanc/noir) qui a cru bon de lui redonner vie en associant sa dernière création.
Si j'osais, je dirais que ça nous change de Riss.
Mais je n'ose pas.
Merci quand même.
Mais je n'ose pas.
Merci quand même.
"tu parles, tu meurs".
Tout est dit.
Tout est dit.
je n'ai jamais été charlie et je ne le serai jamais . Ces deux dessins me confortent dans mon opinion