Dénatalité : la faute aux féministes (et aux écolos)
C'est ce qu'affirment une succession de livres de journalistes sur le sujet
Si les Français·es font de moins en moins d'enfants, ce n'est pas parce que l'époque est anxiogène, que la précarité économique gagne du terrain ou que les parents jonglent difficilement entre travail et parentalité : c'est parce que le mouvement "No kids" a gangrené les esprits. C'est en tout cas ce que martèle Gabrielle Cluzel, directrice de la rédaction de Boulevard Voltaire et chroniqueuse chez CNews, Europe 1 et Famille Chrétienne. Fin mars, elle a publié Yes Kids (Fayard), une ode à la maternité qui se veut "une réponse aux déconstructeurs de la famille". Et à l'entendre, ils sont nombreux. Pire, nous dit-elle dans le Figaro Vox : leur idéologie antinataliste "infuse dans toute la société", avec la complicité des médias mainstream.
Il vous reste 87% de cet article à lire
Cet article est réservé aux abonné.e.s
Rejoignez-les pour une information sur
les médias indépendante et sans pub.
Déjà abonné.e ? Connectez-vousConnectez-vous