Crise, crash, krach, récession : on n'entend plus, on ne lit plus que ces mots-là. Et pour les illustrer, la presse mondiale nous montre le désarroi de ces funambules de la finance que sont les opérateurs de marché, les deux pieds glissant sur cette courbe qui n'en finit pas de chuter. Pauvres équilibristes, bientôt contraints de vendre leur Chevrolet Camaro ou leur Dodge Viper pour s'acquitter de leur ticket de caisse au Wal-Mart du coin.

Pendant ce temps on continue d'expulser des Amerlocains incapables de payer les échéances sans cesse réévaluées de leur crédit immobilier, alors que d'autres voient le capital de leur retraite par capitalisation fon...