Mais oui, France Inter, le "darknet" a aussi une face lumineuse !
Pourquoi ne jamais en parler ?
J'ai longtemps refusé d'accorder des interviews au sujet des "darknets", ces réseaux sécurisés conçus ou utlisés de sorte de rester cachés, ou de protéger l'anonymat de leurs utilisateurs. Pour une raison simple : les journalistes s'y intéressent généralement parce qu'ils permettent (notamment) de faire des choses interdites par la loi (vendre ou acheter de la drogue, échanger des photos pédopornographiques, et caetera).
Or, et de même que je ne vois pas l'intérêt journalistique d'expliquer comment faire et où aller pour se procurer du crack ou de la coke, je ne vois pas l'intérêt d'expliquer comment acheter de ...
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