Retraites : le tapage et les mots croisés
Deux images de "bordélisation" de l'Assemblée. Bordélisation tapageuse, contre bordélisation silencieuse. Une poignée d'Insoumis, à la cloture des débats, chantent l'hymne des Gilets jaune, "on est là, même si Macron veut pas". Quelques jours plus tôt, au banc du gouvernement, le ministre Olivier Dussopt fait ses mots croisés. Je dis "deux images", mais non. L'image de Dussopt faisant sa grille de mots croisés n'existe pas. On a seulement la semonce du député LR Aurélien Pradié. Et un savon passé, sur BFMTV, par Apolline de Malherbe. Faut-il que l'heure soit grave !
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