Dussopt : affronts, excuses, et contextes
Et traître à ses convictions, on a encore le droit ? Et félon à son camp, on a encore le droit ? Et menteur, multi-menteur, sur l'affaire de la promesse de la retraite minimale à 1 200 euros, on a encore le droit ? On a le droit, Monsieur le président Chassaigne, Monsieur le président Faure, Madame la présidente Le Pen, Madame la présidente Bergé ? À regarder l'Insoumis Aurélien Saintoul acculé à de plates excuses au ministre Dussopt, pour l'avoir traité d'"imposteur"
et d'"assassin"
, la question se posait des limites du combat politique, à l'Assemblée. Et pas n'importe quelles excuses. "Des excuses, point barre"
, comme l'avait exigé la cheffe des députés macronistes, Aurore Bergé, sitôt après l'affront.
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