l'homme qui marche
De Rembrandt à Tarzan
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chronique

l'homme qui marche

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« L’homme, disait Alexandre Vialatte, est un animal à chapeau mou qui attend l’autobus 27 au coin de la rue de la Glacière et du boulevard Arago. » Et qui attendra longtemps, vu que l'itinéraire erratépéien a été modifié depuis des lustres. Alors, « il ne restera plus qu'à faire faire par Rodin une statue de l'usager de l'autobus. En bronze moulé. Très légèrement pensive. Et à la mettre dans un square important. »Cette statue, disait encore cet écrivain notoirement méconnu qu'était Vialatte, sera « la vraie statue du Client. »

Celui dont le Candidat, en habit de marcheur parfum...

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