Deux bobines et trois zyeux
Procédé classique, qui consiste à mélanger deux personnages en leur attribuant un oeil commun. Profitons de cette occasion pour en jeter un sur quelques portraits réalisés de cette manière.
Le cinéma utilise régulièrement cette astuce graphique. Citons entre autres Dead Again de Kenneth Branagh (1991), Faux-semblants de David Cronenberg (Dead Ringers, 1988) qui réunit trois portraits sur l'affiche française, ou encore Dead Ringer de Paul Heinred (1964) à ne pas confondre avec le précédent, celui-là s'intitule en français La mort frappe trois fois :
Au rayon discographique, signalons The Miracle de Queen (1991)...
Il vous reste 76% de cet article à lire
Cet article est réservé aux abonné.e.s
Rejoignez-les pour une information sur
les médias indépendante et sans pub.
Déjà abonné.e ? Connectez-vousConnectez-vous