Et si le spectre de la fin du monde agité par journaux, radios et télés était, finalement, rassurant ? C'est l'hypothèse (paradoxale) de Sébastien Bohler.
Rassurante, la fin du monde ? Oui. Paradoxalement. Rien ne nous effraie davantage que les peurs diffuses, incernables. Une date précise, une forme précise, et nous voilà protégés contre ce que Sébastien Bohler appelle "l'intolérance à l'incertitude".
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